54 Malek

3.6K 376 74
                                    

Signaler les fautes si vous en voyez, merci.

Bonne lecture.




Nana : tu n'avais pas le droit Nousayba, tu n'avais pas le droit. Cria-t-elle, en pleurant. Faisant tout pour être relâchée par son mari qui la retenait par la taille.

Nousayba : je suis désolée Nana, c'était la seule solution. Dit-elle en pleurant aussi.

Après avoir récupérer, Nana a posée des questions du comment on les a libérer, à son mari. Et celui-ci n'ayant omis aucun détails, est allé jusqu'à apprendre à sa femme que sa mère est morte et que son cœur a été utilisé pour sauver le roi. Quand Nana a apprit ça, elle a débarquer en furie sur la terrasse, ou sa sœur et Ulysse étaient entrent de discuter. Et avant même d'expliquer à Nousayba le pourquoi du comment, elle donna d'abord une gifle à sa sœur, qui se retrouve les fesses au sal.

Nana : je m'en fou que ça soit la seule solution, tu n'avais pas à tuer notre mère. Sanglante-t-elle dans les bras de son époux.

Nousayba : je ne l'ai pas tuée, elle l'était déjà. Crie Nousayba à son tour.

Nana : lui arracher le cœur, c'est pas la tuer peut être ? Demande la sœur de Nousayba en essuyant ses larmes et prenant un ton dur.

Nousayba : je te l'ai déjà dit Nana c'était la seule solution. Dit-elle tout bas toujours en pleurant, comme un enfant qu'on vient de réprimander et qui reconnaît ses tort.

Nana : et comme c'était la seule solution, tu as choisi de tuée notre mère pour un inconnu Nousayba ? Demande-t-elle, elle aussi la voix tout bas, avant de reprendre. J'aurais jamais crue dire ça un jour Nousayba, mais je te déteste, je te déteste plus que tout et j'aurais aimée que tu ne sois jamais née. Peut-être que si tu n'étais pas de ce monde mère serait encore en vie. Et regarde maintenant tu m'as pris la seule famille qui me restait, mais toi, toi Nousayba tu as encore ton père. Nela n'avait peut-être pas tort, t'es un assassin. Cache-t-elle avant de poussée son mari et de partir en courant.

Nousayba : je ne l'ai pas tuée Nana, je n'ai pas tuée notre mère, je ne suis pas un assassin. Murmure-t-elle pour elle même.

Continuant à sangloter, recroqueviller sur elle même assise, Nousayba laissait ses larmes lui ravagé tout le visage. Ulysse partit se baisser à sa hauteur et la pris dans ses bras, lui caressant le dos. Nousayba laissa tomber sa tête sur l'épaule de Ulysse tout en continuant à dire qu'elle n'a pas tuée sa mère, qu'elle n'est pas un assassin.

Ulysse : tu n'as pas tuée ta mère Nousayba, arrête de pleurée. Nana dit ça seulement parce qu'elle est en colère et triste d'avoir perdu sa mère. Et tu dois la comprendre, contrairement à toi elle n'a même pas eu le temps de la revoir une dernière fois avant son enterrement.

Que Nana soit mal à cause de la mort de leur mère, elle comprend. Mais de là jusqu'à levé la main sur elle, Nousayba n'arrive pas à gobé ça. Nana n'a jamais levé la main sur elle avant aujourd'hui. Et en plus de ça, elle la déteste et regrette même de l'avoir comme soeur. Elle n'aurait pas du donner le cœur de sa mère ? Mais sa mère était déjà morte. Nousayba avait mal. C'est pas Nana seule qui a perdu sa mère non, c'est leur mère à toute les deux.

Éric : il a raison Nousayba, elle est juste sous le choque. Elle vient de perdre sa mère et son enfant en même temps, donc comprend la. Elle est abattu par tout ce qu'elle vient d'apprendre c'est tout. Elle ne pensait rien de tout ce qu'elle vient de dire. Si j'avais su qu'elle aurait réagit comme ça, je ne lui aurai rien dit, je suis désolé. Dit-il d'un ton coupable.

Nousayba : Nana dit toujours ce qu'elle pense, elle ne ment jamais en paroles. Quand elle te traite de quelques choses, elle le pense vraiment, ce qui fait qu'elle pense vraiment que je suis un assassin, que j'ai tuée....que j'ai, tuée notre mère, mais au font...., au font, elle n'a peut-être pas tort. C'est bien à cause de moi que Aïcha est morte...., c'est...., c'est encore moi qui ai tuée Nela de me propre mains et toujours moi qui ai, qui ai dit au docteur de prendre le cœur..., le cœur de ma mère. Répondit elle en suffoquant.

une noire pour le CheikhOù les histoires vivent. Découvrez maintenant