24-Une fin sanglante

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-Salut, salut! Dit un homme habillé tout en noir.

Il ne cherche pas à cacher son visage, non, au contraire il le montre volontier et sourit même à sa victime.

-Qui...Qui êtes-vous ? Répond la jeune fille toute tremblante.

Adcock s'avance vers elle et se plante devant elle en riant.

-Vois tu si je te le dit je devrais te tuer et je pense que tu ne souhaites pas mourrir du moins pas maintenant.
Oh mais que je suis bête de toutes façons tu vas mourrir. Dit-il en riant.

Éloïse au plus haut degré de panique se met à pleurer.
Il s'approche, lui relève le menton et lui chuchote quelque chose à l'oreille.
Une lueur de soulagement passa dans ses yeux, qui fut vite remplacée par de la peur.
Elle venait de comprendre le sens de la phrase de son kidnappeur.

POINT DE VUE D'ÉLOÏSE

Il est sort de la pièce toujours avec son sourire machiavélique collé sur son visage.
Je tremble, je n'arrive pas à contrôler mon corps, c'est comme si j'étais là mais sans l'être vraiment.
Tout ça me semble être un cauchemar, un de ceux où l'on se réveille en sursaut. Alors si c'est le cas, je voudrais me réveillée maintenant.

J'ai cru être sauvée quand il s'est approché et m'a chuchoté cette phrase : " Tu ne mourra pas maintenant, parce qu'avant on va s'amuser un peu tout les deux."

Au début je n'ai pas compris tout de suite et j'ai juste retenu que je ne mourrais pas, mais j'ai vite compris que c'était le contraire et qu'en plus il compte s'amuser avec moi avant. Est-ce qu'il veut me violer ou me torturer?

Je frissonne à cette pensée, j'ai tellement peur, je ne veux pas mourrir et encore moins souffrir avant. Encore une fois mes larmes coulent...

POINT DE VUE D'ADCOCK

Mon téléphone prépayé sonne, je décroche.

"- Finis en vite! On a plus beaucoup de temps!

-Relax, je gère, j'ai fais ça plus d'une vingtaine de fois.

-Ne me déçois pas."

-Bon, il est temps de commencer.

J'ouvre un placard et en sort une corde très épaisse. Je prend une chaise et entre dans la "cellule" de ma prisonnière.
Je place la chaise et me dirige vers ma victime, elle s'est endormie.

-On ne me l'a fait pas à moi. Dis-je en lui injectant un sédatif.

Sur le coup de la surprise elle ouvre les yeux et regarde son bras, avant de s'endormir.
Je l'attache à la chaise et sors en attendant qu'elle se réveille.

-Qu'est-ce que je vais bien pouvoir lui faire à cette petite... mmh je pourrais la frapper mais c'est trop classique ça ne me ressemble pas et si je.... Oui je vais faire ça. Dis-je en souriant. Je suis sûr qu'elle va adorer.

POINT DE VUE D'ÉLOÏSE

Je me réveille doucement, je lève la tête et le vois assis à califourchon sur une chaise en face de moi, avec son sourire flippant. Je sursaute et il rit. Je tourne la tête et me rend compte que je ne suis plus enchaînée au lit mais sur une chaise. Il se lève et me montre un objet que je ne distingue pas bien.

Une vie trop parfaite. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant