Al'islam lays min ajl almusawidat ( L'Islam n'est pas pour les traites)

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Je relatai tout ce qui s'est passé. Il y'avait Jelila, Bilal et Rachida.

- Karim est un monstre ! Tout comme son père !

Dit Jelila.

Vous n'imaginez pas la gêne que je ressentais.

- Et tu étais où quand ils se disputaient Soraya ?

Cette question de Bilal me déstabilisa.

- Je... J'étais entrée dans le bureau alors qu'ils étaient dans la salle de réunion qui s'y trouve... Alors j'ai écouté en douce.

Ça se voyait que je cherchais mes mots.

- Oh pauvre Soraya... Ça n'a pas dû être facile pour toi.

Jelila se comportait vraiment comme une sœur pour moi.

Elle s'en voulait que je prennes autant de risques.

Je me sentais comme une traite.

- Et Majid ne t'as pas reconnu ?

J'avais l'impression que Bilal essayait de me faire cracher le morceau.

- Il n'a rien dit. Il ne m'a pas reconnu. Je dois aller me coucher et Jelila doit rentrer, tu devrais faire attention avec tes absences Jelila.

- T'inquiètes pas. Avec ce qui se passe dans la cour Chadia et Maïssa n'ont plus mon temps.

J'étais ravie d'apprendre que cette chienne de Chadia en prenait pour son grade.

- Donc comme ça le père de Hania est un associé des Ben Khalifa.

Dit Bilal l'air pensif.

- Oui. Et ils compte s'associer au groupe en effectuant un très gros investissement. Des centaines millions.

- Ok. Alors on attendra qu'il fasse cette transaction et là on frappera !

Le plan était d'assécher les comptes de l'entreprise, ainsi Majid saura ce que ça fait d'être ruiné et endetté, comme il l'a fait à mon père et aussi à Jelila et Bilal.

Bilal me relookais du regard. Comme s'il essayait de me dire quelque chose ou plutôt il essayait toujours de me faire cracher le morceau.

J'embrassa Jelila et Rachida et me rendit dans ma chambre.

L'eau du robinet ruisselait sur mon corps.

Je sentais mes nerfs se détendre. Ça me faisait un bien fou après tout ce stress de la journée.

J'avais pris un peu plus de poids pour ma transformation.

J'adorais mon nouveau corps. Karim en raffolait.

Il aimait voir mes fesses claquer quand il me défonçais par derrière.

Repenser à Karim m'excitait. Je me masturbais quand...

- J'espère que tu n'as pas succomber à tes envies Soraya...

Je sursautai de peur.

- Shuuuut... Calme toi ma belle...

Bilal se tenait derrière moi, nu.

Je sentais son corps effleurer mon dos, et surtout sa queue qui bandait comme jamais, il la glissait entre mes cuisses.

Je la sentais se frotter sur les lèvres de ma grosse chatte.

Il posait des baisers tout doucement sur mon cou, puis mes épaules...

Je sentais son souffle, son désir, son excitation...

- La première fois se fut par coup de tête mais cette fois tout mon être te désire Soraya ...

Me chuchota t-il à l'oreille.

L'eau coulait toujours sur nos deux corps mais ceux-ci s'embrasaient petit à petit.

Les mains de Bilal parcouraient chaque centimètre de mon corps.

Apparemment mon nouveau corps le mettait hors d'état aussi.

Il me retourna face à lui. Nos regards en disaient tellement.

On était prêts à se baiser comme des fous.

Il m'embrassa le front, puis sa langue alla chercher la mienne.

Elles s'unissaient et nous nous embrassions passionnément avec tant d'hardeur et de douceur.

Bilal me plaqua contre le mur, il s'accroupit, il déposa mes jambes sur son dos, enfouissant ainsi sa langue sur ma chatte.

Mes mains cherchaient une prise sur le mur, je voulais m'aggriper tellement le plaisir que sa langue me procurait à cet instant m'ennivrait.

Sa langue tournoyait sur mon clitoris.

Je le suppliais de me pénétrer. Je n'en pouvais plus.

Il se releva, j'étais prête à ce qu'il me transperce avec sa queue, mais non...

Bilal me tenant par les cheveux, conduit ma bouche sur sa verge qui était tendue comme jamais !

Je bavais sur sa queue, je l'avala d'un coup.

- Aaah.... Oooh oui ... C'est bon... Ta langue est si bonne...

Râlait Bilal entre deux gémissements.

J'enfonça sa queue au fond de ma gorge.

J'avais écarté mes cuisses, je me masturbais en suçant sa queue.

Il ne cessait pas de gémir bruyamment.

Normale, vu ce que ma langue faisait à sa queue.

J'étais très bonne en pipe. Karim en raffolait, il disait que c'est comme si je n'avais plus de dents.

On ne ressentais que ma langue, de la douceur et de la chaleur.

Bilal était au bout, je sentais sa pine convulser dans ma bouche.

Il me fit lever, face au mur, cambrée, il présenta son gland à ma chatte en feu.

Il caressa ma chatte du bout de son gland, et ...

- Aie.... Oh oui ... Vas-y ...

Murmurais-je ennivrée de plaisir et de luxure.

Mon vagin se collait à la queue de Bilal.

Nous gémissions en chœur.

C'etait si bon...



Le réveil sonnait depuis un moment.

Je n'avais plus envie de quitter les bras de Bilal.

Je venais de passer la plus belle nuit de toute ma vie.

J'avais tord. Bilal et moi ce n'était pas que du désir ou un fantasme, on s'aimait ou du moins c'est ce que je croyais.

Je devais me lever.

Quand je repensais à Karim, ce sentiment de lâcheté me pris de nouveau.

Pourquoi n'ai-je pas tenu ? Pourquoi cette maudite envie de sexe ? Pourquoi moi !

Je m'habillais quand Bilal se réveilla enfin.

Il me chercha sur le lit. C'était si mignon.

Je lui donna un baiser.

- Bien dormi ?

Il me rendit mon baiser en me traînant sur le lit et il m'enlaça.

- Soraya ...

Son ton était si solenel. Je sentais le pire arriver...

UNE CO-EPOUSE PAS COMME LES AUTRESOù les histoires vivent. Découvrez maintenant