Chapitre 126 : Le plan pour le sérome.

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* Point de vue d'Elena *


Après la disparition de Noémie, j'attrape rapidement Edward par le poignet et l'ordonne de me suivre dans le grand jardin des Salvatore. Il se laisse faire, et je crois qu'il a comprit que je n'étais pas d'humeur à m'engueuler avec lui. Il m'a mis la honte, devant ma famille en plus ! Je ne pensais pas qu'il allait réagir comme ça en venant ici. Je ne m'attendais pas à ce qu'il les prend dans ses bras, loin de là, mais j'espérais un minimum de gentillesse quoi ! Il n'a pas hésité à défendre mon honneur, je ne peux pas lui reprocher ça, mais il aurait pu se calmer après que Noémie est crié un coup, où même quand Effy est arrivé. Mais non, monsieur à voulu montrer qui est le plus fort et il sait laissé emporter par la colère. J'ai un peu honte de lui mais ça partais d'une bonne intention. Il ne peut plus leurs faire confiance après ce qu'il met arriver, je peux le comprendre. Moi aussi j'ai un peu peur de revivre la même situation, mais je sais me contrôlé, moi. Ce qui n'est pas son cas.


Elena : Tu m'expliques pourquoi tu as réagis comme ça ?


Nous sommes dehors, à labris du regard et des oreilles des autres.


Edward : J'admets, je me suis laisser emporter, je n'aurais pas du.
Elena : Et comment tu n'aurais pas dû ! Tu m'as fichu la honte Edward...
Edward : Je suis désolé mon coeur, pardonne-moi, j'essaie de te protéger, je ne veux plus te voir à l'hôpital.
Elena : Je comprends tout à fait Edward, ce n'est pas pour ça que je t'en veux, mais tu aurais pu faire un effort quand même.


Il baisse son regard vers ses pieds quelques secondes avant de le relever.


Edward : Promis, je vais essayer de faire des efforts.
Elena : Merci pour coeur.


On se sourit avant que je m'approche de lui pour l'embrasser tendrement, puis amoureusement. Sa langue rencontre la mienne. Mon corps vient lui même se coller à celui d'Edward. Mes mains passent dans ses cheveux en désordre et les siennes viennent se poser sur mes hanches. Il me pousse contre le mur près de la porte et m'embrasse plus fougueusement. Ça devient presque violent, et je ressens son excitation pour moi à travers son pantalon mais nous ne ferons rien, a-t-il oublier qu'il est privé de sexe pendant plusieurs semaines ? Je pense que oui. Avant qu'il n'aille plus loin, je le préviens.


Elena : Edward, calmes-toi, t'es puni de sexe je te rappelle.
Edward : Oh tu peux bien faire une parenthèse pour moi, s'il te plaît...
Elena : Non, désolée. Tu vas devoir te contenter de regarder ce corps que tu ne verra pas pendant un mois.
Edward : Serais-tu en train de me chercher ?
Elena : Pas du tout.


Je l'avoue, je joue de la situation. J'aime bien le chercher, tester ses limites. Pour me le faire regretter, il plonge sa tête dans mon cou mais fait semblant de me mordre. Je me tors de rire et essaie de l'éloigner de moi, mais je n'ai pas la même force que lui. Ses lèvres remontent le long de mon cou pour atterrir sur mes lèvres. On s'embrasse à nouveau amoureusement, puis sa main se pose sur ma cuisse pour remonter ma jambe autour de sa hanche. Notre baisser devient plus fougue, plus passionné. On laisse parler nos corps qui se colle l'un à l'autre, exprimant leur ressentis. Edward embrasse ma mâchoire et je pousse un léger gémissement. Je le sens sourire alors que mes mains viennent d'eux-même se plonger dans ses cheveux, sauf que cet instant ne dure pas. Edward s'écarte de moi et recule de deux pas, me laissant pâle-tante. Je le fixe, la bouche entre-ouverte et je fronce les sourcils quand la porte du jardin s'ouvre brutalement sur Effy.

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