Allah la yuhibu aljubna' ( Dieu naime pas les lâches)

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La robe m'allait comme un gant.

Une robe rouge pour une rousse !

- Tu es magnifique Soraya...

Karim me dévorait des yeux. Ça fait toujours plaisir d'entendre l'homme que vous aimez vous dire que vous êtes belle.

- Il ne manque plus qu'une dernière chose ...

Karim remonta ma robe.

- Qu'est-ce que tu fais...

- Shuuuut... Calme toi ma belle tu me remerciera plus tard...

Il sorti quelque chose de sa poche.

Je flippais mais inconsciemment je lui faisait confiance.

Ses doigts se faufilèrent dans ma culotte.

En un tour de doigts il enfonça deux boules dans mon vagin.

- Qu'est-ce donc ?

- Des boules de geisha.

Il m'embrassa dans le cou.

- Allons dîner maintenant...

Je cherchais le coffret de bijoux que Karim m'a offert quand mes doigts tombèrent sur la clé USB piégée.

Je revoyais Jelila, Bilal...

Ils comptaient sur moi. Ils avaient confiance en moi.

Et aussi mon père...

- Tu viens ?

- Oui.

Lorsque je fis un pas, je senti l'effet des boules de geisha.

Allah que c'était bon !

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Caviar, magnum, homard... Du luxe, du luxe et que du luxe !

Karim avait sorti le grand jeu.

Je mangeais malgré moi. L'effet des boules me rendait dingue.

À chaque mouvement, mes muscles vaginaux se contractèrent et je mourrais d'excitation.

Karim se marrait bien de me voir dans cet état.

Mais je ne m'avouai pas vaincu pour si peu.

Je retirai mes escarpins et du bout des orteils je caressais sa bite à travers son pantalon.

Il sursauta sur le coup, mais je sentais sa queue durcir et ça m'excitais encore plus.

Une crampe me prit la jambe alors j'abandonnai ma petite manœuvre.

Mais j'avais bien réussi mon coup.

Karim était tout aussi chaud que moi.

Je faisais la maligne mais j'étais au bout de l'excitation.

Mes doigts s'aggripèrent à la table.

- Je n'en peux plus...

- Je croyais que t'allais jouer encore longtemps à la dure à cuire...

Karim se leva, il attendait que j'en fasse autant mais je ne pouvais plus bouger.

J'étais tellement excitée que mon bas ventre bouillonnait.

- Tu veux que je t'aide ?

J'étais au bout de ma vie. Je n'entendais plus ce que Karim racontait j'avais juste envie qu'il me défonce...

Je m'agenoullai à ses pieds. Je n'avais qu'une chose à l'esprit : SEXE !

Je suçais la bite de Karim comme si c'était la première fois que je la voyais.

Karim me releva. Il remonta ma robe.

Il membrassais dans le cou pendant que  ses mains retirèrent les boules de geisha de mon vagin.

Karim fut lui même surpris de voir à quel point les boules avaient du mal à sortir.

On croirait que mon vagin les retenait.

Il me transperça d'un coup avec sa queue.

J'imaginais ce que Karim pouvait ressentir.

Les boules avaient tellement  tonifié mon périnée que mon vagin fut si étroit.

On aurait dit une vierge...

Quel luxe ! On baisait sur le toit du Ocean Height !

On termina notre folle partie de baise dans la suite.

Ce n'était pas ma première baise avec Karim mais c'était si spécial.

Le fait de l'avoir pour moi toute une nuit.

Je m'endormis toute épanouie sur le torse de Karim.

                              *

Mes yeux s'ouvraient lentement. Karim se douchait.

Je m'assis sur le lit le temps de remettre mes idées en place.

L'ordinateur de Karim se trouvait sur le guéridon du salon.

C'était une belle occasion, mais ce maudit cauchemar me revenait.

L'eau de la douche s'arrêta. Karim avait fini.

Il sorti de la douche et se dirigea vers moi.

Il était si frais et si beau avec sa serviette nouée à la taille.

- Alors la rousse au bois dormant bien réveillée ?

Le baiser de Karim fut si tendre. Il me fit penser à ceux de ....

Oh non ! Bilal...

" Je pries sans cesse quand je te sais avec ce Karim"

- Pourquoi es-tu si froide Soraya ? N'es-tu pas heureuse d'être avec moi ?

- Bien sûr mais tout ceci me faire souffrir aussi Karim. Le fait qu'on ne puisse pas vivre notre amour au grand jour. Après ce séjour on devra se cacher encore...

Il ne disait plus rien. Ses doigts enlaçèrent les miens et il y déposa un baiser.

- Pourquoi refuses-tu  de t'enfuir avec moi Karim ?

- Soraya ... Soraya ... Je ne peux pas abandonner ma famille, et y'a aussi la société... J'y ai tant investi...

Aie Soraya ! Quelle cruche tu fais !

Il se souci de sa famille et toi comme une abrutie tu sacrifie la tienne.

Les yeux larmoyants de ton père sur son lit de mort ne te révolte pas assez ?

Les cris et le désespoir de ta mère te sont-ils indifférents ?

Je regardais Karim et mon cœur saignait.

Je souffrais intérieurement. La mort était mon seul désir.

Mais m'ôter la vie serait confirmer mon statut de lâche  et de traite.

Jusqu'au bout j'aurai déçu tout le monde.

Ce reflet de moi que je voyais dans ce miroir n'était pas la femme que j'ai toujours voulu être.

Je devais accomplir ma mission, même si mon cœur céderait...

UNE CO-EPOUSE PAS COMME LES AUTRESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant