𝑺𝑼𝑷𝑬𝑹 𝑰𝑳𝑳𝑼𝑺𝑶𝑹𝒀 //𝑵𝒖𝒎𝒃𝒆𝒓 𝑭𝒊𝒗𝒆

Chapitre 6:

J'entre dans la chambre d'Aidan.
Il fait des calculs à la craie sur les murs.
- J'imagine qu'on va devoir tuer quelques personnes. Soupirais je en sachant pertinemment que ces calculs vont donner pour résultats qui nous devons tuer pour empêcher l'apocalypse.
- Moi oui, toi t'est pas obligé. Me lance t-il.
- Bien sûr que si je viens avec toi!
- Comme tu veux.
Luther entre.
- Salut gros bras. Saluais je d'un ton las avant de m'affaler sur le fauteuil de Cinq. Pendant qu'il expliquait à Luther le sens de ses calculs, je me mets à observer Dolores. Pourquoi est ce que j'ai toujours l'impression que ses foutu mannequin me regarde méchamment!
Luther et Cinq se disputent.
- Essaye de m'arrêter pour voir! Crie Cinq. Tout à coup je me sentirais décoller du sol. Luther me pendait dans le vide par le bras et il pendait Dolores par le cou avec son autre main.
- Luther je te jure que si tu me lâche. J'ai pas le temps de finir ma phrase qu'il prend la parole.
- Laquelle tu vas sauver Cinq? Aidan le menaça avec son fusil. Je me concentre et fit apparaître un immense matelas en dessus de la fenêtre, mais je ne le fit pas remarquer à Aidan. Je veux savoir qui de Dolores ou de moi il va sauver, comme ça quoiqu'il arrive n'y moi n'y le bout de plastique ne seront blessé. Je senti la main de Luther me lâchait, juste avant de sentir celle d'Aidan me rattraper. Dolores tomba sur le matelas. Je ne pu m'empêcher de lui lancer un regard rieur. Aidan me reposa au sol.
- T'est toujours quelqu'un de bien au fond Cinq. Déclare Luther. Je me retourne vers lui.
- Je vais te tuer! Aidan m'empêcha d'avancer. Lâche moi Aidan!
- Y'a bien un autre moyen, mais c'est quasiment impossible. Dit-il.
- Plus que ce qui t'a permis se revenir ici? Demanda Luther.

[...]

Après nous avoir expliqué son plan, Luther monta dans la voiture, ce que je m'appretais à faire avant qu'Aidan m'arrête.
- Merci. De ne pas avoir laissé Dolores s'écraser au sol tout à l'heure.
- De toute façon il me fallait bien se matelas au cas ou Luther m'aurait lâché! Riais je sans trop de conviction.
- Tu crois vraiment que pu j'aurais rattraper Dolores et te laisser d'écraser au sol?! Demanda t-il vraiment surpris un sourire au lèvres avant d'entrer dans la voiture. WAIT! Il vient carrément de m'affirmer qu'il n'avait absolument pas hésité! Mais bordel j'aurais du laisser ce putain de mannequin s'écraser au sol! Pensais-je en montant à mon tour dans la voiture.
On prit la route jusqu'à arriver sur une route déserte. On descendit tous de la voiture et Cinq réussi à négocier avec Hazel et Cha-Cha pour qu'il appelle la Directrice.
Je m'étais assise sur le capot de la voiture en attendant le verdict.
- Alors? Demandais-je.
- Ça a l'air de marcher. Elle ne devrait pas tarder. Déclare t-il. Maintenant on attend.
- En tout cas j'ai pas hâte de revoir cette pute!  Crachais je.
Au bout de quelques secondes, une petite musique retentit et un camion de glace arrive à toute vitesse. Quand il arrive à notre hauteur j'aperçois Klaus au volant qui nous fait un signe de la main.
- Merde! Non Klaus! Pas maintenant! Jurais-je.
Hazel et Cha-Cha commencèrent à tirer et Luther se placa devant Aidan. Pendant je me cacher derrière la voiture.
Tout à coup les couleurs changèrent et c'était comme si le temps c'était arrêté, je me dirige vers Cinq qui lui bougeait encore.
- Bonjour Cinq. Eïleen ça faisait longtemps. Déclare la Directrice avec son habituel ton hautain.
-

J'aurais préféré que ça fasse plus longtemps. Crachais je méchamment.
- Toujours aussi sympathique. Dit-elle en souriant. Dites moi tout je vous écoute.
- Je veux que vous m'étiez un terme à tous ça. Déclare Cinq.
- Vous savez bien que c'est presque impossible, même pour moi. Ce qui doit se produire se produira.
Cinq sorti une arme et la pointe sur la Directrice.
- Quelqu'un me remplacera. Je ne suis q'un petit rouage dans une grande machine. Déclare t-elle. Ce rêve que vous avez de réunir votre famille pour empêcher l'apocalypse, ce n'est rien de plus qu'un simple rêve. Cela dit, je dois dire que vous nous avez bleufer, votre esprit d'initiative et votre persévérance, c'est vraiment très impressionnant. C'est justement pour ça que nous aimerions vous proposer un nouveau poste à la commission. Vous pourriez tout les deux êtres responsable des missions. Vous serez ensemble comme vous l'avez tant désiré et au bout de disons 10 ans de service, vous seriez libre de vivre paisiblement dans l'époque de votre choix. Ensemble ou... Elle se tourne vers moi. Ou alors nous pourrions ramener Thomas. Me dit elle avec un grand sourire. Je voulu répliquer, mais je ne trouvait rien à dire, Cinq me lança un regard interrogateur.
- Et vous faites quoi de notre famille? Demande t-il. Ça me tient à coeur qu'ils survivent.
- Tous. Répondis-je froidement.
- Je vais étudier la question. Dit-elle. Marché conclu. Continua t-elle en nous tendant la main.
- J'aimerais d'abord en parler avec Eïleen. Dit Aidan. Je fronce les sourcils, ça ne fait partie du plan?!
Il m'attrape par le bras et on s'éloigne de la Directrice.
- On s'en tient au plan. A moins que... Il hésita. Je comprendrais que tu veuille venir pour Thomas. Il fronça les sourcils des qu'il prononça son prénom.
- Thomas est mort il y 27 ans et j'ai fais mon deuil. Je n'ai pas le temps de vouloir sauver les morts Aidan. J'ai déjà assez de travail avec les vivants! Je tourna mon regard vers la camionnette de Klaus. On s'en tient au plan, tu y vas et je surveille notre famille de détracté! Répondis-je en souriant.
Il placa ces mains autour de mon visage. Mon coeur accélère dangereusement.
- Fait attention à toi. Me dit-il.
- Je suis une grande fille je peux me débrouiller. Répondis-je en souriant. Il hoche la tête avant de s'éloigner.
Aidan déplaça la balle qui se dirigeait droit vers Luther. Et il serra la main de la Directrice.
La camionnette à glace rentra dans la voiture d'Hazel et des balles se perdirent.
Luther jetta la malettte et on pris la route, pendant que Klaus adressait un doigt d'honneur à Hazel et Cha-Cha.
Cependant je n'arrivais pas à me réjouir de notre exploit, me séparer de lui c'était vraiment douloureux. Je ne lui aurais jamais montré bien sûr, mais des qu'il s'en va, j'ai tellement peur qu'il ne revienne jamais.

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