04 le départ

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Nana : laissé nous partir on vous payerait ce que vous voudrez.

Porté sur les épaules d'Éric et Marck. Nana essaie de négocier pour être liber.

Aron : nous aurions mieux ailleurs.

Ils les amènent dans la tente et les pose sur leurs pieds. Bouche b les deux sœur regardèrent le spectacle qui s'offre a elles. Devant elles il y avait de nombreuses filles, qui avaient les mains attaché par derrière, dont la plupart étaient salit, décoiffé, et les vêtements déchiré. Prise de panique Nousayba protesta.

Nousayba : non non je ne veux pas rester ici, je veux rentrée chez moi. Lâche moi toi. Cri telle a Éric qui lui tenait les deux bras par derrière, tout en essayant de se dégager. Je veux rentrée, nana fait quelques chose je ne veux pas rester.

Éric : arrête de bougé putain!

Nousayba : non je veux rentrée.

Fatigué de son comportement, Éric tourne brusquement Nousayba et lui asséna une grosse gifle qui la fus tomber sur ses fesses. Nana qui était tenu par Marck essayait de se dégagé sans succès.

Nana : NE LA TOUCHE PAS LA PUTAIN DE TA MÈRE. Pleure t elle de rage, de voir que sa sœur se prend une gifle sans qu'elle puisse intervenir.

Éric : T'EN VEUX UNE AUSSI SALOPE?

Nana : TA MÈRE LA SALOPE ENFOIRÉ !

Il leva la main pour la giflé a son tour mais fut vite rattrapé par Aron.

Aron : arrêt c'est bon.

Éric : dégage la de ma vue si non je ferais un malheur. Dit-il en sortant de la tente.

Nousayba qui étant encore sur le choque de la gifle qu'elle vient de recevoir, de toute sa vie jamais quelqu'un n'avait levé la main sur elle, pour sa elle était choqué. fut relevé par Aron. On les attacha au près des autres et laissé là. Nousayba fait le tour de la pièces avec ses yeux, elle était choqué de voir toutes ces filles attaché, qui vont être vendu d'autres tué. Elle se demandait pourquoi les femmes sont celles qu'on kidnappent le plus souvent ? Parce qu'elle sont faible fasse aux hommes ? Mais es-ce la une raison valable ? Elle avait mal. Mais surtout elle avait peur. Elle ne savait pas ce qui allait leurs arrivée a elle et sa sœur. Est ce que leur mère les cherche en se moment ? Non, elle venaient juste de la qui. Mais comment allait réagir leur mère en se rendant compte de la disparition de ses filles. Elle ne pouvait pas imaginé la douleur que sa mère allait sentir en se rendant compte que ses deux et unique enfants ont disparu en même temps, non elle ne pouvait pas imaginé.

Nana : il faut qu'on sort d'ici.

Nousayba : oui mais comment ?

Nana : je ne sais pas faut qu'on trouve une solution.

-....n'essayez même pas, personne ne peut partir d'ici.

Les deux sœur regardèrent la jeune femme qui venait de parler.

Nana : vous parlez arabe ?

-...apparemment oui.

Nousayba : pourquoi vous nous dites de ne pas essayé ?

-...parce que d'autres on essayé mais n'ont pas réussit. Excusez ma curiosité, avez vous porté des lentilles ? Demanda t elle a Nousayba.

une noire pour le CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant