Une vie trop parfaite.

14-Yaël

POINT DE VUE D'IDRISS.
Je me lève difficilement et éteind mon réveil qui sonne depuis au moins dix minutes. Je me dirige vers la porte, en faisant attention à ne pas me cogner, puisque j'ai la flemme d'allumer la lumière. Une fois la porte passé, je déscend les escaliers en courant, comme chaque matin en faisant le plus de bruit possible.

Je sais que mes parents sont réveillés, mais que mon frère :Yaël , lui ne l'est pas. Mon frère a 18 ans, il est un peu plus grand que moi et est blond au yeux bleus, tout pour faire craquer les filles en somme. En entrant dans la salle, j'aperçoit mes parents dans la cuisine.

-Idriss, je t'ai déjà dit mille fois de ne pas courrir dans les escaliers!

-Désolé maman.

-Chérie, tu sais que c'est leur petite chamaillerie habituelle.

-Ha bah voilà, papa il a compris.

J'ai au moins mon père de mon côté. En même temps ma mère est fille unique, donc elle ne connait pas les petites chamailleries habituelle , entre frères et sœurs.

Soudain, j'entend des pas au dessus de ma tête et devine que mon frère est réveillé. Bon, c'est peut être le môment pour moi de partir me cacher. Trop tard je vois débarquer mon frère. Il me jette un regard haineux, avant d'ouvrir la bouche pour parler.

-Sale gamin, tu vas me le payer !

Je prend mon verre de jus d'orange, accompagner d'une tartine au beurre. Je me place fâce à lui et lui fait le sourire le plus faux de toute l'histoire de l'humanité. Il me regarde toujours avec son regard plein de haine et me donne un coup dans le bras, où était mon verre remplit à rabord. Du jus d'ora'ge se déverse sur mon t-shirt. Putain c'est froid.

-Espèce d'idiot, mon t-shirt.

Je l'entend rire et mes parents aussi. Je me retourne vers eux et leur lance un regard noir qui ce veut térifiant, mais qui vu leur tête à l'air assez drôle. Je finis par aller m'assoir à table pour prendre mon petit déjeuner.

Hé oui c'est comme ça avec mon frère, on aime se taquiner et se provoquer et j'avoue que sans ça je m'ennuirai pas mal.

POINT DE VUE D'ANASTASIA

A peine ai-je le temps de passer la grille du lycée qu'une main se pose sur mon épaule. Je sursaute et me retourne, c'est Idriss.

-Tu m'as fait peur.

-Désolé, pourquoi tu m'as évité hier ?

-Une fille est venue me voir et ses parents connaissent les miens. Et... J'avais peur qu'elle...

-Qu'elle nous voit enssemble et le dise à tes parents. Qui sont par ailleurs raciste. Donc tu as bien fait.

-C'est vrai? Tu ne m'en veux pas ?

-Non, je comprend. Je pense que j'aurais fait pareille.

Je souris et embrasse chastement Idriss. Puis je sens quelque chose ou plutôt quelqu'un.

-Bah alors, on attend même plus ses amis, on préfère son petit-ami ?! Dit Éloïse en riant.

-Je devais parler, désolé dis-je en souriant à mes amis.

-Ok, on te pardonne réplique Martin.

Après cette petite expliquation et quelques blagues échangées nous partons tous en classe, Idriss nous accompagnant.

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Ce chapitre est sans actions ayant pour but de vous faire découvrir un peu l'entourage d'Idriss.