𝑺𝑼𝑷𝑬𝑹 𝑰𝑳𝑳𝑼𝑺𝑶𝑹𝒀 //𝑵𝒖𝒎𝒃𝒆𝒓 𝑭𝒊𝒗𝒆

Chapitre 16:

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Je redresse et fait apparaître une arme à feu dans ma main pendant qu'Aidan se téléporte au bar avant de revenir près de moi un couteau à la main. Elle est tranquillement assise sur le fauteuil en face du canapé. Elle porte des vêtements plutôt vieillot et une ombrelle est posé à côté d'elle, c'est comme si elle venait d'un autre siècle. [Média]
- Qui êtes vous?! Demande t'il.
- Mon identité est t-elle vraiment importante? Après tout nous défini t-elle vraiment? Demande t-elle comme si elle n'était pas menacé par deux armes.
- Vous pensez qu'une balle dans le crâne réussirez à vous définir?! M'énervais je. Répondez! Elle m'adresse un grand sourire et sors un rouge à lèvres rouge éclatant de son soutien gorge et en applique sur ses lèvres avant de recoiffer ses cheveux roux.
- Vous vous foutez de nous?! Crie Aidan.
- Pas du tout mes chéris! Elle se mit à rire. Elle est complètement tarés?! Je lance un regard interrogateur à Aidan. Elle cesse de rire et prend un air beaucoup plus sérieux.
- Vous pensiez sérieusement échapper à la Commission si simplement?
Mon coeur accélère. L'ancienne Directrice à été clémente avec vous. Elle sourit. Ça ne sera pas mon cas. Dit elle en perdant son sourire et en nous lançant un regard assassin. Je lui tire dans la jambe, elle ne vasille même pas.
- Non non non... Dit elle en secouant la tête un grand sourire aux lèvres. Mon coeur manque un battements. Elle approche ses doigts de la plaie, et retire la balle sans même grimacer. La plaie se referme à vu d'oeil. Je me rapproche d'Aidan. Elle inspecte la balle pendant quelques secondes en souriant avant de me la jeter.
- Comme vous l'aver dit ma prédécesseure, quelques changements ont été effectués à la Commission en commençant par son dirigeant. Moi! Dit elle en riant. Elle se met à se déplacer dans la pièce. Quoi de plus efficace pour arrêter des êtres surhumain qu'un êtres surhumain? Un des 43 enfants dotés de pouvoir qui en plus de ça est immortel, c'était parfait pour ce poste. Continue t-elle en me caressant la joue. Je lui lance un regard noir. On m'appelle la Directrice, mais vous et moi sommes en quelques sortes de la même famille, donc appelez moi Sibille! Fini t-elle avec enthousiasme. Cependant... Elle claqua des doigts et plusieurs homme masqué comme ceux du soir de l'apocalypse descenderent tenant toute notre famille. Klaus me lance un regard triste.
- Si vous leur faite du mal je jure que je vous tue! Hurlais je en mavancant vers cette connasse. Un autre homme au masque apparaît et m'attrape.
- C'est impossible mon ange! Rit t-elle
- Lâchez là! S'énerve Aidan. Je fais apparaître un poignard dans ma main et poignardé l'homme qui tombe au sol.
Je lance un regard complice à Klaus qui comprend vite, ses poing deviennent bleu et Ben apparaît lançant échapper ses tentacules. Ben ayant éliminer les hommes qui tenais notre famille. Aidan et moi nous occupons des trois autres.
- Remarquable. Se fait entendre la voix aiguë de la nouvelle Directrice.
Aidan brise la nuque du dernier homme et je me retourne vers la femme. Elle a disparu.
- C'était qui? S'écrie Alisson.
- La Commission... Declarais je en coeur avec Aidan.
- Changer tous de vêtements et vérifiez si vous n'avez pas de puce sous la peau, il faut qu'on se barre d'ici! Declarais je fermement en montant dans ma chambre, j'attrape une salopette en velours bordeau et un sous pull rayé noir et blanc et me rend en vitesse vers la salle de bain la plus proche. Je retire mes vêtements et tâte chaque partie de ma peau. Aucune puce. J'enfile mes vêtements et descend rapidement dans le salon où se trouve le reste de ma famille.

