Allah yurayih qulubuna alkadamat ( Que Dieu console nos cœurs meurtris)

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- Pourquoi n'as tu pas honoré tes devoirs d'épouse hier soir  Soraya ?

- Salam alaykoum Chadia.

- Je t'ai posé une question ! Ne joue pas la maligne avec moi.

- Et je ne suis pas obligé de m'expliquer à toi Chadia! C'est Majid mon époux et il l'a bien compris.

Je m'en alla la laissant avec son aigreur.

Elle ne me gâchera pas la journée cette fois.

- Soraya !

- Oui Majid

Majid était au salon des hommes avec ses fils. Abdul et Karim.

Je m'assis face à eux  la tête baissée signe de respect à mon mari.

- Comment vas tu ce matin ?

- Je vais mieux Al-Hamdoullilah

- Alors tu pourra t'acquitter de ton devoir d'épouse ?

- Oui Majid.

Je me leva. Mon regard croisa celui de Karim.

Je baissa les yeux rapidement.

Ses cheveux étaient légèrement ébouriffés il était si beau.

J'étais plus âgée que Karim de 3 ans.

Mais son apparence mature en laissait croire le contraire.

Depuis mon arrivée ici il ne m'avait jamais adressé la parole.

Quoique souvent je le surprenait en train de me relooker.

Mais je ne pouvais m'imaginer qu'il me désirait autant.

Cette nuit dans le désert, ce n'était pas un viol.

Ça a commencé pareil mais après ce n'était que désir sur désir.

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Jelila aimait bien mes balades depuis qu'on s'est rapproché.

- Alors Jelila, tu ne m'as toujours pas dit qui était cet homme que je t'ai vu embrasser ?

Elle se mit à sourire.

- Suis moi.

Elle m'entraîna en courant dans les rues. Virage sur virage.

On se retrouva devant une grande porte de couleur rouge brique.

Jelila poussa la porte. C'était une maison, avec une décoration très soignée.

Les murs étaient habillés de papiers peints, un grand lustre surplombait le hall.

La lumière tamisée donnait une certaine classe à l'endroit.

Une vieille dame était assise dans un sofa rouge.

Jelila me fit signe de retirer mon niqab.

- Jelila ! Ma belle !

- Tante Rachida !

Elles se fit la bise.

- Qui est donc cette belle créature ?

- Ma co-épouse préférée. Soraya je te présente  ma tante Rachida.

Elle vint me faire la bise. Pas courant pour une femme de l'émirat.

Jelila entra dans un couloir qui menait à des escaliers tapis de velours rouge.

La décoration de la maison était très sophistiquée.

Elle ouvrit la porte de l'une des chambres.

Sur le lit des dessous sexys et osés.

Jelila les prit.

- Attend moi ici.

Elle entra dans la salle de bain qui s'y trouvait.

J'attendais patiemment. Et quand elle sorti, j'étais sur le choc.

Les dessous mettaient son corps  en valeur.

Les bas de dentelles noires rendaient ses jambes si sexy.

Elle s'assit et écarta ses jambes, une ouverture spéciale  laissait apparaître sa belle chatte.

On frappa à la porte.

-Entre dans le placard.

Me souffla t-elle à l'oreille.

Du placard, je voyais l'homme entré.

Jelila était assise sur le lit,jambes écartées.

L'homme se mit à l'embrasser. Il la baisa comme un fou.

Je mourais d'excitation.

Sa verge pleine de nerf s'engouffrait dans le vagin de Jelila.

Que ça doit être bon ...

Jelila le suppliait de la baiser plus vite.

Sa pine se mit à faire de rapides va et viens.

J'entendais ses couilles claquer sur les fesses de Jelila.

Elle était ivre de plaisir.

La scène dura 1h, et après l'homme sorti de la chambre comme si de rien était.

J'étais dans une maison close. Et Jelila était l'une des escortes.

Quand l'homme fut parti.

Elle me fit signe de sortir.

Je m'assis auprès d'elle.

- Tu fais ça depuis quand ?

- Depuis l'âge de 19 ans, quand j'ai perdu mes parents. Rachida m'a recueilli. Elle m'a élevé comme sa fille. Au début elle ne voulait pas que je le fasse elle me battait quand elle me surprenait en train d'espionner mais quand je grandi elle ne pouvait plus m'en empêcher. Je lui fit comprendre que c'est mon choix, j'aime le sexe.

- Mais Chadia a dit que tu étais une fille de bourges !

Elle éclata de rire.

- Cette Chadia un vrai perroquet. Mais elle n'a pas totalement tord mes parents étaient immensément riches. Majid a bien voulu laisser croire cela pour ne pas qu'on nous jugent. Majid m'a rencontré ici. Il y venait presque chaque semaine. Il ne pouvait plus s'en passer de moi alors il decida de faire de moi d'une de ses épouses.

Mille et une questions se bousculaient dans ma tête.

- Alors l'homme avec qui je t'ai vu c'était un client ?

- Oui. Il s'appelle Mohammad. Un vrai accro de ma chatte. Il ne peut s'empêcher de me toucher quand il me voit.

- Majid sait que tu viens toujours ici ?

- Non, il me tuerait s'il l'apprend. Il a versé plusieurs millions à ma tante Rachida pour que j'arrête. Pour lui je le fait pour l'argent.

Bouche bée, yeux grands ouverts je la regardait stupéfaite.

- Tes parents sont morts comment ?

Elle fixa machinalement le sol.

- Désolé je parle sans réfléchir.

- Non t'inquiète. Leur voiture a été incendié dans le désert.

- Oh mon Dieu ! Ils ont été assassinés !

- Oui. Froidement. Et le coupable n'est autre qu'un vieil ami de mon père qui courtisait ma mère la sachant mariée. Et comme elle n'a pas céder à son chantage ce lâche décida de tuer mon père. À plusieurs reprises il s'en est pris à mon père mais cette fois ma mère était avec lui.

Les larmes de Jelila me fendirent le cœur.

Je la serra dans mes bras.

UNE CO-EPOUSE PAS COMME LES AUTRESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant