Chapitre 7.2

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🥳 !!! Youpiii !!! 🥳
J'ai réussi à débloquer mon inspiration, ENFIN !

Je vous souhaite une bonne lecture ! 😅

Je vous aime foort 😘
Mélie

🚨 ATTENTION SCÈNES POUVANT HEURTER LA SENSIBILITÉ DANS CETTE PARTIE 🚨]

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– Allez... Oh nan...

D'une tape fraternelle, Loig frictionna l'épaule du jeune garçon.

– Ne te décourage pas... Ça s'est joué à rien ! Vise un peu plus à gauche la prochaine fois. Regarde, je vais te montrer !

Les yeux plissés par la concentration, Loig tendit la corde de son arc. Enfin relâchée, la flèche flirta délicatement avec l'air. Toute guillerette, elle sifflota comme pour narguer le jeune prince. Puis, elle se planta au cœur de la botte de paille, cible de fortune que les princes avaient installée à quelques mètres de leur position.

– Et voilà le travail ! A ton tour maintenant !

Corentin imita avec application les gestes techniques de son frère. La flèche qu'il décocha fébrilement s'imposa une place juste à côté de celle du prince Loig.

– Wahou... Quelle technique ! Si je ne m'abuse, tu vas devenir un fieffé tireur !

– Bien meilleur que toi, compléta à vil dessein Alwena.

– Elle va finir par me rendre chèvre celle-là, cracha abruptement Loig.

Corentin pouffa et Loig lui fit un clin d'œil.

Alwena se fichait bien de ce que son frère avait pu baragouiner à son sujet, car elle était bien trop occupée à roucouler aux bras du roi Albérik.

Le seigneur d'Yrdell n'avait pas encore quitté les lieux, malgré l'affront commis par sa promise. Le roi Alhan, avait fait des pieds et des mains pour le retenir encore quelques jours. Il avait même maquillé la fuite de sa fille en enlèvement pour ne pas subir les foudres de son invité. Les négociateurs des deux royaumes s'attelaient à trouver un terrain d'entente pour préserver l'alliance militaire. Le roi pouvait compter sur sa délicieuse fille pour distraire l'impatience de son royal invité.

– Voyez Altesse, nos terres s'étendent à perte de vue autour de notre demeure !

Mais, malgré ses talents de séductrice et ses exclamations grandiloquentes et creuses, le roi Albérick commençait à se lasser de cette diablesse, qui n'arrivait pas à la cheville de l'ange envolé.

– Je constate que votre force armée n'égale pas la richesse de vos terres, répondit-il dédaigneusement.

– Sire, je vous sens préoccupé...

L'ombre de nos âmes ~ tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant