30 une fête

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Deux jours ce sont écoulés, deux jours que Samad a voyager, ce qui fait de Nousayba la seule présente de ces lieux. Du coup, elle n'a plus le temps de ce reposée, trop prise à s'occuper du travail de Samad, de mettre en ordre ses affaires, de s'occuper de ses dossiers, Nousayba passe la plus claire de son temps dans le bureau de Samad.

Bien qu'elle soit trop occupé, Nousayba trouve toujours le temps a pensée à Zoheir, elle n'a que Zoheir dans sa tête, il occupe la plus grande partie de son temps, de ses pensées, de sa.... Non elle n'est pas d'accord avec ça, il ne peut pas occupé sa vie, si ? Nousayba se leva, il faut qu'elle sort prendre l'aire, elle étouffe dans cette maison. Elle sorti du bureau pour partir dans la cuisine retrouver soukaina.

Nousayba : Soukaina tu fais quoi ?

Soukaina : rien, pourquoi ?

Nousayba : sa te dérange de m'accompagner ?

Soukaina : pas du tout.

Nousayba : dans ce cas allons-y.

Soukaina : d'accord, mais où ?

Nousayba : je ne sais pas je veux juste sortir.

Soukaina : bien on y va.

Elle suivit Nousayba, qui partie chercher une des voiture de Samad. Elles montèrent et prient la route.

Nousayba : t'as un endroit à me proposé ?

Soukaina : oui, mais je ne croix pas que sa peut s'intéresser.

Nousayba : dis toujours.

Soukaina : l'orphelinat.

Nousayba : l'orphelinat ?

Soukaina : oui, j'ai grandit là-bas avant que monsieur Samad ne me renverse un jour sur la route et décide de me gardé pour toujours.

Nousayba : je me rencontre que je ne sais rien de toi Soukaina, parle moi un peu de toi si sa ne te dérange pas.

Soukaina : sa ne me dérange pas, mais je ne vais pas le faire parce que tu m'as toujours pas dit ce qu'il y'a entre le roi et toi.

Nousayba : trop longue à expliquer.

Soukaina : oun. Et bien, je suis une orpheline, je n'ai jamais connue mes parents. J'ai un jour demander à Safia, qui sont mes parents et comment suis-je arrivée à l'orphelinat, et elle ma répondit que quelqu'un m'a laisser à la porte quand j'étais bébé, et donc j'ai passé toute ma jeunesse à l'orphelinat, jusqu'au jour où Safia m'a envoyé lui chercher des médicaments à la pharmacie, je n'avais encore que 14 ans, et en traversant la route je me suis fait renverser. Samad m'a donc prit sous son chargé et je suis partie vivre dans sa maison depuis ce jour.

Nousayba : je vois. Mets moi l'adresse de l'orphelinat.

Ce que soukaina fit et elles partirent à l'orphelinat de Soukaina. Arrivée, Soukaina était paralysée sur les lieux. Elle ne bougeait plus, on aurait presque cru qu'elle ne respirait plus.

Nousayba : ça va ?

Soukaina : depuis que Samad m'a ramener chez lui, je n'ai plus remis les pieds ici.

Nousayba : t'inquiète pas tout va bien se passé.

Nousayba prit la main de Soukaina et l'incita à la suivre. Elles entrèrent dans l'orphelinat. Dans la cours, les gamins qui couraient de partout, certains étaient assisent à papoter, d'autres marchaient et ainsi de suite. Il y avait une femme debout, de dos qui arrosait des plantes. Elles partirent à sa rencontre.

une noire pour le CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant