Chapitre 4: la culpabilité

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J'espère que ce chapitre va vous plaire 

Bonne lecture xxx

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Pensée d'Harold:
Lorsque Ingrid, Rustik et moi arrivions dans la grande salle. Je vis Mastok, le père de Rustik, Gleufort, ma mère, Valka, Varek, les jumeaux, l'équipe auxiliaire et Dagur, qui était dans un coin reculé de la salle. Je regardais Ingrid et Rustik avec un regard perdu et ils me retournèrent ce même regard.

- Ok, c'est très sérieux.

-Mais, qu'est-ce qui se passe enfin, demanda Ingrid.

- On n'a pas vu de bateaux qui se dirigeaient vers Beurk, dit Dagur en s'avançant pour répondre à la question de sa sœur.

- Bonne nouvelle, s'exclama Rustik.

- Non, pas du tout, enchaina Varek.

- Et pourquoi ça, continua Rustik.

- Car Dagur a repéré d'une flotte d'une trentaine de bateaux qui attendait sur une île, lors du retour , dit Kogne, le plus sérieux du monde, en pointant une île sur la carte qui était sur la table.

- Ok, donc il faut préparer la défense. L'attaque risque d'être plus violente que celle de sur l'île de Dagur car je pense que Alrik va être beaucoup agressif.

- Je suis d'accord avec Harold, répliqua Ingrid.

- Donc, qui va s'occuper de la défense et de l'attaque de l'île?

- Il n'y a pas déjà quelqu'un qui s'occupe de ça, répliqua Kran.

Juste après qu'il aie finit de parler que sa soeur lui donne une gifle en arrière de la tête.

- Idiot, tu sais bien que c'est Astrid qui s'occupe de ça à l'habitude, expliqua Kogne tristement.

Après que Kogne a parlé, je me mis dos à tout le monde et mes yeux se sont remplis d'eau. Il y a quelques unes qui ont roulé sur mes joues.

-Qui va faire les plans de défense et d'attaque, questionna Dagur.

- Je pensais que Ingrid et toi pourriez le faire, expliquais-je en essayant de contrôler ma voix.

-Bonne idée, s'exclama Varek.

- Qu'est-ce que ça vous dérange, questionna Mastok, le père de Rustik.

- Non, non, répondit les deux parenvrilles.

- Parfait, tout est réglé. Bonne soirée.

Je me dirigea vers la porte de la grande salle sous le regard de tous mes amis quand Ingrid me rattrapa.

- Harold, où vas-tu, questionna Ingrid.

- Je vais voir les jumelles pour leur expliquer la situation.

- Veux-tu que je t'accompagne?

- Oui, s'il te plait, je ne sais pas comment leur dire

- Parfait allons y, me dit-elle en affichant un sourire triste

QUELQUES MINUTES PLUS TARD...

Ingrid et moi arrivions chez moi, alors j'ouvris la porte et je vis les filles dans le salon.

Pensée d'Allison:
Je jouais aux masses et aux griffes (c'est un genre de jeu d'échec) quand je vis la porte s'ouvrit. je pris ma « double haches» ( comme celle que ma tante Ingrid) et je fis un signe à Cia (le surnom que j'ai donné à ma jumelle Alicia, puis, elle m'appelle Lia) de ne pas parler car elle s'en allait pour parler puisqu'elle s'inquiéta lorsqu'elle me vit prendre mon arme. La porte continua à s'ouvrir et mon papa et ma tante, Ingrid, firent leur apparition. Je lâcha mon arme et alla faire un câlin. Cia fit comme moi. Après ce beau moment, je pris la parole.

- Vous nous avez fait peur.

- Désolé, ce n'était pas le but, dit Ingrid.

Alicia, Ingrid et papa s'assissent à la table et moi, je me dirigea vers la cuisine.

- Vous n'avez pas encore mangé aujourd'hui, questionna ma soeur.

- Non, répondit mon père.

C'est alors que je revenais vers la table avec deux boles de soupe que Alicia et moi avions fait ce matin.

- Tenez, mangez. Vous devez mourrir de faim.

- Non, merci les filles. Je n'ai pas faim, dit mon père en repoussant le bole.

- Merci beaucoup les filles, fit ma tante.

- Aller papa, s'il te plaît, il faut que tu manges, c'est pour ta santé, continua Ingrid.

- Je vais en manger mais, après je dois vous parler les filles, continua mon père.

- Parfait

Donc, ils mangèrent leur bole de soupe.

- Elle est très bonne votre soupe, dit ma tante.

- Oui, c'est vraie, continua mon père.

Je pris les boles et les mis dans le lavabot. En revenant vers eux, je repris la parole:

- Donc, c'est quoi que vous vouliez nous dire tantôt.

- Bon euh, c'est à propos de votre mère, dit-il hésitant.

- Oui, on t'écoute, dis-je en même temps que ma soeur .

Il regarda ma tante et il reprit:

- Votre mère s'est mis entre moi et la flèche.

- Comment tu sais ça...

- Ok et..., continua Alicia.

- Astrid s'est réveillé quelques minutes tantôt, précisa ma tante .

- C'est de ma faute, si j'avais fait plus attention, dit-il en fuyant notre regard.

- Bon, papa, maman, nous a toujours dit que ce qui  compte le plus pour elle, c'est Cia, toi et moi.

- Si elle ne l'avait pas fait et qu'il t'aurait arrivé quelque chose. C'est elle qui culpabiliserait présentement, continua ma jumelle.

Pensée D'Ingrid:

Je trouvais ça trop mignon de voir les jumelles dire à Harold que ce n'était pas de sa faute. Je lui avais dit mais, je pense qu'il avait besoin de l'entendre de la bouche des filles. Je sortis de mes pensées quand j'entendis du bruits et je vis les jumelles se levèrent. Puis, elles sont allées faire un câlin à Harold.

- Je vais y aller.

Les jumelles s'écartèrent. Harold se leva et il me fit un câlin.

- Merci pour tout Ingrid, me murmura-t-il.

Je lui fis un sourire et je m'en alla. Lorsque j'arriva chez moi, Varek m'attendait dans la cuisine. Il me demanda qu'est-ce que j'avais été faire. Je lui expliquais la situation, il trouva ça lui aussi très cute. Il alla nous chercher une tisane dans la cuisine et je suis allée m'allonger sur le divan et je m'endormis.

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À la semaine prochaine xxx

Le prochain chapitre sera en ligne la semaine prochaine :) 

Quand la guerre s'en mêle...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant