11-Monté De Stress

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Il est 6 heure quand je me réveille. Je me lève, prend mon petit déjeuner et me prépare en faisant le moins de bruits possible pour ne pas réveiller mes parents. Ma colère est toujours là, je n'ose imaginer ce qui arriverait si ils venaient me parler maintenant.

Une fois prête, je sors de chez moi en claquant la porte. De toute manière, ils ne pourront rien me dire puisque je suis déjà partis. C'est mon petit plaisir à moi. 'mpppp. Lop. L' I ^m'mmm. ^pp'npplpp '' '}. P

Je me dirige vers l' arrêt de car et cale mon dos contre le mur. Une fois installé je sors mon telephonne de ma poche et vas sur la conversation avec Idriss.

-Salut ça va à quel heure commence tu les cours ?

J'ai à peine le temps de verrouiller mon telephonne, que je reçois une réponse.

-Ça va très bien et toi ? Je commence à 8h30 et toi ? As tu réglé tes comptes avec tes parents ? Et... Attend.

Quoi attend quoi?! Je sens une vibration ce qui me fait littéralement bondir. Je regarde l'écran de mon telephonne et vois le prénom d'Idriss s'afficher.

Je suis d'abord surprise. Puis passer le "choque" je décroche.

-Allo ?

-Salut, alors comment s'est passé ta discution avec tes parents ?

-Pas bien du tout.

-À ce point là ? Juste pour avoir été à une soirée sans leur autorisation ils sont dure quand même.

-Nan il n'y a pas que ça. Pendant notre dispute j'ai appris qu'ils étaient raciste.

-Ha effectivement, c'est un problème vu que tu sors avec un métis il me semble non ?

Je soupir et finis par rire

-C'est vrai que c'est un peu embêtant.

-Pas qu'un peu. Bon on en reparle au lycée. Tu as un endroit préféré pour se retrouver ?

-Oui, tu vois le bâtiment... Au pire, attend moi devant le lycée et je te montrerai mon endroit préféré, se sera plus simple.

-D'accord. A toute.

Ne sachant pas quoi répondre, je raccroche sans un mot. Ho merde, peut être qu'il va croire que je suis énervé contre lui ou que je lui ai raccrocher au nez. Ho non, je commence à stresser, génial. Ho mais arrête de flipper pour rien, tu es vraiment chiante. Puis soudain, je lève la tête et aperçois le car garé devant moi. Je rentre et va m'installer à coter d'Éloïse.

-Salut !

-Bonjour, j'ai un énorme problème.

-Quoi, qui te fais chier, on te harcèle, c'est Idriss qui te harcèle, quand on arrivera au lycée il va s'en prendre une il va rien comprendre à sa vie.

-Stop ! C'est pas ça. C'est tellement marant, toutes les histoires que tu as inventé.

Elle me regarde choqué. Pendant que moi je pars en fou rire.

-C'est rien de tout ça. Je stresse parce que je vais revoir Idriss. Et il y a même pas 5minutes je lui ai raccroché au nez. Tu crois qu'il l'a pris mal ?

-T'es sérieuse là ? Tu stresse juste pour ça ?

-Oui.

Elle me regarde désespéré et on se met à rire.

-Faut vraiment que tu arrêtes de stresser pour rien. Que tu stresse à l'idée de te montrer avec Idriss, c'est compréhensible, mais que tu stresse parce que tu lui a raccroché au nez, c'est complètement bête.

En écoutant ses paroles, je me rend compte qu'elle a raison. Faut vraiment que j'arrête de stresser pour rien.

Finalement, cette situation est plutôt marante. Ça nous donne une occasion de rire.

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Je suis désolé de vous avoir fait attendre, mais je n'avais vraiment aucune inspirations.
Mais sayait l'inspiration est de retour. J'espère que ce chapitre vous a plu.


Une vie trop parfaite. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant