Les bruits de quilles et le surplus d'émotions me donnent un mal de crâne atroce. Assise sur une chaise du Bowling, je passe mes mains dans mes cheveux.
- Ça ne me fait pas plaisir de dire ça, mais on doit tous se préparer. Déclare Luther. Je soupire.
- À faire quoi? Demande Diego.
- À faire tous ce qu'il faudra pour arrêter Vanya. Repris Numéro 1.
- La ferme Luther. Dis je en soupirant pendant qu'Alisson le frappait avec son carnet.
- On aura peut êtres pas le choix! Fit Luther.
- On a toujours le choix. Declarais je sèchement.
- Ah oui? Lesquels? Demande Aidan.
- Je sais pas! Essayer de simplement la raisonner! Je suis sûre qu'Alisson pourrait y arriver! Répondis je. Tu pense que tu serais capable de tuer Vanya Aidan? Je lui lance un regard de défis, il ouvre la bouche mais ne répond pas.
- Peut importe ce qu'on décide il faut qu'on la retrouve rapidement, elle peut êtres n'importe où. Fit Luther.
- Non. Elle est là. Intervient Klaus en tendant un journal avec la photo de Vanya. Elle est à son concert de violon.
- Bonjour! Nous interromps la voix joviale d'une jeune femme. Désolé, mais mon patron dit que si vous ne jouez pas au Bowling vous devez vous en aller. Luther jette un regard noir à l'homme en question et balance violemment une boule.
- Stike! Declarais je d'une voix joviale.
Alisson écrit sur son carnet:
- "C'est notre soeur!"
- Y'a que nous qui puissions stopper ça! On a une responsabilité envers Papa! Répond Luther.
- Et c'est reparti pour un tour! Soupirais je.
- Envers Papa?! Nous je commence vraiment à en avoir. S'énerve Diego avant que Luther le coupe.
- Il a absolument tout sacrifié pour nous rassembler!
- Je suis d'accord avec Luther, on ne doit pas lui laisser l'occasion de se défendre des milliards de vie sont en jeu, on a pas le temps d'essayer d'en sauver qu'une. Fit Aidan.
- Quand t'as dit que tu étais d'accord avec le Gros Nounours, j'ai eu peur, mais même si ça me tue de l'avouer t'a pas tord sur la fin de ta phrase. Avouais je.
- Euh je peux peut être aider moi? Demande Klaus.
- C'est pas le moment. Dit Luther.
- Laisse le parler. Continue Diego, Luther lui lance un regard interrogateur. Il m'a sauvé la vie aujourd'hui. Je souris.
- C'est vrai? Demande Numéro 1.
- Ouais, c'est vrai que je me suis attribué le mérite, en réalité le vrai héros... C'est Ben. On le regarda tous d'un regard interrogateur.
- Ben est mort Klaus, tu le vois, nos nombreuses conversation mon totalement convaincu, mais tu m'a dit que tu ne pouvait pas le toucher? Demandais je.
- Oui! Mais ce matin il m'a mis un coup de poing dans la figure! Et toute à l'heure, c'est lui qui a sauvé le cul de Diego! Pas moi! Fini mon jumeau.
- T'est vraiment pas croyable Klaus. Fit Luther.
- Tu veux une preuve je vais te donner une preuve! Il attrape une boule et la jette en face de lui. Le boule tombe au sol en un bruit sourd.
- Y'aurais pas un moyen de faire taire la petite voix dans ta tête qui veut absolument êtres le centre de l'attention?! S'énerve Luther. Je ris.
- Tu devrais peut être réfléchir à comment faire taire la tienne. Ironisais je.
Luther s'apprêtait à renchérir quand Klaus ajouta:
- Je crois que je te trouvais plus agréable avant que t'est couché avec une fille! Je grimace en apercevant la tête d'Alisson.
- Aïe... Chuchotais je.
- Mais c'était pas... Franchement c'était... C'était pas sa faute, par qu'il... Il était était complètement défoncés pas vrai? Bégaye Klaus.
- Carrément! Declarais je pour essayer d'appuyer les arguments de mon frère.
- Et la fille elle a cru qu'il portait un genre de costume et. Luther arrête Klaus dans son argumentation.
- Tu la ferme!
- D'accord... Répondit Klaus d'une toute petite voix. Alisson s'en va et Luther part à sa poursuite. Je m'assoie à côté d'Aidan un verre d'eau à la main.
- Excusez moi! Nous demande une femme en arrivant avec son fils. C'est l'anniversaire de mon fils Kenny et on se disait que vous préféreriez peut être jouer avec des enfants de votre âge? Demande la femme d'une voix joviale en s'adressant à Aidan et moi qui étions assis côte à côte. Enfin si vos 2 Papa sont d'accord? Reprit t'elle en désignant Diego et Klaus. Je recrache ma gorgée d'eau en toussant à cause se mon fou rire.
