Chapitre 21

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Hello la jeunesse !!

J'espère que vous allez bien ! Ici on fait aller ! Je vous préviens d'avance, j'ai un week-end assez chargé donc ne vous attendez pas à trop chapitres !! Déso !!

Pour le track du jour, j'ai trouvé cette chose. Alors, c'était pas du tout ce qui était prévu. Mais c'était trop hypnotisant pour ne pas vous le proposer. (EmieLores, s'il te plaît ne me laisse pas seule au milieu de mon salon, accompagne moi dans mes poses dramatiques XD)

Sur ce, je vous souhaite une agréable lecture (bon par contre j'ai rédigé ce chapitre sur OpenOffice donc hurlez pas si les mots sont collés, c'est Wattpad qui a chié dans la colle à la publication et je serai sûrement en train d'essayer de régler le problème. Édit: oui ça m'a collé tout les mots c'était horrible. En plus il m'a fait ça après la publication. J'ai donc du tout reséparer sur mon ordinateur.. qui lui a décidé de ne plus avoir de carte réseau... Ça fait donc une heure que je suis en train de régler cette merde depuis mon téléphone... Et donc ça a fait sauter toute ma mise en page. Le premier qui se plaint.... Je serai pas sympa avec lui. Deso mais parfois faut juste pas chercher 😘

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18 septembre - Hôtel d'Ayia Napa

Thomas se retourna dans son lit en resserrant les draps contre lui, il avait toute la place pour lui désormais.

Il regarda distraitement la météo à travers la baie vitrée qui donnait sur la terrasse : le soleil était levé depuis longtemps désormais. Mais le jeune homme n'avait aucune envie de se lever.

Déjà, il avait très mal dormi. En effet, son organisme ne lui offert qu'un repos très fragile, et d'une durée très courte.

Le touriste avait passé une partie de sa nuit, sur la terrasse, à ressasser les événements, fumant l'intégralité du paquet de cigarettes abandonné là par Damien. (c'est pas bien de fumer les enfants !! *range son paquet*)

De toute façon, l'employé ne viendrait jamais le chercher. Ni l'étui, ni Thomas.

Le jeune homme sentit poindre à nouveau la tristesse dans sa poitrine. Alors il ferma les yeux, comme si cela pouvait lui permettre de disparaître dans l'amas de tissu qui l'enroulait.

La veille, et jusque tôt ce matin, il avait été furieux, rendu fou de rage par la trahison de ce qu'il pensait être son ami.

Rendu malade de colère, il était resté cloîtré dans sa chambre, refusant même de descendre se nourrir. Il était donc demeuré là, dans ce petit espace un peu impersonnel mais qui semblait lui servir de bulle confortable.

Il s'était interdit le moindre contact avec Damien. Il lui était inconcevable de lui accorder ce plaisir. L'employé avait abusé de sa confiance et il était hors de question de lui donner une chance de recommencer.

Thomas serra les poings dans le mince drap, il se trouvait horriblement stupide.

Mais au moins, ce matin-là, il était bien plus calme que la veille au soir. Il n'avait plus envie de cracher au visage de Damien, ni de l'insulter de tous les noms.

Non, à cet instant, étendu dans son lit qui n'était pas le sien, il se sentait trahi et infiniment triste. Mais il n'éprouvait plus aucune colère. Peut être parce qu'il n'était pas habitué à ressentir des émotions aussi virulentes.

Ou peut-être parce que la nuit l'avait fait beaucoup réfléchir, et qu'à présent, ses pensées semblaient en ordre.

Déjà, si Thomas souffrait autant aujourd'hui, c'était entièrement sa faute. En effet, ce n'est pas Damien qui l'avait poussé dans cette relation un peu ambiguë.

La fin de l'été [Terraink]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant