UNE CO-EPOUSE PAS COMME LES AUTRES

Allah yukhrijuna min shayatin alshaytan QuDieu nous éloigne des filets du diabl

Le bruit de la porte réveilla Jelila qui était allongée dans le sofa.

On croirait voir Rachida.

- Pourquoi tu rentre en douce comme une voleuse Soraya ?

Dit elle en riant.

- Je ne voulais pas te réveiller.

- T'inquiètes je ne dormais pas. D'ailleurs je ne dors plus depuis la mort de mes parents.

Cette phrase de Jelila me renversa l'estomac.

Je culpabilisais encore plus.

- Alors ça été ce premier jour ? Tu ne te pas faite démasqué j'espère ?

Si seulement elle savait ce que j'ai fait.

Le plus drôle, c'est que malgré mon erreur vis à vis de Jelila, je ne regrettais pas mon acte.

J'étais prête à le refaire. Ce n'était pas de ma faute, c'est mon corps qui le réclame.

- Non, non, en même temps je ne suis jamais allée à l'entreprise quand j'étais mariée à Majid, donc personne ne me connais encore moins avec cette tête.

- Je pries Allah que Majid ne te reconnaisse pas si un jour il s'y rend.

J'imaginais ce qui se passerait si cela arrivait.

- C'est pour cela il faut qu'on agisse vite.

Je restais là sans rien dire.

Jelila s'en alla. Je me demandais bien comment elle justifiait ses absences auprès de Majid.

                        -----------

Talons aiguilles, chemisier décolleté, bijoux en or et une totale absence de culotte, voilà ma tenue parfaite ces temps ci.

Ah j'oubliais ! Cette cruche de Emna fut renvoyée sous mes recommandations.

Et non ! Je n'ai toujours pas cessé de baiser avec Karim.

Il me faisait voir de toutes les couleurs.

Et j'aimais ça.

Ce matin Karim n'avais pas l'air très bien, mais je savais comment le réveiller.

Il était affairé sur sa paperasse.

- Monsieur Ben Khalifa ?

Il leva la tête. Ses yeux plongèrent directement dans mon décolleté.

N'importe quel regard s'y noyerait.

J'avais fait exprès de déboutonner mon chemisier jusqu'en dessous de mes gros seins.

Karim semblait détendu d'un coup.

Il lisait en moi, il savait où je voulais en venir.

Je me penchais sur lui en ouvrant la chemise cartonnée.

Je m'éfforçais de faire durer le plaisir.

Karim glissa sa main dans ma jupe.

Il caressa mes fesses, puis son majeur descendit sur ma chatte.

Au diable les dossiers ! J'avais atteint mon objectif.

En un claquement de doigt, j'étais adossée sur le bureau en train de me faire défoncer la chatte par Karim.

Humm ... Karim...

On termina notre partie comme toujours dans la salle de réunion.

Il me baisait comme un acteur de porno.