- Je préférais encore merci faire arracher les deux pieds! Répondit Cinq. La femme perd son sourire. Je pose ma main sur l'épaule d'Aidan.
- C'est ça manière à lui de dire "Non Merci" Répondis je en souriant sarcastiquement. La femme s'en va et un bruit que je connais que trop bien se fait entendre. Aidan semble l'avoir entendu aussi. On se jette un regard inquiet et on s'approche du bruit.
Il sort un message de la commission d'un distributeur de boules sur lequel est écrit "Numéro Cinq et N8".
- Comment elle nous as retrouvé? Demande t-on en coeur. J'aperçois dans les yeux de Cinq une illumination. Il fouille dans sa pochette et en sors des bonbons, il en ouvre un et en sort une des puces de la Directrice.
- J'ai beau détester cette femme, je dois avouer que c'est malin. Declarais je pendant qu'Aidan détruisait la puce sous sa chaussures. Il ouvre la capsule et sors le message: "Le temps passe... Non? Rain Quail RM 12" C'est le nom d'un hôtel et le numéro d'une chambre.
- J'y vais. Dit t-il fermement, il s'apprête à se teleporte mais je lui attrape le bras pour l'en empêcher. Je lui lance un regard pleins de sous entendu en haussant les sourcils. Non. C'est hors de question que tu viennes avec moi. C'est dangereux.
- Arrête Aidan je suis plus une enfant! Il hausse les sourcils et regarde moi corps de hait en bas. Tu veux vraiment jouer à ça?! Demandais je en désignant son corps d'enfant pareil au mien.
- Reste ici, on c'est pas ce qu'il peut se passer ils auront besoin de toi. Déclare t-il en montrant de la tête Klaus et Diego.
- Bon. Okay... Soupirais je en boudant et en regardant mes pieds. Il relève mon menton du bout des doigts et m'embrasse doucement.
- Je t'aime. Dit il en souriant.
- Moi aussi, fait attention... Il me souris de nouveau ouvre une faille et disparaît.
Je retourne m'asseoir près de Klaus.
- Bon. Où est Cinq? Demande Luther.
- Il est parti. Fit Diego.
- Où ça?
- Il a rien dit. Répondit Diego.
- Il rend une visite importante à une vielle amie. Répondis je en souriant au mot "amie".
- On a pas le temps l'attendre, le concert commence dans trente minutes. Fit Luther.
- Okay, c'est quoi le plan? Demanda Diego.
- Oh... Euh... On va au théâtre. Répond Luther.
- C'est un lieu ça, pas un plan. Reprit Diego.
- Super, il a pas de plan... Soupirais je en me massant le crâne.
- Attend c'est tous ce que t'as? Tu veut êtres notre numéro 1, ça le va. Mais tu dois nous faire travailler ensemble parce que pour l'instant, c'est du grand n'importe quoi! Fit Diego.
- Un point pour Diego. Declarais je.
- T'as raison. Répondit Luther. Il nous faut un plan.
D'un coup des hommes armés de masque et de mitrailleuses commencèrent à tirer dans le Bowling.
On se cacha tous sous les tables.
- C'est qui ces mecs?! Hurla Diego.
- Ils sont peut être venu pour l'anniversaire du petit Kenny! Declarais je en coeur avec Klaus.
- Non je pense qu'ils sont venu pour nous! Constate Luther.
- Vraiment tu crois Luther?! Ironisais je. Diego se leva et jetta un couteau droit dans le coeur d'un des hommes qui tomba sur le comptoir activant une lumière bleue et de la musique.
- C'est super j'adore cette musique! Merci DJ! Declarais je en faisant un salut militaire à Diego avant de faire apparaître une arme à feu dans ma main et une autre que je donna à Alisson. Je commence à abattre quelques hommes quand j'aperçois Klaus avec un gâteau d'anniversaire dans les mains, il se lève et le jette sur un des hommes.
- Pauvre Kenny... Riais je en continuant de tirer.
- Ils bloquent la sortie! Déclara Klaus.
- Les pistes! Fini par crier Diego. On se mit alors à courir sur les pistes de bowling, je senti quelques balles me frôlaientt avant de glisser sur les fesses dans le conduit des quilles.
VOUS LISEZ
𝑺𝑼𝑷𝑬𝑹 𝑰𝑳𝑳𝑼𝑺𝑶𝑹𝒀 //𝑵𝒖𝒎𝒃𝒆𝒓 𝑭𝒊𝒗𝒆
Fanfiction⚠ Vielle fanfiction "- Sauver le monde! Y'a que ça qui compte à tes yeux Cinq! - Bordel mais c'est pas le monde que je veux sauver! C'est notre famille! C'est toi Eïleen!" Eïleen à toujours été différente. Elle n'avait qu'un rêve, s'échapper de son...