L'amour est un combat( George Weasley)

Chapitre 20, fin deuxième année

Ce matin la les couloirs de Poudlard paraissaient étrangement froid et chaque son sembler être répercuter a travers toutes l'école. Et c'est ainsi que les pas de Maléy résonner au milieu de ce lieux désert.

Elle c'était lever tôt, bien plus tôt que n'importe lequel de ses amis, la route pour aller en France était longue et les au revoir n'était pas vraiment son fort.

C'était peu être car d'habitude elle avait ses amis a qui parler quand elle prenait le chemin de l'infirmerie mais étrangement ce matin le chemin lui parut plus long que d'habitude. George avait malgré tout eu une jambe casser dans sa chute et il avait donc passer les dernières semaines de cours a l'infirmerie ou ses amis venait dés qu'ils le pouvait pour lui tenir compagnie. Ils lui parler de rien et de tout, de leurs bêtises en cours, des farces qu'ils avait fait a Rogue, mais des que George leurs parler des vacances qui approcher et de tout ce qu'ils allait pouvoir faire les 3 perdaient leurs sourires sachant que tout les plans de George tomberaient a l'eau comme Maléy partait en France. Dans ces moments ils disaient juste quand George remarquer leurs tête qu'ils avaient juste peur qu'il ne puissent pas bien profiter a cause de sa jambe. Quand Maléy l'avait dit a Fred celui si n'avait pas était fâché mais il avait clairement fait comprendre a son amie que si George avait debout il aurait tout casser en l'apprenant, George ne supporter pas de voir Maléy partir en France et cela rendait la jeune fille folle. Alors ce matin la elle allait bien lui dire, oui, mais pendant qu'il dormirait. C'était lâche mais elle n'avait pas le courage de le regarder dans les yeux.

Elle était passer quelques minutes avant prendre son balais a la réserve et s'apprêtait maintenant a entrée dans l'infirmerie.

Rien ne changer jamais ici, les murs interminables devant lequel des lit s'aligner, l'infirmière qui vous disiez de ne pas faire de bruits quand vous lui disiez bonjour, cette odeur de médicaments qui persister. Et la au milieu de cette routine ce trouvait George qui lui changer cette environnement chaque jour, son lit était toujours entourait de nouveau ballons que des élèves lui apportait, de paquets de bonbons qui se trouver au sol après qu'il les ais dévorer. Maléy approcha sa main et caressa la joue froide de son ami tout en ayant un petit sourire et un rire imperceptible en repensant a tout ça.

-Georgie, je dois te dire un truc qui pour moi n'est vraiment pas facile.

Ces quelques mots avait suivis a refaire resurgirent son trac a l'idée de le dire, elle tourna la tête cherchant les bons mots quand elle sentit un contact sur sa main qui était poser sur la joue de George. Elle se retourna et vit la main de George sur la sienne tandis qu'il la regarder.

-T'es réveillé?

-Et bas oui, alors ce que tu voulait me dire?

-C'est pas facile. Elle libéra sa main et s'assit au pied du lit. Je sais déjà que tu vas le prendre ma, mal que j'ai accepter, mal que je ne t'en ais pas parler avant.

-Maléy tu sais que je ne vais quand même pas m'énerver comme ça d'un coup.

-Si George, je sais que ça seras comme au retour des vacances quand tu t'es énervé dans le train.

-Alors dit l'eus Maléy qu'on soit fixer.

-Je pars en France tout l'été, je suis désolé de gâcher tout les plans que tu nous avait préparer pour les vacances mais c'est décidé depuis trop longtemps pour que j'annule maintenant.

-Tu aimes aller en France et voir ta famille?

-Oui bien sur.

-Alors je ne serais jamais fâché pour ça.

-C'est promis?

-Promis.

-Je vais devoir y aller maintenant, j'ai pas mal de chemin a faire.

Elle se leva et alla embrasser le garçon sur la joue avant de repartir vers la sortit. Alors qu'elle été presque sortis du champ de vision de George elle se retourna pour lui dire quelques choses qui ne pouvait pas être dit par lettres et qui un autre jour aurait sans doute sonner faux.

-George, tu veux que je te dises pourquoi je ne te fais pas confiance? C'est simple car tu a beau me promettre de ne jamais t'énerver je sais que tu le feras car tu veux contrôler le monde autour de toi, pas de la même façon que Fred mènent le groupe, mais d'une façon ou tout ce passes comme TOI tu le veux. Personne ne le voit mais moi si, et crois moi bien que après ça j'avais très vite choisis qui était mon meilleur ami. A l'année prochaine George.

Et il resta allongé dans son lit a la regarder partir, elle venait de trouver son plus grand défaut et pourtant même si il savait qu'elle disait vrai il ne pouvait s'empêcher de lui en vouloir de ne pas penser qu'il pouvait essayer de changer pour elle.

-Aller Georgie debout, on a fait ton sac et Lee attends devant l'infirmerie avec pour qu'on ailles au train.

-Fred?

-Oui?

-Tu trouves que je veux tout contrôler mon monde?

-Ouais un peu, pourquoi?

-Car ce n'est pas juste un peu, Maléy sait que c'est mon plus gros défaut et moi je sais cas cause de ça elle ne m'aimeras jamais.

-George, elle ne t'as jamais aimé désolé mais tu ne crois pas que c'est le bon moment pour l'accepter?

-Si sans doute.

-Je te demandes pas de le décider d'un coup mais tu as deux mois sans la voir pour te décider.

-Deux mois entre mecs.

-Ok alors si tu a finis avec tes peines d'amour on vas peu être pouvoir y aller t'en penses quoi?

-Ouais, je vais enfin pouvoir marcher.

-J'ai jamais compris pourquoi si elle avait soigner ta jambe tu avait du rester ici.

-Car je suis un bon acteur Fred, j'ai sus comment faire pour rester ici.

-Oh non franchement!

George ne comprenait pas que Maléy lui avait dit tout ça par amour, qu'elle voulait qu'il s'améliore. Il ne comprenait pas non plus que Maléy ne savais pas comment s'y prendre avec les gens et que donc elle ne lui avait sans doute pas dit de la bonne façon. Maléy elle ne se rendait compte de rien, si seulement elle avait sus que tout çà conduirait George l'année d'après a réaliser que c'était elle qu'il aimé le plus au monde. Mais tout ça couteras beaucoup a la jeune fille.

Je n'ai pas trouvée cette deuxième année très passionnante mais je la voulait légère et j'ai du faire comme je pouvait pour écrire pendant les vacances, mais bon revoilà la rentrée la troisième année devrais être plus intéressante. A bientôt.