<< Combien de cœurs sont convertis, Chez les pêcheurs et chez les filles ! Les cœurs de pierre, cette nuit, Comme la chair sont faibles et assouplis. >> Robert Burns
Claquant la portière de sa voiture, Nousayba prit la direction de l'entreprise où elle travaillait. En saluant quelques camarades, elle gagna son bureau pour commencée le travail. Elle devait traduire les commandes faites dans d'autres langues pour les passer au patron.
Quelques minutes plus tard le téléphone du bureau sonna. Elle abandonna ses occupations pour répondre.
Nousayba : allô !
Le patron : oui Nousayba bonjour, tu peut passer dans mon bureau j'ai un travail pour toi s'il te plait?
Nousayba : oui bien sur monsieur j'arrive.
Le patron : merci.
Elle raccrocha et partit dans le bureau du patron, elle cogna deux fois et le patron lui dit d'entrée.
Nousayba : bonjour monsieur, que puis-je pour vous ?
Le patron : assois toi.
Ce qu'elle fit.
Le patron : je voudrai que tu envois un e-mail en Chine à l'entreprise Ichikawa, pour les prévenir de notre arriver. On doit parler affaires.
Nousayba : de notre arriver vous dite?
Le patron : oui tu ira avec moi comme toujours, tu sais bien que je ne parle pas leur langue.
Nousayba : oui monsieur, et pour quand est le voyage ?
Le patron : dans sept jours.
Nousayba : d'accord, c'est tout ?
Le patron : oui tu peux disposer.
Elle se leva et regagna son bureau pour continuer le travail et envoyer l'e-mail du patron.
***
Nana : tu pars quand ?
Nousayba : dans sept jours.
Assise à côté de sa sœur, Micky toujours sur ses cuisses, elle leur racontait le voyage qu'elle va effectuée avec son patron, et vue que sa mère était présente, elles se doit de parler en leur langue. Sa mère qui connaissant sa fille n'était pas très inquiète pour le voyage parce qu'elle est déjà habituée, et surtout qu'elle sait que sa fille jamais ne ferait des choses illégale ou ne pêcherait pendant son voyage, elle lui vouait une confiance aveugle à elle et sa sœur. Nana elle n'était pas rassurer, non elle ne s'habituerait jamais a voir sa sœur voyager pour le travail, pas qu'elle ne lui faisait pas confiance, non juste qu'elle ne voulait seulement pas être très loin de sa petit sœur. Elle avait toujours peur de la laissée partir.
Nana : uhm.
Nousayba : fait pas cette tête je rentrerait vite promue.
Nana : si tu le dis, au fait oumi Nasser veut passé demander ma main avec votre permission.
Oumi : alhamdulillah, c'est une bonne nouvelle ça.
Nousayba : une très bonne nouvelle Macha Allah. Ma sœur va partir me laisser.
Nana : bien-sûr que non tu viendras avec moi. Je l'ai dit à Nasser s'il veut m'épouser alors il doit nous épouser toute les deux.
Oumi : arrêtez vous savez très bien qu'un jour ou l'autre vous allez être séparées, soit par le mariage ou la mort. Mais je suis heureuse de voir que c'est par le mariage.
Nana : alors je peux lui dire d'envoyer ses parents ?
Oumi : pas encore tu sais très bien que étant une femme je ne peut pas donnée la main de ma fille sans consulter la famille de ton père. Et comme votre père est mort paix à son âme, c'est à ses frères de vous donner en mariage . Donc demain Incha Allah j'irai voir votre oncle Ibrahim pour lui faire-part. D'ici là dis à Nasser de passé pour qu'on parle lui et moi.
Nana : oui Incha Allah oumi.
Nousayba : tu vas vraiment partir sans moi ? Fait-elle semblant de renifler.
Nana : arrête tu vas me faire pleurer. Sourit elle en entrainant sa sœur et leur mère.
Oumi : maintenant c'est à toi d'amener un homme à la maison Nousayba. Je ne t'ai jamais vus avec un copain et je dois dire que ça commence a m'inquiéter. Toi qui est à font dans la religion ne sais tu pas qu'une femme se doit d'avoir un mari?
Nousayba : chaque chose à son temps oumi. Si je n'ai toujours pas de copain c'est que Allah l'a voulu et qu'il n'enverrait mon prétendant qu'au moment voulu.
Oumi : tu as raison.
Nousayba : au faite Nana ça te dirait qu'on part au grand marcher avant mon départ ?
Nana : oui Incha Allah.
Nousayba savait qu'à son âge elle devrait avoir un copain, ou rien qu'une fois dans sa vie. Alors qu'elle jamais elle en a eu, et comme l'a dit sa mère c'est inquiétant. Autres fois avant de se couvrir le visage nombreux son les hommes qui lui couraient après, mais elle n'a jamais pu sortir avec un seul. Pas parce qu'elle n'était intéressée par aucun, mais parce qu'elle n'avait pas eu le temps vue qu'ils passaient leur temps à se quereller pour elle. Alors du jour au lendemain elle se couvrit le visage, et ses prétendant diminuaient progressivement. Ainsi elle décida de ne sortir qu'avec un homme qui l'aimerait pour ce qu'elle est non pas pour ce qu'elle a.
***
Nousayba : je te préviens Nasser si tu touche à un seul cheveux de ma sœur je te découpe en rondelles.
Assise à l'arrière de la voiture, Nousayba menace son futur beau frère qui les amène au grand marché pour leurs course. La demande en mariage de Nana a été fait hier et ils ont prévu le mariage dans trois mois. Depuis Nousayba ne cesse de mettre en garde Nasser.
Nasser : oui maman. Fait-il concentré sur la route et souriant.
Nousayba : arrête de sourire j'ai l'impression que tu me prends pas au sérieux. Dit elle en boudant
Nasser : bien sur que si maman et arrête de bouder t'es beaucoup trop mignonne comme ça.
Nousayba n'a pas encore couvert son visage, elle se permet de montrée son visage devant Nasser qui l'a connaît depuis qu'il sort avec sa sœur.
Nousayba : et tu me complimente devant ta femme ?
Nasser : bah quoi si j'épouse ta sœur je t'épouse alors il est ou le blême si je complimente ma deuxième femme ? Et puis c'est pas comme si c'est nouveau, n'est ce pas bébé? Demande t'il à sa copine.
Nana : uhm
Depuis que Nasser les a prit Nana na plus ouvert la bouche pour parler se contentant de les écouter.
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une noire pour le Cheikh
FanficAprès être capturé par des trafiquants d'humain, Nousayba sera transporté et vendu a un roi qui est aussi cheikh, dans un pays qu'elle n'a jamais mis les pieds. Battu et violé elle fera face a la misère. Avant que le roi sans savoir tomba follement...