Je n'arrive pas à respirer l'eau est froide. Elle me pique. Je vais mourir ici. J'ai tellement peur. Je suis terrifiée. Mais je récite encore une fois cette comptine. Comme ma dernière prière.
Un, deux, trois...
Nous irons au bois...
Quatre,cinq,six...Par un pur miracle je sens des bras me sortir hors de l'eau. Ils me soulèvent et la chaleurs d'un être me réchauffe le corps.
Dans un effort désespéré j'entre-ouvre les yeux et tombe sur une paire d'yeux.
Aussi beau que le reflet de la lune. Ces yeux me scrute et je me sens soudainement en sécurité._Rendors toi. M'ordonne cette voix.
Je referme les yeux et sens le sommeil venir.
Elle ferme les yeux et mon regard se porte sur ces traces qui parsèment son visage. Des bleus et des coupures. Il ne me faut pas plus qu'une pensée pour défaire les liens qui lui enserre les poigne. Son corps est trempé. Et ses lèvres meurtris. Ses longs cheveux sont salis par les résidus se tenant au sol. Cette petite fille me cause autant trouble que quiconque mais savoir que ce fils de chien à posé ses doigts sur elle me met hors de moi. Sa robe de religieuse est dans un piteux état. Quand à ses paupières elles sont enflés. Je perçois l'odeur de son sang. Et découvre qu'une de ses poignets à été saigné.
Je rage et surprend le bruit de pas précipités. L'odeur du cigare de l'eau de Cologne italienne. Sergio n'est pas loin. Très vite je le vois courir et traverser la cage.
À ses trousses se tient Hannibal. Qui le mobilise en très peu de temps.
Je ne mets pas longtemps à me mette en face de lui en ordonnant à Hannibal de le lâcher.
Tellement arrogant et impétueux Sergio pointe une arme sur moi._Tes hommes ont peut être eu mes gardes mais tu ne t'en sortiras pas je-
_Tes hommes, ta femme, tes fils, tes parents, tous. Et tu vas être le dernier.
Il rit en proférant des injures inutiles avant que je ne claque des doigts. La tête de sa femme apparaît en s'écrasant à ses pieds.
Je le fixe droit dans les yeux un sourire malsain au lèvres.
L'effet est immédiat sa main qui tenait l'arme se met a trembler. Il me dévisage en frissonnant de peur._Hannibal montre au Monsieur comment tu as fait pour découper sa femme.
Hannibal se saisit de la tête et extrait les yeux du crâne.
Je vois Sergio perdre toute lucidité. Il murmure la peur au ventre.
_M-monstre...
Mon sourire ne me quitte pas et je le dévisage.
_Tu as ordonné de kidnapper cette jeune femme n'est-ce pas ?
Il n'ose pas répondre. Vulnérable et pathétique.
D'une manière typique des humains il tente de prendre la fuite mais je le retiens d'une simple pensée. Les humains de son calibre sont faciles à manipuler. Tellement prévisible._Tu peux t'en aller Hannibal. Je vais m'en charger.
Hannibal s'exécute et s'en va sans un mot.
_Maintenant tu vas te mettre à genoux. J'ordonne.
Sergio se met à genoux en tremblant.
_Qu-qui es tu...
_Arrache toi l'index gauche
Luttant en vain contre mon ordre il exécute mon ordre en hurlant à la mort.
Ses pleure et ses cris sont semblables à ceux d'une truie qu'on égorge._P-pitié...
_Mâche le.
_N-non...je vous en prie...
Je ne le quitte pas des yeux et le vois s'exécuter. Il se met à mâcher et vomir. Je lui ordonne de poursuivre.
Mais cette opération n'est que le début.
Azrael réapparaît en tenant l'âme damné.
Capone me fixe en jurant et je ris._Enlève tes vêtements.
Les injures de Capone se solde par une mine grave. Il sait parfaitement que son âme va être détruite.
Azrael vient à mes côtés et j'ordonne.
_Arrache tes membres reproducteurs et avalent les. Tous.
Mon pouvoir qui le soumet le pousse à obéir mais il s'écrit.
_Je ne serai pas le dernier à la pourchassée ! Tu as fait l'erreur de l'épargner! Tant qu'elle sera vivante ils la chasseront pour t'atteindre fils du diable !
_J'ai dit Avale. J'annonce d'une voix froide.
Il s'exécute et ses cris pourraient presque faire concurrence avec ceux de Sergio. Mais ce n'est pas suffisant. Ils ne souffrent pas assez.
Je les observes et déclare._Vous êtes maintenant des carnivores. Que l'autre qui vous fait face ne survive pas. Déchiqueté le avec vos dents dévorés le lentement jusqu'à ce qu'il hurle de pour demander grâce. Ronger le jusqu'à l'os.
Leurs yeux me supplient de les épargnés mais leurs corps obéis. Ils se jettent l'un sur l'autre s'arrachant l'oreille, le nez, les lèvres. Se mordant jusqu'au sang.
Je reste à les contemplée jusqu'à ce que la pièce soit inondé de sang et de bout de chaire. Les os craquelé et leurs visage quasi inexistant. Je consume alors les miettes de chaires pour les détruire définitivement. Savourant cet instant avec délectation.
J'observe les flammes bleus qui les dévorent et soupire.
Mes yeux se posent sur la jeune humaine. Sa respiration profonde montre qu'elle est plongée dans un sommeil réparateur. Mais la présence des marques sur son visage m'afflige.
Son corps est trop froid et ses contusions gâche son visage harmonieux.
Mes iris s'épanche sur son cou qui comporte des marques de strangulation et je lâche une injure. Leurs châtiment était trop clément. Ils auraient mérités pires.Mais alors que je resserre délicatement mon emprise sur elle je remarque des traces de piqures sur sa gorge.
Il n'y aucun doute, elle s'est faite drogué.
Je reste immobile en canalisant la dangerosité de mes idées qui déferlent au travers de mon esprit._Luz j'ai trouvé ceci dans la poche de Capone. M'interrompt Azrael.
Il porte à ma vue le chapelet que j'ai modifié pour cette jeune femme. Et je m'en saisit. Pour consumer toute trace d'impuretés sur ce dernier.
Je demeure en retrait observant l'attention que Luz porte à cette enfant. Il l'observe comme si c'était un trésor. Et même plus. Il la porte entre ses bras en gardant les yeux fixés sur elle comme pour déceler la moindre de ses blessures. Mais je dois avouer qu'elle est d'une magnificence incontestable.
_Comment s'appelle-t-elle?
_Aglaé. Aglaé Storm. Précise-t-il en disparaissant.
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Luz 🔱
Romance"Je redoublais mes tremblements et reculais contre le mur couvert de sang. -Je vais mourir- pensais-je. Le méchant Monsieur à tué mon Papa et je vais mourir. Il m'attrape par les cheveux et me traîne au sol. _Au secours! Au secours! Papa! Papaaaa! ...