une noire pour le Cheikh

06 la vente

Mains et pieds liés par derrière. Nousayba était couchée sur le côté, elle avait mal de tout les côtes. Après être revenue d'elle même, Cameron décida de l'attacher ainsi pour pas qu'elle tente une autre fuite. Ils ont repris la route, roulant deux jours sans laisser le temps au filles kidnapper le temps de se soulager ou même de grignoter quelques choses. Nousayba avait faim, le chef lui a fait subit tout les misères du monde, son corps lui faisait un mal d'enfer à cause des coups qu'elle avait reçu et le fait d'être attachée n'arrangeait rien en sa situation.

Eric quand a lui regardait son patron maltraité Nousayba sans pouvoir faire quelque chose et Dieu sait qu'il aurait aimé pouvoir intervenir, il avait bien promis à Nana de prendre soin de sa sœur et voilà qu'il ne peut même pas empêché son patron de la frapper. Quand leurs deux jours de voyage fut termine. Les filles fut chargée dans un bateau, où elles vont faire le reste du voyage. Eric avait voulu faire ses au-revoir à la belle targui ( c'est comme ça qu'on appelle les femmes touareg ) vu que lui et ces camarades n'était pas du voyage, mais il ne pouvait pas de risque de se faire prendre par le patron.

Nousayba fut montée sur le bateau telle une morte, ses yeux étaient semi ouvert, sa vision floue, la respiration saccadé. Elle n'arrivait même pas à tenir ses lèvres collé, elle était fatiguée, faible. Le voyage c'était achevé sans même qu'elle sache où elle se trouvait. Elle était toujours dans le brouillard quand elle reçu un seau d'eau glacée sur elle, dans un réflexe, elle se leva brusquement en position assise pour se recroquevillé sur elle même. Elle n'avait même pas remarqué qu'elle avait été détacher. Elle essaya d'abord de s'habituer à la forte luminosité de la pièce, après s'être habituée elle examina la pièce. C'était une grande salle qui n'avait pas vraiment de classe et qui était orné que par les filles kidnapper. Elle regarda ce qui se passait prêt d'elle et remarqua qu'on donnait du pain au filles réveillée pour manger, d'autres qui dormait encore se faisaient réveillée par un seau d'eau glacée comme elle, il y a quelques minutes, et qu'on amenait celles qui ont fini de manger dans une autre pièce.

Un homme qui l'a fixait méchamment lui jette un morceau de pain par terre, elle aurait voulu ne pas le ramasser, mais elle avait tellement faim, alors elle mit son égo de côté pour cette fois et prit le pain.

-.... Tu es maudits, ta beauté est maudit, tu devrais être exécuté avant de semer la terreur autour de toi. Dit l'homme en lui lançant des éclairs avec ses yeux.

Elle se contenta de le dévisagé avec indifférence, puis commença à manger. Finit de manger, un autre homme la prit par le bras pour l'amener dans l'autre salle. Une femme arabe de la trentaine la récupéra et lui fait prendre un bain comme les autres sans prendre le temps de frotter le corp, la femme lui fila un ensemble de sous-vêtements violé, elle voulu sourire de voir sa couleur préférée mais se rappelant vite qu'elle ne doit pas se réjouir devant ces gens et garda le visage ferme.

La femme : mettez ça !

Elle ne répondu pas, porta le sous-vêtements elle ne voudrais surtout pas qu'ils sachent qu'elle parle arabe. Après avoir enfilé le sous-vêtements, la femme l'amena avec elle sur une sorte de podium ou on présentait des pièces. Un grand volet était dressé devant elle, une ligne d'une quinzaine de filles habiller en sous-vêtements comme elle, et elle se plaça près de la dernière.

-.... Qu'es ce que tu crois qu'ils vont nous faire?

Elle se retourna pour regarder la fille de sa gauche, puis regarda devant elle

Nousayba : nous vendre.

-.... Comment peut tu en être sur vu que tu n'as jamais été dans cette situation avant aujourd'hui ? Entendu t elle d'une autre fille.

Sans même se retourner.

Nousayba : pas besoin d'être un devin pour savoir qu'ils vont nous vendre. Tu crois qu'ils vont te faire manger et porté ces sous-vêtements pour venir danser la samba? Laisse moi rire.

-... Tu ne....

Elle fut coupé par les volets qui se levaient. Devant eux se trouvait des hommes assis deux par deux, sur des chaises avec une grande table devant, et des malette posé dessus. Ils étaient tous des arabe, composé de plus de vieux au gros ventre que de jeune. Nousayba faisait le tour de la pièce, de ses yeux avec dégoût. Mais alors qu'une haine sans nom s'agrandissait en elle ses yeux rencontrèrent les siens et elle perdu la notion du temps.

De son côté Zoheir avait les yeux braqué sur cette belle créature. Depuis que les rideaux se sont levés la première fille que Zoheir remarqua fut Nousayba. La seule chose qui lui était passé par la tête était qu'elle était magnifique. Il la détaillait sur tout les points. De sa magnifique couleur de peau, ces long cheveux lisses et soyez, est ce que se sont ses vrais cheveux ? Se demandait il, mais il n'avait guère la réponse, une forme généreuse. Il se demandait vraiment si cette fille est humaine. On ne pouvait pas avoir un corps et un visage parfait sans défaut à la fois. Si ! Mais elle, sa beauté est insensé, exagéré se dit il, mais la n'est pas l'importance. Il s'en contre fiche qu'elle soit humaine ou pas, il la voulait pour lui. Pour lui tout seul, il faut qu'il la fasse siens. En cet instant il la désirait tellement qu'il a commencé a avoir un problème au bas du ventre.