Un mariage, une alliance.
Un duel, un drame.
Des rires, puis des larmes.
Seize ans n'effacent pas la douleur imposée par les flammes. Le peuple d'Aonyhrr pleure encore la perte d'un prince héritier, d'une princesse et d'une reine. L'hypocrisie règn...
Avant de vous laisser lire cette dernière partie, je dois vous faire une confidence. 🤭🙈
Je suis toute émue.
J'ai les mains qui tremblent et les larmes aux yeux. 🥺😭
Ce sont les derniers mots du premier roman que j'écris seule.C'est un énorme chapitre de ma vie personnelle, qui se tourne en même temps que ces lignes. Et surtout, ce n'est pas le point final de cette histoire et encore moins de mon écriture. 💖
Que demander de plus ? 🤗
Je vous laisse découvrir ce bel épilogue.
Je vous embrasse fort. 😘
💛 Mélie 💛
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7 mois plus tard
Cela faisait déjà quelques longues minutes qu'il l'observait...
Elle se promenait entre les pommiers en faisant virevolter sa robe. La toile souple dissimulait agréablement ses courbes angéliques, mais il les discernait de mémoire. En revanche, il ne percevait pas clairement ce qui se cachait sous son ventre arrondi.
Sa chevelure de blé avait poussé depuis leur brusque séparation. De son regard émeraude, il suivit de manière attentionnée les spirales que formaient ses boucles. La cascade dorée retombait délicatement sur ses épaules et dans son dos. Aucun lien ne les retenait.
Ils étaient libres, comme elle et comme lui.
Certaines mèches cachées au milieu des autres se croisaient en de fines tresses.
Elles n'étaient pas dénuées d'attaches, elles.
Hypnotisé par cette exploration, le forgeron eut la sensation de se perdre dans un océan de sérénité.
Le soleil faisait ressortir le bleu de ses yeux et la beauté de son sourire. Elle avait renoué avec son passé et se mouvait innocemment dans le verger du château de Kylhenghor.
La contempler ravissait son cœur observateur. Des étincelles amoureuses embellissaient son regard épuisé par les épreuves qu'il avait endurés.
Cajolée par l'astre du jour, elle semblait heureuse.
La paix qu'il lisait sur son visage le transperçait de ses ondes bienheureuses. Il cligna des yeux, mais cette chasse fut vaine. Ses paupières papillonnantes ne parvenaient pas à estomper le voile humide qui lui brouillait la vue.
