"Vous connaissez sûrement l'histoire d'amour entre un «Bad Boy» et une « Good Girl ». Mon histoire y ressemble à un détail près : Le Bad boy est mon demi-frère.
Luna Valente X Matteo Balsano
PS : cette histoire ne reflète pas mon niveau d'écriture...
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📍Buenos Aires, Villa des Gonzales Je me réveille avec un énorme mal de crâne et pose mes mains sur mon front avant de me laisser aller sur le lit. Attendez,what ? J'ouvre rapidement mes yeux, paniquée et scrute les alentours. Je suis sur un lit, habillée d'un t-shirt et d'un pantalon à ma taille dans une chambre. Les murs sont gris et bleus et le désordre qui y règne me laisse croire que je suis dans une chambre de garçon. Mais quel garçon ? Simon? Non, ça chambre n'est pas comme ça. Matteo? Non plus.
L'angoisse me gagne rapidement. Je suis dans une chambre inconnue. Je n'aurais jamais du boire autant. Je savais que c'était une très mauvaise idée, par expérience. Et si j'étais dans la chambre d'un violeur? Attendez une minute, QUI M'A HABILLÉE?! Et si c'était le garçon qui m'a ramener dans sa chambre ?! Plus jamais je ne retoucherais à l'alcool. Je m'extirpe du lit douillet, une fois avoir ingurgité de l'aspirine qui était présente sur la table de chevet près du lit accompagnée d'un verre d'eau pour atténuer la douleur de mon crâne et gagne la sortie de la chambre. Une odeur exquise de pancakes envahit mes narines.
Arrivée en bas, je parcours le reste de la maison du regard jusqu'à tomber sur une femme qui doit avoir une quarantaine d'années, dos à moi. Je peux l'entendre chanter à tue-tête de sa voix douce et mélodieuse. Elle prépare les fameuses crêpes américaines et je ne peux m'empêcher de fermer les yeux et d'humer le parfum succulent de ces dernières. J'en ai déjà l'eau à la bouche. Je m'avance timidement vers la femme et cette dernière se retourne. - Ah ! Te voilà réveillée ! Luna, c'est ça ? S'exclame-t-elle J'acquiesce silencieusement. - Excusez moi, mais, qui êtes vous ? - Je m'appelle Martha Santana mais appelle moi juste Martha. Mon fils t'as retrouver au bord de l'évanouissement et t'as ramener chez nous. Tu le connais, vous étudiez dans le même lycée. - Bonjour ! S'exclame une voix que je reconnais entre mille. Merde - Michel ?!!! M'esclamé-Je, surprise. - Bonjour à toi aussi Luna, quel plaisir de t'entendre crier de bon matin. Me répond-il avec sarcasme. - Qu'est-ce que je fous là? - Mais de rien Luna, ça était un plaisir d'être venu à ta rescousse au milieu d'une soirée d'adolescents où tu étais complètement éméchée et où n'importe qui aurait pu en profiter pour abuser de toi. Nan mais t'inquiète c'est normal. Je marmonne quelques mots incompréhensibles et lui empoigne l'avant bras puis l'emmène un peu plus loin. - Pourquoi? - Quoi? T'as sérieusement cru que j'allais te laisser tomber ? - Après ce que tu m'a dis la dernière fois. - Ouais bon désolé. Je me suis rendu compte que Matteo n'était pas fait pour moi. Et puis j'ai rencontrer quelqu'un de meilleur. - Ouhhhh, c'est qui? L'interrogé-je d'une voix remplie de sous-entendus. Michel baisse la tête en rougissant et je lui donne un coup de coude amical pour le charrier. - C'est Nicolas...... - Attends, Nico ?! Il est gay ?! - Non, bisexuelle. - Oh, raconte moi! Il rougit et ouvre sa bouche pour me raconter leur histoire. Ses yeux pétillent et on comprend facilement qu'il est heureux. Je suis tellement contente pour lui. D'accord, on n'a pas était en bons termes ces derniers temps mais qui sait, on pourrait devenir amis. - Au fait, sans vouloir t'attrister, j'ai vu Matteo et Cande hier. Je suis désolé pour toi, Luna. - Oh.....c'est juste un connard, je ne ressens que de la haine envers lui. Et puis tu n'as pas à être désolé, tu n'y es pour rien. Mensonge. Je n'arrive pas à me le sortir de la tête. Leurs lèvres, leurs visages.......tout est ancrés et je ne peux l'oublier. Je ravale les larmes qui menacent de tomber et lui sourit faussement.
Mon nouvel ami me tapote gentiment l'épaule en me rassurant et me raconte des anecdotes, tentant de me faire sourire. J'étire mes lèvres de temps à autres mais mon esprit est ailleurs....
J'ai sympathiser avec sa mère et elle est un ange. Gentille, adorable, magnifique, je l'admire cette femme. Après le petit déjeuner, je m'habille de mes vêtements de la vieille et retourne chez moi. En entrant, une masse de cheveux bruns me saute dessus. - Luna ! J'ai tellement eu peur pour toi. - Hayley..... je la serre autant que je peux. Sa présence me fait du bien. Elle ne me pose pas de question et je la remercie intérieurement. - On était affolés. Tu n'es pas rentrer hier soir et nous t'avons chercher partout. Mais une amie à toi nous a prévenue que tu dormais chez elle.
Je me contente d'hocher la tête et monte à l'étage. En allant vers ma chambre, je me sens tirer et plaquer contre un mur. Mes pupilles vertes rencontrent un regard caramel. Son regard qui m'envoute tant. - Matteo, lâches moi! Me plaigné-Je sèchement en essayant de m'échapper. Mais bien évidement, il est beaucoup trop fort. - Tu étais où hier soir ? - Et qu'est-ce que ça peut te faire, hein ? Va retourner baiser ta pouffe et laisse moi tranquille. - Elle m'a prise par surprise ! J'avais pas le temps de réagir. Mais je l'ai repoussé, je t'assure. - Comment je peux te croire? - Luna...... Nina et Delfi étaient présentes! Maintenant, où est-ce que tu étais ? Je soupire bruyamment d'agacement et lui répond tout en conservant mon ton glacial : - Je me suis évanouie et Michel m'a emmener chez lui pour éviter que d'autres personnes mal attentionnées ne profitent de la situation. Son regard change et me glace le sang. De la colère et de la culpabilité traversent ses yeux et son emprise autour de mon bras se serre. - Il a osé..... Je m'en veux, je t'assure. Je m'en veux de ne pas avoir réagi dans la seconde mais je te promets que je n'ai en aucun cas répondus à son baiser. Ses mains entourent mon visage, me provoquant des frissons. - Je te crois.... mais c'est pas pour autant que je te pardonne. Sans un mot, je le repousse et m'enfuis dans ma chambre. J'ai pu voir dans ses yeux de la tristesse et de un sentiment de rejet. Bordel. Une fois enfermée dans la pièce, je m'adosse à la porte, me laisse aller contre celle-ci et sanglote. Pathétique. Je suis pathétique.
