une noire pour le Cheikh

39 vérité effrayante

Cette fois, c'est une longue partie.

Bonne lecture.

Nousayba : Samad !

Samad : Nousayba ! Soupire t il en la prenant dans ses bras.

Nousayba qui ne s'y attendait pas, resta ébahi. Elle avait passer un bon moment chez Samad, mais jamais il ne l'a câliner de cette façon, même quand elle s'amuser à rendre le roi jaloux, Samad ne l'a tenue une seule fois aussi sincèrement. Après plusieurs minutes, Samad relâcha Nousayba.

Samad : tu es....tu es vraiment ma fille ? Demande t'il de sa voix, tremblant de joie ou de peur ? Nousayba ne saurait le dire.

Nousayba : ta fille ?

Zoheir : il ne sait pas ce qu'il dis, intervient le roi, tirant Nousayba des mains de Samad, je t'avais dis de ne plus l'approcher.

Samad : tu ne peux pas m'interdire de voir ma fille.

Zoheir : qu'es qui te prouve que c'est ta fille ? Tu ne connais pas sa mère, et elle a une grande soeur, alors comment es ce qu'elle pourrait bien être ta fille ?.

Samad : je ne sais pas..je n'en sais strictement rien, et c'est exactement ce que je cherche à découvrir. Peut être que j'aurais déjà découvert la vérité si tu ne te mettais pas à travers de mon chemin.

Nousayba : mais de quoi est ce que vous parlez.

Samad : du fait que tu pourrais bien être ma fille.

Nousayba : moi être ta fille ?

Nousayba eu un rire drôle, croyant qu'ils plaisantaient. Voyant qu'ils avaient un regard sérieux, Nousayba commença à paniquer.

Nousayba : mais....mais c'est impossible, non, non, non, ça ne peut pas être vrai....j'ai..j'ai un père, il est mort...et puis Samad ne connait même pas ma mère....comment pouvez vous même imaginez que.....que Samad pouvait être mon père ?

Zoheir : on a rien imaginer Nousayba, c'est le test ADN qui l'a prouver.

Nousayba : vous m'avez fait un test, de quel droit avez vous osé ?

Zoheir : on n'avait pas le choix, tu étais mourante, il te fallait du sang à tout pris, Samad était le seul compatible, et c'est là que nous l'avions su, des résultats des analyses de son sang.

Nousayba : c'est...c'est, elle tituba en arrière, et atterrit sur le fauteuil, je veux voir ma mère, lâche t elle, en murmure, les bras soutenant sa tête.

[...]

Ils étaient en route pour chez Samad. Nousayba voulait mettre fin à ces absurdité, elle avait demander sa soeur si elle avait une photo de leur mère, à fin que Samad vérifie s'il la connaissait, chose au quel Samad affirma que oui, il connaissait la femme, que c'était d'elle qu'il parlait à Nousayba. Nousayba qui ne voulait pas accepter cette vérité effrayante, refusa de croire que Samad connaissait sa mère. Alors pour mettre les point sur les "i", Samad lui proposa de venir chez lui pour vérifier d'elle même.  Nousayba était à côté de sa soeur, Zoheir, Samad et Terek face à elles.

Nousayba avait le visage fermer, si c'était une blague, alors elle était la plus absurde qu'elle n'ait jamais entendu. Vous imaginez, qu'on vous kidnappe pour vous amenez à l'autre bout du monde, que vous atterissez un jour chez un homme bienveillant, et qu'on vous apprend par la suite que cet homme est votre père. Comment allez vous réagir ?

La bonne blague

Elle ne pouvait pas accepter, c'est quelque chose qui n'a même pas de sens. Quelque minutes après, ils étaient dans la villa de Samad. Ils descendirent tous, et prient la direction de l'entrée. Soukaina qui était accroupie, nettoyant les meubles, vu l'arrivée de Samad, avec Nousayba derrière lui, elle se leva pour l'accueillir, mais s'arrêta en remarquant le regard froid de Nousayba. Samad était devant, il les dirigeait. Les autres étaient derrière lui, et ils le suivirent jusque dans sa chambre. Une fois à l'intérieur, Nousayba eu le regret de découvrir une photo de sa mère, accrocher en haut de la tête du lit de Samad.