Chapitre 138 : Découverte d'Edward.

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• Dimanche matin *

• Point de vue d'Eléna*


Oh putain ! Qu'est-ce que j'ai mal au crâne ? On dirait un tambour qui résonne dans mon cerveau avec les maracas. Je vous le jure. J'en peux plus surtout que la je suis entrain de boire mon chocolat chaud avec un Edward tout excité à côté de moi. Heureusement, ma mère passe sa journée avec ses copines. Je vous explique depuis mon réveil. Il était 11 heures du matin et je me réveille tranquillement. Je pensais être dans les bras d'Edward, mais je le vois courir dans tout les sens dans la chambre. Il me sort « Edward : C'est quoi ce bordel ? Tu ne peux pas ranger tes affaires ?
Eléna : Hein ... quoi ?
Edward : Tu m'écoute ?
Eléna : Tu ne vois pas que je viens de me réveiller ?
Edward : Ce n'est pas une raison pour laisser ce bordel dans ta chambre ?
Eléna : Tu vas te calmer mon coco !
Edward : Je n'ai rien à faire !
Eléna : Va te passer de l'eau froide sur ton corps sexy et laisse moi dormir ! Tu fais trop de bruit !
Edward : On doit aller aider à ranger chez Damon !
Eléna : Il sent sortira tous seul.
Edward : Vive l'amitié et l'entraide.
Eléna : C'est sa maison et moi j'ai envie de dormir. En plus, tu me donne mal au crâne.
Edward : Ah ouais ! Je te donne mal au crâne. »


Il me tire la couverture.


« Edward : Lève-toi ! Prend un aspirine ! Tu n'auras plus mal au crâne ! »


Il s'en va avec la couverture, me laissant sur le lit dans le froid car monsieur a laissé la fenêtre grande ouverture. Je me l'ai caille. Je grelotte comme une feuille dans mon lit. Pourquoi il a prit ma couverture ? Ouin ! Ouin ! Je vais appelé ma maman moi ! Je rigole toute seule dans ma chambre. Bon je crois que je vais me lever alors. Je pris un élan et sortis de mon lit. J'ouvre la porte et je descends en bas où je trouve Edward entrain de courir dans toute la cuisine.


Edward : Je t'ai préparé de l'aspirine et ton chocolat chaud.


Je pris mon chocolat chaud et bu quelque gorger.
Et nous revoilà à la case départ avant que je vous explique. Bon ce n'est pas tout, mais faut que je fasse quelque chose pour mon mal de crâne, ainsi que pour Edward ! Je pris mon aspirine et je le bu étant en sachet. Je me retourne pour faire face à un Edward qui coure à vitesse vampirique du salon à la cuisine. Je lève la main en disant "Stop" ! Ce qui l'immobilise complètement. Je l'ai figé en quelque sorte. Je m'approche de lui et fait le tour. Il est pas mal comme ça. Il est torse nu avec un pantalon, il y a un cousin entre les mains. Je prends le cousin et je le mets sur la table de la cuisine. Je crois que je vais devoir le faire revenir. Je bouge la main devant lui pour qu'il puisse bouger et la Bam, il se retrouve par terre. En même temps, c'est la première fois que je le fige. Il va un peu m'en vouloir.


Edward : Aïe ... Pourquoi je suis par terre ?
Eléna : Je ... t'ai ... euh ... figé...
Edward : Quoi ?


Il se releva d'un seul coup et il y a un regard glacial. Au secours ! Aider-moi !


Edward : Pourquoi tu m'as fait ça ? On a dit pas de magie entre nous ?
Eléna : Tu étais entrain de courir dans la maison et tu me donnais mal au crâne.
Edward : Encore mal au crâne ! Tu n'as que ça comme excuse ! Je te rappelle que tu as beaucoup picolé hier !
Eléna : Toi aussi !
Edward : Toute façon cette maison s'est une vraie porcherie.
Eléna : Alors tu sors avec une truite ?
Edward : Je n'ai jamais dit ça !
Eléna : Non mais c'est ce que tu insinue en traitant de ma maison de porcherie.
Edward : Je suis désolé mon cœur.

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