mapia

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La nuit était tombé depuis déjà bien longtemps, les ruelles sombres sans aucun bruit à l'horizon, seulement nos rires et nos voix résonnant entre les murs de la ville.
Je marchais maladroitement au côté de mon ami Lucas, celui-ci avait tenu à me raccompagner du aux quelques verres d'alcool que j'avais bu dans la soirée.

-Tu sais Lucas je peut rentrer toute seule. avais-je dit à moitié saoul.

-Je sais.

-Alors rentre chez toi je veux pas te déranger plus longtemps.

-J'insiste. avait-il dit.

L'atmosphère était devenu étrange, pesante.
Il était soudainement moins souriant et avait resserré son emprise sur moi.

-Lucas!

Mon corps sursauta. Je me tourna vers la voix masculine qui avais criée le prénom de mon ami. J'avais beau plisser des yeux je ne voyais rien au loin.

-Tu le connais ?

Un long silence, et aucune réponse. Si j'avais un doute sur cette situation étrange maintenant tout était clair, la situation était vraiment étrange. Lucas resta planter sans bouger, toujours resserrant son emprise sur moi. Deux voitures noire s'interposa entre nous, comme pour barrer notre chemin.

-Tien Lucas pour un homme en fuite tu es de bonne compagnie. dit l'homme en me pointant du menton.

-Qu'est-ce que tu veux? rétorqua Lucas.

-Dois-je te faire un dessin peut-être?

-Laisse moi encore quelque temps pour- supplia-t-il.

-Garde ton discours on l'embarque.

-je t'en supplie pas ça.

-Et la fille aussi.

A ce moment là, quans le regard de l'homme se posa sur ma petite personne mon cœur s'emballa, j'étais terrifié, dans l'incompréhension total.

-Lucas qu'est-ce qui ce passe ?!

-Ça va bien ce passer Clary.

Il me rassura d'un vaste regard, j'avais du mal à y croire tout se déroulais si brutalement que j'avais du mal à penser correctement à la situation. Sous l'emprise de ses hommes je n'osais pas me débattre, crier, ou même tenter quoi que ce soit.

Pendant ce trajet les minutes furent des secondes, tout se passait si vite que j'arrivais à peine à réfléchir calmement. Mes mains moite jouaient entre elles essayant de calmer ma nervosité.

Cette angoisse s'arrêta quand je descendu de cette voiture forcée par les hommes. C'était une chic demeure, un luxe apparant l'endroit était étrange pour un kidnapping. La pression redescendait légèrement.

-Il t'attend en haut. affirma le noiraud.

-J-Hope je t'en pris laisse moi encore une chance.

-La ferme tu t'adressera devant lui.

Deux hommes tenaient Lucas, un Lucas qui n'était pas prêt de se laisser faire suppliant mainte et mainte reprises les hommes qu'on le laisse. Le dénommé J-Hope se tenais à ma droite, il n'employait aucune force sur moi, veillant simplement à ce que je suive la marche.

En haut des somptueux escalier se trouvait un immense couloir, tout avais l'air si grand ici que je ne savais pas où donner de la tête. Un silence régna aussi entre les murs, c'était très angoissant cette situation. Dans mon champs de vision, au bout de cet immense couloir se trouva deux grandes portes d'un noir massif.