05 la fuite.

5K 579 7
                                    

Nana qui croyait qu'il disait ça pour la vexée, bouillait de rage.

Nousayba : hung hung

Fait elle semblent d'avoir une crise cardiaque, en se laissant tomber en arrière, roulant sur elle même de gauche a droit.

Nana : elle fait une crise il faut qu'elle prenne l'aire. Fait arrêté ce putain de camion.

Aron : non on ne peut pas.

Nana : elle va mourir si on ne fait rien, et je ne crois pas que sa plairait a votre patron de savoir qu'il a dépensé autant d'argent pour rien. Dit elle en regardant Éric dans les yeux.

Il frappa deux fois au camie, et le camion s'arrêta.

Nana : détache moi et aide moi a la descendre.

Se qu'il fut sans attendre.

Nana : non aide moi a l'amener un peu plus loin.

Éric : mais non on va s'éloigner trop.

Nana : tu veux que je perds ma sœur ?

Sans contestée il prit Nousayba et la déposa un peu plus loin. Nana enlève le habaya de sa sœur, qui est habillé d'une jean noir et une chemise bleu, nana voulait préparer sa sœur a courir. Et commença a appuyé légèrement ses deux mains sur sa poitrines.

-...pourquoi tu nous a fait arrêté Éric ?

Nana et Éric levèrent la tête et vu le chef.

Éric : elle faisait une crise.

Le chef : juste pour ça ?

Éric : mais t'as dit qu'elle ta coûté la peau du cu aurait tu été d'accord que je la laisse mourir ?

Le chef : OK dépêché vous j'ai pas envie de traîné. Dit il en se retournant. Il vit Aron accompagné de amara et les interpella. Tu vas où avec elle comme ça ?

Aron : elle veut pissé.

Le chef : me faite pas perdre mon temps pour des sottises et revenez vite.

Dit il, puis il partie les laisser.

Amara : tu me défait les mains je vais pissé ici s'il te plait?

Il lui ouvre les mains et elle s'éloigna un peu et s'accroupit.

Nana : vous avez de l'eau ?

Éric : Aron vas chercher de l'eau.

Aron partie et nana se leva pour se débarrasser de son habaya aussi.

Nana : vous êtes près les filles ?

Éric : qu'es ce que tu dit.

Nana : regard là-bas.

Il se retourna et les trois filles se mirent a courir. Éric qui avant de s'en rendre compte, voyait les filles s'éloigner les suivit pour les rattrapé. Alors qu'il était très loin. Tiré d'affaires pensa Nousayba. Amara était devant, Nousayba juste derrière elle, et nana qui était la dernière fut rattrapé par Éric. Ils se regardèrent longuement comme si rien n'existait. Nousayba qui voyait pas sa sœur s'arrêta et revint sur ses pas.

Nana : laisse nous partir.

Éric : je ne peux pas.

Nana : si tu peut s'il te plait Éric. Dit elle en lui faisant fasse et déposa sa main droite sur la joue gauche d'Éric pour le caresser.

Éric : je....je...

Il attira nana a lui et écrasa ses lèvres sur les siennes, il enfonça sa langue dans la bouche de nana qui l'accueillit immédiatement. Le baisé était a la fois dure, tendre et plaine de promesse. A contre cœur ils se séparèrent, et reste front contre front.

Éric : je ne peut pas vous laissez partir toute les deux par toi mais ta sœur doit rester.

Nana : NON. Cria t elle en se dégageant brusquement d'Éric. Garde moi et laisse ma sœur partir.

Éric : mais...

Nana : pas de mais. Elle se retourna vers sa sœur et lui prit les deux mains. Sayba part je vais rester moi, Éric dit qu'il ne peut nous laisser partir toute alors part rattrape amara moi je reste.

Nousayba : non toi tu pars moi je reste.

Nana : jamais...

Nousayba : non, nana écoute leur chef pourrait te tué pour lui nous somme insignifiant, et quand il verra qu'il a perdu deux et qu'il ne reste que toi il pourrait te tué dans un excès de colère. Alors que moi il m'a payé chère alors il me tura pas.

Éric : oui Nana écoute ta sœur, Cameron pourrait te tué.

Nana : alors je mourait mais je ne te laisserait pas partir.

Ils entendirent des crie qui veut dire que les autres approchent.

Nousayba : s'il te plait nana il arrive part, et tu me cherchera avec l'aide de Nasser, oumi et Éric n'est ce pas? Demande t elle a Éric.

Éric : oui je l'aiderait part maintenant.

Nousayba : part et prend soins de notre mère ainsi que de Micky dit leurs que je les aiment.

Nana : non non je suis ta grande sœur c'est a moi de veiller sur toi.

Nousayba : et de notre mère va veiller sur notre mère en attendant.

Nana : je ne peux pas.

Nousayba : si tu part pas alors plus jamais tu ne sera ma sœur tu sera morte et enterré pour moi.

Ces mots dite elle retourne vers le camion, en versant des larmes.

Nana : je t'aime sayba. Pleurant elle elle aussi.

Nousayba : je t'aime aussi. Répond t elle sans se retourné.

Nana regarda Éric les yeux plaine de larmes, et lui demanda de prendre soins de sa sœur. Puis se retourna pour courir les deux mains sur le visage pour caché ses larmes et étouffer ses sanglots.

Éric regardait nana s'éloigner, il s'était sentie mal en voyant son visage inondé de larmes, il s'en voulait de la voir pleuré pendant un instant il avait imaginé la suivre fuir lui aussi avec elles. Mais s'il faisait ça Cameron le retrouverait et les tuerai tous. Alors sans tardé il balaya cette pensée, rattrape Nousayba pour retourner.

Éric : je suis désolé.

Nousayba : rien n'est de ta faut.

-...ils sont la.

Cameron : où sont les deux autres ?

Éric : enfuis.

Cameron : me cacherait tu quelques chose Éric ?

Éric : non pourquoi ?

Cameron : jamais la sœur de cette fille partira sans elle.

Éric : faut croire que dans la panique les gens changent.

Cameron : on verra ça plus tard pour le moment allons-y nous avons perdue déjà assez de temps.

Nana quand a elle courait dans le vide, elle voulait simplement s'éloigner pour que cette douleur qu'elle a au niveau du cœur s'arrête. Qu'elle sœur laisserait sa petite sœur pour s'enfuir ? Personne se dit elle. Alors pourquoi elle, elle la fait ? Pour ne pas perdre sa sœur ? Mais c'est maintenant qu'elle vient de la perdre. Non elle n'aura pas dû partir, elle aurait dû rester et obligé sa sœur a partir. Dans tout les cas connaissant Nousayba jamais elle ne mettra sa menace a exécutions, non pas entre elle, Nousayba l'aimait trop pour brisé leurs lien de parenté, et était trop pur pour en vouloir a quelqu'un longtemps. Non elle devait retourner, oui elle devait faire ça. Elle rebroussa chemin, mais elle était arrivée trop tard, ou elle sait perdu. Mais ne revue ni le camion ni Éric encore moins sa sœur. Elle tomba a genoux et pleurait tout les larmes de son corps, elle a été une sœur indigne. Elle n'a pas pu protéger sa sœur et a perdu sa seule et unique sœur.

une noire pour le CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant