Chapitre 6 :

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Hey, juste avant le chapitre, j'aimerais avoir votre avis sur l'histoire. Car je n'ai pas trop de retour sur l'histoire elle-même. Je me demande donc si elle vous plait. Alors, voilà, merci de me dire ce que vous en pensez. 


- Vous n'êtes que des pyromanes, déclara Regulus alors qu'une la construction de carte explosa.

Mais Sirius et Regulus étaient trop occupé à rigoler pour l'écouter. Il roula donc des yeux, mais les regarda amusé. Cela faisait deux heures que les trois frères jouaient aux cartes explosives, Regulus avait fini par arrêté, mais pas Pollux et Sirius qui avaient des traces noires sur le visage et les cheveux complètement décoiffés. Ils ne ressemblaient pas du tout aux héritiers qu'ils étaient, ils avaient l'air plutôt d'avoir mit leur tête dans une cheminée.

- Nous sommes des hommes de carte, déclara Sirius en ramassant les cartes.

- Tu parles, tu ne sais même pas jouer au poker, répliqua Regulus.

- C'est là où tu te trompes petit frère, ricana Sirius, j'ai appris à jouer au Poker, ce très cher oncle Alphard m'a appris.

- Et tu arrives à rester silencieux et concentré ? Demanda Regulus amusé.

- Quand le jeu en vaut la chandelle, oui, répondit Sirius avec un sourire en coin.

- Il faudra que tu m'apprennes ! Déclara Pollux.

- Non mon petit bonhomme, tu es bien trop jeune, dit Sirius.

- Dis celui qui piquer les livres sur la magie de mère à l'âge de dix ans, ricana Regulus.

- Je m'ennuyais, marmonna Sirius, puis nos professeurs étaient ennuyeux !

Regulus secoua la tête, amusé. Il appréciait vraiment passer du moment avec Pollux et Sirius. Il avait l'impression qu'ils étaient vraiment des frères tout à fait normaux ; Pollux ne venait pas d'un monde parallèle, Sirius n'avait pas quitté la maison, et Regulus était complice avec son grand frère. Il avait oublié qu'il en voulait à Sirius et qu'il était énervé contre lui. Il aimerait que cet instant ne s'arrête jamais, mais il savait que ça ne durerait pas. Dans même pas une heure, ils devraient se rendre dans la Grande Salle et ils devraient se séparer ; Regulus irait chez les Serpentards et devrait faire croire qu'il croyait encore en la doctrine de Voldemort et Sirius et Pollux iraient chez les Gryffondor, où Sirius retrouvait ce stupide James Potter.

- Tu veux jouer avec nous ? Demanda Pollux.

- Non, je ne suis pas un amateur d'explosion, répondit Regulus.

- Mais se sont de toutes petites explosions, insista Sirius.

- On dirait Bella là, quand elle décide d'un coup de mettre le feu à un meuble, déclara Regulus, mais voyons, ce n'est qu'un tout petit feu, dit-il d'une voix aigue imitant sa cousine.

Sirius fit la grimace, n'appréciant pas que son frère le compare à Bellatrix. Sa cousine était complètement folle. Enfin, elle était complètement folle depuis qu'elle avait rejoint les rangs de Voldemort. Avant, elle était un peu être extrême, mais Sirius se rappelait de Bellatrix lui apprenant à jeter des sorts, dansant toute la nuit avec ses sœurs, s'injuriant contre certaines traditions qu'elle jugeait misogynes. Il pouvait la revoir danser avec ses deux sœurs, riant aux éclats puis se tourner vers lui, encore enfant et le faire danser. Il secoua vivement la tête pour s'enlever ces images de son esprit. Tout cela était le passé, cette Bellatrix avait disparue et était devenu Bellatrix Lestrange, la pire Mangemort. Il devait vraiment arrêté de se rappeler des bons moments qu'il avait passé avec sa famille ; ils étaient du côté de Voldemort, ils étaient l'ennemi. Mais depuis que Pollux était arrivé et qu'il passait du temps avec Regulus et Pollux, d'anciens souvenirs resurgissaient dans son esprit, le tourmentant. Parfois, il regrettait même ce temps où il était avec sa famille et tout allait bien. Cette époque où il pouvait passer des heures à explorer les grands manoirs de sa famille, courir avec ses cousines et son petit frère dans les immenses domaines de la famille Black. Sauf que tout cela était fini et il y avait une guerre dehors ! Il fut sorti de ses pensées par une explosion causée par les cartes. Il se tourna vers ses deux frères et les trouva en train de rire à en pleurer.

Black's BloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant