Pas encore corriger.
Kaltoum en médias.
Un silence pesant c'était installé dans la pièce. Depuis quatre jours, le roi semblait frémir de colère. En rentrant de l'hôpital ce matin, rien ne semble s'arranger. Pourtant il était rentré avec Nousayba blotti dans ses fort bras protecteur. Il la tenait fermement et possessivement. Il avançait avec son objet de passion, le visage fermé. Arrivé dans sa chambre, le roi l' installa sur le lit avec douceur. Nousayba dormait paisiblement, comme un nouveau né.
Depuis que Nousayba a reprit connaissance, il y'a deux jours de ce là, le roi ne l'a pas laisser une seule fois sans surveillance. Il était rester lui même pour gardé un oeil sur elle, les seuls moment ou il était obligé de la laisser était quant il devait faire ses besoins personnel, et là, il laissa Nana au pieds de Nousayba. Il a laisser tout son travail dans les mains de Terek, pour s'occuper de la belle targui.
Zoheir contourne le lit, et s'allongea sur le dos, les bras sous la tête.
Le roi avait des question plein la tête. L'histoire du sang de Samad n'a même pas été poser, encore moins détailler. Il avait interdit à Samad d'approcher Nousayba, et au autre de lui dire quoi que ce soit sur le fait que Samad pourrait bien être son père d'après un teste ADN..... Mais qu'es qu'il raconte ? Ce teste ne peut pas être faux, alors oui, Samad est son père ! Mais comment Samad peut être son père ? C'est carrément impossible. Son père est mort.
Nousayba : vous allez bien ? Demande t elle émergeant des bras de morphée, s'étirant le corps, tel un chat.
Le roi pencha la tête vers la droit, vu Nousayba qui le regardait de ses grande et magnifique yeux.
Zoheir : ça va toi ? Demande t il sans avoir répondu à la question de Nousayba.
Nousayba : ça peut aller. Répondit elle, se redressant, pour s'adosser au mur. Ay! se plaignit elle de la douleur.
Zoheir accouru pour l'aider.
Zoheir : heyy..doucement, tu ne t'ai pas fais mal ? Demande t il paniquer.
Nousayba : oui ça va.
Zoheir : non, où as tu mal, c'est l'opération qui te fait mal, tu veux de la morphine pour la douleur? Attends je vais appeler le docteur. Dit il enjambant Nousayba pour gagner la porte.
Nousayba attrapa sa main. Il se retourna, et vu le regard brûlant de Nousayba sur lui, son regard avait un lueur qu'il n'a jamais vu au paravent. Et pour la première fois qu'elle ne le regardait pas avec dégout, amertume, colère ou encore amusement, sa lui faisait un drôle d'effet.
Le regard que Nousayba lui décelait, lui procura des myriades de sensations, qui dévalèrent son coeur, se jetèrent dans l'inconnu de son ventre contracter de désir avant de se loger au plus secret de son masculinité, ce qui secoua son membre de spasme. Les pupilles du roi étaient dilaté, luisant d'un sourde désir qui grandait en lui, menaçant de brisé les chaines de son esprit. Son regard se posa, sans pouvoir sans empêcher, sur les va et vient sa poitrine. le tissus fluide de sa rode ne dissimulait qu'à peine ses tétons dressé. Dans cette posture, son dos c'était naturellement cambré, exposant ainsi sa magnifique taille fine.
Elle le mettait dans une de ses états.
Nousayba se sentait irrésistible attiré par le roi.
Les mains larges du roi, elle les voulait sur elle, au dessus d'elle, en elle, partout ou elles pourraient explorer. Elle voulait ses lèvres, si pleines et si sensuelles, la soumettre au plus exquis des supplices. Au point de lui procurer une fièvre d'un tout autre genre, passionnant et intense. Sa langue, elle la ressentait déjà l'envahir de toute part. Cette langue chaud, demandeuse et désireuses, elle l'imaginait avide de son nectar, elle l'imaginait explorer son intimité déjà mouiller.
Nousayba : embrassez moi.
