01 une vie parfait

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Salut tout le monde, voilà j'ai décidée d'écrire une autre chronique.

Juste pour vous expliquer, les phrases en " italique " sont des phrases en arabe.
Merci de lire, c'est gentil à vous.

Bonne lecture

Assise sur une chaise dans la salle de réunion, où le patron n'était pas encore là, Nousayba avait les yeux rivée sur deux filles, assirent à l'opposé d'elle, et qui étaient habiller vulgairement, pour elle. Parce que oui la plupart de ses camarades ne trouveraient pas leur habillement vulgaire. Mais Nousayba voyais les choses sur un autre angle. Étant musulmane, sa religion interdisait à une fille de montrer ses bras encore moins ses cheveux.

Alors que dire de ces filles qui laissent leurs chemisier semi-ouvert? Des mèches plaines la tête ? Des jupes moulant ? Pour elle c'était inimaginable. Jamais au grand jamais elle ne s'habillerait comme ça pour sortir.

Non ! Elle préférait se couvrir tout le corps jusqu'au visage. On ne voyait que ces yeux. Nombreux sont les fois qu'elle s'est attirer les foudre de ses professeur, étant encore à l'école. Mais que faire? C'était pas qu'elle ne voulait pas montrée son visage loin de là. Elle voulait éviter les problèmes que pose son visage dès que les hommes la voyaient. Parce que, oui ! Nousayba était belle, elle était très belle. Descendante d'une ethnies touareg, son ethnies était connue pour leurs beauté, ils avaient des visages parfait, des cheveux jusqu'en bas du dos. Son ethnies était composée de deux groupe, l'une est composée de personnes clair de peau, et l'autre noir de peau.

Elle, elle était noir, elle avait une peau qui virait presque au doré, on aurait dit une métis, elle avait des long cheveux jusqu'en bas du dos, un nez pointue comme un pic, des lèvres fine pulpeuses, des yeux d'une couleur exotique, qui brillait telle un projecteur de couleur diverses, c'est yeux était magnifique. C'est ce qui était le plus intrigant chez elle, étant noir elle ne devrait pas avoir ce genre de yeux se dit elle toujours, mais Dieu la créé telle, une créature parfaite. Tout était parfait chez elle, il n'y avait pas un seul défaut. Une formes parfaite, un corps parfait, une visage parfaite.

Et d'aussi loin qu'elle se rappelait son visage a toujours posé problème. Même pas entre les hommes seulement, mais même les femmes, d'autres la détestaient, la méprisaient à cause de sa beauté.

Alors pour échapper à tout ces préjugés, elle décida de se couvrir le visage, en plus de se couvrir le corps. Se rappelant que c'est interdit de regarder quelqu'un de la façon dont elle le fait, elle décida de ne plus s'attarder sur ces filles et se concentrée sur ses dossiers. D'ailleurs qui est elle pour jugé une notre ? "Personne" se dit elle. Non elle n'avait pas le droit de juger son prochain, seul Dieu a ce pouvoir. Et puis chacun fait ce qu'il veut.

-... Désolé pour le retard. Entendu t elle

Levant la tête, elle constata que le patron était là. Il s'assit à sa place, avant de continuer.

Patron : excusez moi encore pour le retard. On peut commencer ?

Tous hochèrent la tête pour acquiescer.

Patron : Hadi on t'écoute... Oh la voilée dangereuse t'es là ? Bonjour. Fait-il en s'adressant à Nousayba.

Toute le monde se mis a rire. Habituée à ce surnom, elle se contenta de répondre.

Nousayba : bonjour monsieur.

Ainsi, la réunion commença.

***

Nousayba : je suis rentrée. Annonce telle une fois dans la maison. As Salam aleykoum oumi (mère). Micky. Appela t elle.

Oumi : amine wa aleykoum salam. Bon arrivée. Répond sa mère assise avec un chapelet en main.

Elle sentie des poils lui chatouiller les pieds, elle se baissa et prit son chat qu'elle a nommé Micky.

Micky : miaouh.

Nousayba : t'as faim n'est-ce pas bb.

Elle lui caressait la tête et il miaula encore

Nousayba : merci oumi, Nana n'est pas rentrée ?

Nana est sa grande sœur, elle est docteur, alors que Nousayba travaille dans une entreprises d'import-export, où elle sert de traductrice pour les langues.

Oumi : non, pas encore. Et puis c'est le crépuscule.

Nousayba : elle va venir. Je vais faire ma prière en attendant.

Oumi : fait donc ça. je suis dans ma chambre en cas de besoin.

Elle partie préparer un ver de lait à son chat, et partit prier. Après avoir finit de priée, Nousayba revient au salon avec le coran dans ses bras, s'assit sur le safa et ouvrit le coran pour lire. Micky monta sur ses cuisses plier. Elle aimait lire le coran et se rappeler des paroles d'Allah. Elle parlait aussi parfaitement l'arabe, étant inséparable de sa grande sœur Nana, Nousayba la suivait partout quand elles étaient jeune. À l'âge de 3 ans, Nousayba pleurait chaque jour que sa sœur partait a l'école sans elle. Sa mère faisait tout pour la calmer mais rien y faire, elle voulait sa sœur. Alors dès qu'elle eut ses 5 ans, fatiguée de ses pleures, sa mère décida de l'envoyé dans la même école que sa sœur qui était dans une école coranique. Or qu'au début sa mère voulait l'envoyer dans une école britannique, pour avoir une fille qui parle arabe et l'autre l'anglais.

Ce n'est qu'en classe de quatrième qu'elle changea d'école pour aller dans une école britannique comme sa mère le voulait. De ce fait, elle apprit a parler plusieurs langues étrangère en plus de l'arabe quand elle partie a l'Université. Notamment le français, l'anglais, l'espagnol, l'allemand, le grec....

Nana : as salam aleykoum.

Nousayba : wa aleykoum salam wa rahamatoulay wa barkatouhou.

Nana : salut toi.

Nousayba : salut, ça va ?

Nana : oui merci, elle est oumi?

Nousayba : dans sa chambre.

Nana : uhm, bon je finit de priée et tu me raconte ta journée.

Nousayba : d'accord.

Entre elles, elles ont toujours parler l'arabe pour ne pas oublier.

Elle regarda sa sœur rentrée dans leurs chambre et sourit. Elle était heureuse de voir qu'elle et sa sœur se couvrent le corps, même si sa sœur elle ne se couvre pas le visage. Nousayba était heureuse rien qu'à l'idée de savoir qu'elle, sa sœur et leurs mère étaient dans le dîne. Rien que ça faisait son bonheur.

une noire pour le CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant