Chapitre 7: MAMAN!!

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Pensée de tout le monde:
Cela fait un mois que Astrid est dans un coma. Depuis trois jours, la mère des jumelles fait de la fièvre ce qui commence à être inquiétant. En plus, Rustik et les jumeaux étaient porté disparu depuis deux semaines. Ils étaient en patrouille et ils ne sont jamais revenus. Lorsque nous avons fait des recherches pour les retrouvés, nous avons retrouvé le dragon des jumeaux blessé.

Pensée d'Allison:
Je me releva du bord du lit de ma mère. Je m'étais endormie en veillant sur elle car j'étais la stagiaire de Gotique et il faut que la fièvre tombe sinon il pourrait avoir des répercussions sur le bébé. Alors, j'allais chercher un autre bole d'eau pour mouillé un tissu pour le mettre sur le front de maman. J'étais rendu à la porte.

- A.. li... Allison.

- Maman, interroge-je en me retourna, maman!

J'échappa mon bole et j'accourus vers elle. Je lui fis un câlin. Je pleurais, j'avais eu peur de la perdre plus que je le laissais paraître devant tout le monde, même devant papa et Cia.

- Tu m'as tellement fait peur.

- Est-ce que tu peux m'aider à me lever, demanda-t-elle en séchant mes larmes.

- oui.

Donc, je l'aida à s'assoir contre la tête de lit. Je m'était assit à côté d'elle. Ma tête sur mon épaule et son bras passa derrière mon dos et vient se poser sur mon bras.

- Tu m'as fait peur!

- Je sais, j'ai vu.

- Maman, j'ai dû raconter notre secret à Gotique, à ma tante et à papa. Je n'avais pas le choix, je m'inquiétais beaucoup pour toi et...

- c'est correcte ma puce, ne t'en fait pas. Je comprends que tu as fais ça pour mon bien.

- Allison, t'es là, dit un inconnu.

- Oui, papa. Je suis dans la chambre de maman.

Il ouvrit la porte. Il figea en voyant maman, puis, il s'avança. Je sentais qu'il fallait que je parts mais je ne voulais pas m'en aller. Je me résigna.

- Je vais vous laisser.

- Peux-tu demander à grand-maman de me remplacer, dit-il quand je me dirigea vers la porte.

- Non, je vais la prendre, moi, ta place pour la journée.

Je me retourna vers eux. Puis, ils se sont regardés.

- Oui pourquoi pas, bonne journée, dit mon père.

Quelques minutes plus tard, j'arriva à la grande salle où mon père avait une réunion comme à chaque mercredi. Lorsque j'ouvris les portes, mon oncle, Dagur, s'approcha et me dit:

- Où est ton père? Il est malade...

- Il est occupé et non il n'est pas malade, dis-je en continuant ma marche vers le siège du chef et je mis assit.

- Alors, il est en retard. Qu'est-ce que tu fais sur la chaise de ton père, demanda-t-il.

- Non, il n'est pas en retard. C'est moi qui est le chef pour la journée car il a pris une journée de congé.

Il eut des murmures. Ils disait que je ne serais pas capable car je ne l'avais jamais fait toute seule. Alors, je me fâcha et je cria:

- VOUS ALLEZ LA FERMER!

Il n'eut plus aucun bruit.

- Je le sais que je ne suis pas prête à être le chef, mais je sais deux choses. La première, c'est qu'on doit essayer pour apprendre et la deuxième, mes parents me font confiance. S'ils pensent que je suis prête alors nous allons faire confiance à leur jugement. Donc, je vous donne deux choix soit vous m'aidez, soit vous allez faire une grande promenade jusqu'à demain matin. Ceux qu'ils veulent partir, partez maintenant. Je n'ai pas de temps à perdre avec vous.

Quand la guerre s'en mêle...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant