L'amour est un combat( George Weasley)

Chapitre 17

-et bien voilà mes valises sont faites, Charlotte, Louis au revoir.

Les 4 mois de cours de Maléy a beaubatons était finis, elle dit au revoir à ses nouveaux amis et se dirigea vers le bureau de la directrice ou elle prenait la poudre de chemisette pour se rendre jusqu'au Paris.

Toc toc toc

-Madame Maxime, je suis venue vous rapportez mon uniforme et mes manuels.

-bien la chère, vous savez qu'avec moi vous n'êtes pas obliger de parler français?

-oui mais comme on le la appris ici, c'est ce qu'on appelle la politesse.

-vous êtes devenue une grande personne, je suis sûre que vous aller très bien vous en sortir a Paris. Et maintenant il est temps pour vous s'y aller.

-ah revoir madame Maxime.

Maléy monta dans la cheminée jeta la poudre et en quelques secondes se retrouva dans une cheminée parisienne.

La une multitude des personnes la regarder. Elle remarqua qu'ils lui ressembler tous plus ou moins par les traits du visage.

-Bonjour.

-Maléy c'est bien toi?

-oui et vous êtes?

-je suis ta tante Florence.

-oh bonjour.

Déconcerter Maléy laissa sa tante lui présenter le reste de la famille. En commençant par les oncles et tante et leurs cousins, leurs enfants qui était les cousins au premiers degrés de Maléy, et elle finis par ses grands parents. Sa grand mère n'arreter pas de venter sa ressemblance avec sa mère.

Après des discussions approfondis sur différents thème ils passèrent a table ou l'entrée fus servis.

-Salade verte avec toast de caviars.

Le caviar Maléy n'en avait jamais manger mais elle savais de réputation que cela été apparemment assez bon.

Elle en pris une bouchée et pris le temps de l'analyser, effectivement cela été assez bon.

-Dit moi Maléy, ou as tu eu cette cicatrice qui est sur ta joue?

-Oh, et bien grand-mère c'était cette été en Écosse un hippogriffe que nous essayons de capturer qui ma mis un coup, après ça j'ai chuté de mon balais et je suis tomber dans les pommes et on ma rattrapée avant que je ne tombe par terre et on ma déposer chez mes amis ou leurs mère ma soigné tout le reste de l'été avant qu'on ne viennent me chercher pour m'emmener en France.

-Je vois les gardiens la bas vivent toujours aussi dangereusement, j'avais dit a ta mère que la bas elle le paierais au prix de sa vie et bien regarde......

-Non.

-Non?

-Nous ne vivons pas dangereusement, nous fessons juste ceux a quoi nous sommes formés et on n'est surement pas a une grande table tous ensemble a bien manger pendant que des sorciers se font attaquer.

- Le tempérament a ton père et la beauté de ta mère, je ne sais pas si c'est le plus beau ou le pire mélange possible. Mais tu es destinée a devenir une grande personne, et une grande ambassadrice pour le monde des gardiens.