- Personne n'a trouvé de puce. Me fit Aidan.
- Je n'en ai pas trouvé non plus.
-

C'était logique qu'elle nous trouve à l'académie. Continue Aidan.
- Vous voulez aller où? Demande Luther.
- Sur la Lune. Ironisais je. J'entends Klaus glousser pendant que les autres mes lancent des regards noirs. Quoi?! Ça va, je voulais juste détendre l'atmosphère! Thomas avait une grande ferme, elle n'a pas était détruit et elle est plutôt reculé, on a qu'à aller la bas, je nous créerez ce qu'il nous faut pour vivre. Vous n'emmener absolument RIEN! Tout peut cacher une puce! Même pas de drogue Klaus! Je l'entend riposter qu'il ne se drogue plus, mais je n'y prête pas attention je m'apprête à rentrer dans ma voiture, mais je m'arrête.
- Merde. J'avais pas de voiture quand j'avais 15 ans. Je soupire avant de me rendre compte de ma stupidité. Je sourit et fait apparaître un van possédant assez de place pour contenir tout le monde.
Aidan me sourit fièrement.
- C'est vraiment pas très juste la répartition des pouvoirs! S'écrie Klaus en montant à l'arrière du véhicule.
Diego monte côté conducteur mais je le vire rapidement en déclarant qu'il ne connaît pas le chemin. Il rechigne mais fini par me laisser conduire.
Je démarre et sors de l'académie pour m'engager sur la route.
On roule pendant plus d'une demi heure. Moi qui pensait qu'on pourrait enfin vivre tranquille, il fallait que la Commission continue de nous faire chié.
- On est bientôt arrivé! Faut que je pisse! Me crie Klaus à l'arrière.
- Ta gueule. Répondis je fermement n'étant pas d'humeur à affronter Klaus. Je fait apparaître un morceau de Scotch sur sa bouche. Il retiré doucement en grimaçant.
- Ça c'était pas cool! Fit Klaus en s'enffonçant dans son siège.
- Desolé Klaus, mais c'est pas le moment... M'excusais je en soupirant. Et si tu veux savoir, on est bientôt arrivé. Je le vois hocher la tête dans le rétroviseur.
- Merde. Jure Aidan en désignant quelques choses à ma gauche. Une patrouille de police. Ils ne laisseront sûrement pas une ado de 15 ans au volant s'en tirer comme ça. Je soupire. Et l'agent me fait signes de me garer, ce que je fais.
- Alisson on va avoir besoin de toi. Déclarais je avant d'ouvrir la fenêtre.
Le policier s'apprête à parler mais ma soeur l'en empêche.
- J'ai entendu une rumeur qui disait que vous alliez nous laisser nous en aller et faire comme si vous ne nous aviez jamais vu. Déclara Alisson. Le policier fini par nous laisser partir et on reprend la route pour rapidement arriver à l'entrepôt.
Je descend de la voiture, et les immenses murs ancien se dresse devant moi me rendant nostalgique.
Je sens une main sur mon épaule.
- Ça va? Me demande Aidan.
- Ça doit lui rappeler son petit paysans. Déclare Diego en souriant. Aidan lui lança un regard noir. Sans savoir pourquoi mon sang ne fait qu'un tour.
- Au fait Diego comment va Patch? Crachais je. Diego perdit son sourire et je me rendit compte de la méchanceté de ma phrase, ce qui me fit culpabiliser. Il s'avança vers la porte plutôt énervé.
- Diego... Je...
- Ouvre la porte si tu veux pas que je la défonce. Dit t'il fermement.
Je sors la clé que je porte au cou et ouvre la grande porte. Tout le monde rentre sauf moi, en voulant venir ici je ne pensais pas que ça ferait remonter autant de souvenirs. Une larme coule le long de ma joue mais je l'essuye rapidement. Un main se glisse dans la mienne, celle d'Aidan.
- Ça va aller. Dit t'il inquiet. J'hoche la tête et on entre dans la ferme. L'endroit est vide et poussiéreux.
Je fais apparaître 11 lits, ce qui me fatigue rapidement. Je m'assoie à bout de force.
- On va vraiment vivre ici? Demande Alisson.
- T'as une meilleure idée?! S'énerve Aidan voyant que je n'était pas en état de répondre. Je soupire et monte sur la mezzanine, là où Thomas rangé le foin. Il y a toujours cette grande ouverture qui ressemble à un genre de fenêtre et qui offre une vue magnifique sur les campagnes alentours.
Je m'assoie sur une botte de foin et observe la vue. Aidan me rejoins rapidement, il me prend simplement la main sans un mot.
- Tu penses vraiment qu'on pourra vivre normalement un jour? Demandais sans quitter le paysage de vue, des larmes s'engouffrent dans mes yeux. J'aurais tellement souhaité êtres juste normale... Ma voix se brise et j'éclate en sanglots. Aidan passe ses bras autour de moi et me serre contre lui. J'en peux plus Aidan... Je veux juste vivre comme n'importe qui.
- On y arrivera... Me chuchote t'il en embrassant le haut de mon crâne.
- Comment? On ne va se cacher éternellement? Parfois je me dit que ce serais plus simple que tout s'arrête... Aidan place ses mains autour de mon visage.
- Ne pense plus jamais ça! Eïleen, tu est ma meilleure amie, ma petite amie, la personne la plus importante à mes yeux. Tu est la personne la plus drôle, la plus forte et la plus intelligente que je connaisse, et je ne peux pas te perdre, Klaus non plus. Le suicide n'arrête rien, alors je t'en prie ne pense plus jamais à ça. Il me regarde avec des yeux triste. Je te promet que je trouverais un moyen de nous sortir de cette merde, et je ne mourrais pas sans l'avoir trouvé. Une petite larmes coula le long de ma joue et je le sere dans mes bras, le serre comme si ma vie en dépendait, parce que c'est le cas après tout...

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