L'amour est un combat( George Weasley)

Chapitre 11; Début deuxième année

Dans le Nord de l'écosse au milieu deses magnifiques paysage se déroulé une scène assez hors du communpour quelqu'un qui n'aurait jamais entendu parler de magie. Car làhaut dans le ciel des sorciers sur des balais pourchasser unhippogriffe qui s'était envoler au dessus d'une ville moldu.

-Maléy coupe sur la droite et faitdiversion pendant que je le stupéfix.

-D'accord oncle Aristote, j'y vais.C'est parti pour un peu d'action.

Cette été malgré sa promesse faiteaux jumeaux Weasley de passer les voir assez souvent chez eux Maléyétait rester avec son oncle et les gardiens pour les aider dansleurs missions. Mais bon elle se disait qu'il lui resté toujours lemoi d'août pour aller les voir.

Maléy qui était maintenant passerderrière l'Hippogriffe se mis en place prête à l'appelait ausignal de son oncle.

-Et mon grand vient un peu voir parlà !!

Maintenant qu'elle avait attirer sonattention, son oncle n'avait plus que quelques secondes pour luilancer le sort. Alors qu'il s'apprêter à le faire un oiseau passadevant lui et il dut s'en débarrassé pendant ce qui furent dessecondes interminable pour Maléy qui voyait toujours l'hippogriffelui fonçait dessus.

-Aristote !

Trop tard l'hippogriffe avait attaquéet dans un mouvement de défenses il percuta Maléy qui tomba de sonbalais en chute libre.

-MALEY !!!!

Aristote et une partie des gardiensdescendirent en piqué pour se mettre à sa hauteur et essayé de larécupérer avant qu'elle ne percute le sol. Finalement une femmearriva à l'attraper et Aristote vient à son tour prêt de Maléy.

-Merci Winnie.

-C'est normal mais la petite est blesséil faut la faire soigné et nous devons encore récupérerl'Hippogriffe.

Ne t'inquiète pas pas je m'occupe deMaléy et je vous rejoint.

Winnie lui fit un signe de tête avantde repartir avec les autres gardiens.

Aristote transplana vers le seulendroit où il savait que Maléy serait en sécurité. Aussitôt ilse retrouva devant une maison qu'il connaissait assez loin de touteshabitation moldu. Il entra sans frapper et se mis à appeler nevoyant personne.

-Molly, Molly !!!!

-Qui est là ? Aristote !Mais oh et qu'est ce qui est arrivé à Maléy ?

Maléy avait la partie droite du visageen sang avec une énorme coupure en travers de la joue.

-Molly vous êtes la personne en quij'ai le plus confiance pour la soigner s'il vous plaît. Elle saitfaite attaquer par un Hippogriffe en fuite et je dois repartirimmédiatement avant que d'autres personne ne soit blesser...

-Déposer la sur le canapé et ne vousinquiétez pas pour elle je vais m'en occuper je vous envoi unelettre ce soir.

-Merci Molly.

Aristote sorti devant la maison etsoupira un bon coup. Alors qu'il s'apprêtait à transplaner 4têtes rousses apparurent de derrière le jardin.

-Aristote, que faites vous là ?Et Maléy elle est....

Puis George remarqua le sang sur lesmans et les vêtements de l'homme avant que celui ci ne parte.

-Fred vite à l'intérieur !!

Les jumeaux entrèrent en trombe dansla maison et virent leur amie allongée sur le canapé la joue ensang et leur mère déjà des serviettes couvertes de sang à cotéd'elle. Puis Ron et Ginny arrivèrent à leurs tour.

-Ginny mon livre de guérison, Ron mabaguette.

-Maman.... Maléy ?

-Attaquer par un Hippogriffe net'inquiète pas George je m'en occupe.

Après plusieurs heures de soins lajoue de Maléy avait arrêter de saigner et une cicatrice encorerouge vif barrer le coté droit de son visage. Entre temps Arthur etPercy était rentrer et avait apporter leurs aide à Molly.

-Bon je ne peux pas en faire plusaujourd'hui, je verrais demain. Nous allons la monter dans votrechambre les garçons.

Arthur la déposa sur un des deux litsavant de repartir vers le grenier pour aller chercher un des lits decamp.

-George ça ne t'embête pas dedormir sur le lit de camp ?

George fit non de la tête ens'asseyant à coté de Maléy car après tout, ce qu'il voulaitc'était surtout le bien de Maléy. Il passa après ça le reste dela soirée a veillait sur elle comme il avait promit de le faire aucours de leur première année . Car il sera toujours la pourelle quoi qu'il arrive.