Zoheir ne se fait pas prié. Il écrasa ses lèvres sensuelle sur celles de Nousayba, qu'elle accueillit dans un baisé dur et sauvage. Le roi enfonça sa langue dans la bouche de Nousayba, cherchant toujours loin, ce qui arracha un gémissements a Nousayba. Zoheir mit ses mains sous les cuisses de Nousayba et la soulève, Nousayba enroula automatiquement ses jembes autre de Zoheir. Pendant que les mains de Nousayba s'égarèrent dans les cheveux du roi, ceux de Zoheir malaxaient les fesses de Nousayba telle un citron. Zoheir dévorait la bouche de Nousayba, tout en compressant son membre dur à l'intimité de Nousayba. Manquant d'air, Nousayba mit fin au baiser, mais n'y pas le temps de respirer qu'elle entendu Zoheir sucé son téton. Nousayba laissa tomber sa tête en arrière, se frottant à Zoheir, cherchant toujours à le ressentir encore plus. Zoheir planta ses dents sans douceur dans le cou de Nousayba, lui arrachant un cri de plaisir. Il suçait, lèchait la peau de Nousayba. Nousayba se cambrait d'avantage, rendant Zoheir fou par ses mouvement inconscient.
Zoheir s'allongea avec Nousayba elle en dessus, pour ne pas la blesser. Nousayba était assis sur le membre de Zoheir, elle le regardait avec tellement de désir, que lui vient soudain a l'idée de le rendre encore plus fou. Alors elle se frotta sensuellement au membre de Zoheir, faisant des gestes de plus en plus intense. Nousayba retira à Zoheir son chemisier, elle embrassa ses pectoraux, suçote son téton, léchait le bout. Nousayba mordilla sa peau. Zoheir n'était plus qu'une bête animée d'un désir incontrôlable, Nousayba était comme la drogue,malsain et envoûtant. Il attira Nousayba à lui, pour répondre ses lèvres, dont il ne pense plus sans passer, leurs langues se rencontrèrent dans un baiser sauvage, leurs langues valsent ensemble. Zoheir enfuie sa tête dans le cou de Nousayba pour étouffer ses gémissements. Nousayba s'attaqua maintenant à son jean.
Zoheir : j'ai eu tellement peur de te perdre, si tu savais.
Nousayba arrêta, et resta assis sur Zoheir. Elle prit quelque temps, et replonge dans ses baiser sur le torse de Zoheir, tout en essayant de lui retirer son jean. Cette fois c'est Zoheir qui l'arrêta.
Zoheir : attends Nousayba pas comme ça, je ne veux pas baiser avec toi, je veux te faire l'amour.
Nousayba : je....je... Bégaye t elle
Zoheir : chut, dit il posant son index sur ses lèvres, t'as pas besoin de répondre, je veux juste que tu sache que je ne te prendrais, que si tu ressens ce que moi je ressens pour toi. C'est seulement à ce moment que je te ferais l'amour comme il se doit.
Zoheir se leva, Nousayba accrocher à lui. Il l'allongea dans son lit et quitta la pièce.
Nousayba était sur le cul. Elle était dégouté, elle qui voulait se donner à lui. Voilà qu'il la laisse sur sa faim. Mais qu'es qui l'a prit même de faire le premier pas. L'envie ? La peur ? Les deux. Oui elle avait envie de lui, mais c'est surtout la peur qu'elle a ressenti quand ses yeux se fermaient sur le beau visage de Zoheir qui avait le dessus. Elle avait eu peur quant elle se voyait mourir, peur de ne plus le revoir, peur de le perdre, peur de le laisser au bras d'une autre.
Alors en le regardant tout de suite, tout a bousculer dans sa tête. Elle avait voulu se donner à lui, l'avoir pour elle toute seule. Elle avait voulu goûté au merveille du monde avant qu'il ne soit trop tard, mais il a fallut qu'il gâche tout avec son phrase à la con.
Te faire l'amour.
me faire l'amour ? Me faire l'amour, mon cul ouais.
Dire que Nousayba n'était pas déçue serai vous mentir.
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une noire pour le Cheikh
Fiksi PenggemarAprès être capturé par des trafiquants d'humain, Nousayba sera transporté et vendu a un roi qui est aussi cheikh, dans un pays qu'elle n'a jamais mis les pieds. Battu et violé elle fera face a la misère. Avant que le roi sans savoir tomba follement...