Allah la yakrihuna ealaa alshaytan (Que Dieu ne nous abadonne pas au diable)

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Le mariage de Karim eut lieu. Je m'épargne d'écrire les détails de peur de mourir de chagrin et ne plus pouvoir écrire.

Hania rejoint la maison. Une belle petite.

Si seulement elle savait quel homme elle avait épousé. Ou devrais-je dire qui l'avait épousée !

Mon cœur battait toujours pour Karim.

Il fallait que j'arrêtes d'éprouver une once d'amour pour cet imbécile.

- Jelila ?

- Oui

- Suis prête.

Jelila semblait ravie de ma décision.

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On se rendit à la maison.

- Voilà t'es prête. Surtout ne l'oublie pas t'es la maitresse du jeu. Pas l'homme.

Ça semblait si facile quand elle le disait.

- Une dernière chose ...

Elle m'entraîna dans la salle de bain.

Là sur le rebord de la baignoire, une petite bourse rouge.

Elle la prit puis quand elle l'ouvrit, deux boules noires s'y trouvaient.

- Qu'est ce donc ?

Jelila ne me répondit pas.

Elle retira la coque noire qui enveloppait les étranges boules.

- Couche toi dans la baignoire.

Sa mine était stricte. Mais j'avais étrangement confiance en elle.

Je me couchai dans la baignoire.

Ses délicates mains vinrent écarter mes jambes.

- Jelila ...

- Shuuut...

M'interrompit-elle. Je me détendit étrangement.

Et là je senti ses doigts dans mon intimité.

- C'est la même mixture que l'autre fois. Mais celle-ci a un autre effet.

- Lequel ?

- Tu le verras toi même.

Jelila me laissa seule dans la chambre.

Mon coeur battait à s'en rompre.

Déjà 20 minutes que j'attendais.

Mon bas ventre commençait à me faire des tours.

Ça devrait être l'effet spécial dont Jelila parlait. Dis je pour justifier la douleur.

Je serrais mes cuisses tellement mon vagin bouillonnait.

On frappa une fois à la porte.

Un homme entra.

Cheveux bien coiffés en arrière. Yeux émeraudes.

Un très bel homme. Une chance pour moi.

- Je veux un massage. Me dit-il

Je fis oui de la tête.

Il se mit nu. Mon Dieu quel corps d'athlète !

Il s'allongea sur le ventre.

Je m'assis sur son dos. J'enduisais son dos d'huile.

Mes mains palpaient,roulaient son dos si musclé.

UNE CO-EPOUSE PAS COMME LES AUTRESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant