✦ Chapitre 4.2 ✦

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Coucou mes lecteurs préférés 🙂

Cela faisait un bail... 🙈

Je suis désolée, je bloque sur ce chapitre depuis trèèèèès longtemps, trop longtemps. 🥺 Il ne me plait pas, je ne sais pas pourquoi. Mais il faut que j'avance, donc je le jette à l'eau. J'y reviendrai peut-être un jour, si je me lance dans une 3ème réécriture. En attendant, je vous le livre bien qu'il soit fort imparfait à mon goût... 🤔

Le voici donc, je suis preneuse de tous les commentaires que vous jugerez utiles. Ça m'aidera bien. Merci infiniment 😘

Bonne lecture.

Bonne lecture

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Sybil lui avait enfin donné une réponse. Pour sûr, une âme disparue ne pouvait nullement adresser un message par-delà les limbes. Katell n'était pas mystique à ce point. Néanmoins, la demoiselle était entrée le cœur lourd dans le temple et en ressortait plus légère. Preuve manifeste des bienfaits de la prière quotidienne à la déesse mère de toutes choses.

Le soleil éblouissant attaqua les rétines noisette de la jeune femme alors qu'elle quittait à peine les jupes protectrices de sa divinité de prédilection. Peut-être que le maître incontesté du panthéon souhaitait rappeler à Katell son importance dans la hiérarchie céleste. Elle ferma les yeux, apprécia la chaleur irradiante de l'astre du jour et sourit en guise de contrition.

Pour l'attendre, elle s'assit sur l'un des bancs de pierre blanche, qui cernait la porte du sanctuaire. Envel finit par en sortir et salua Katell.

— Que les dieux nous pardonnent, je constate que nous possédons la même préférence, dit-il simplement, en égard au fait qu'ils s'étaient tous deux retrouvés devant l'autel de la Lune.

— Et je pense que ce n'est pas la seule chose que nous partageons.

— Ah oui ? Qui a-t-il d'autre ? s'étonna le prince en lui offrant son bras pour rejoindre les communs.

— Sybil, livra-elle de manière dépouillée et sincère.

Un échange de regards embués par l'émotion suffit à authentifier leur deuil commun.

— À ce propos, justement, j'aimerais vous demander quelque chose...

— Je vous écoute, agréa-t-il en manque de mots.

— Vous savez que votre père le roi s'est lancé dans l'organisation d'un tournoi. Pour honorer la tradition, il a fait remettre à toutes les dames un ruban. Et, voyez-vous, ce joli lien, je ne sais qu'en faire. Je ne peux le remettre à celui qui plairait à mon cœur, car sa condition l'empêche de prendre part aux festivités.

L'ombre de nos âmes ~ tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant