Dans le jardin, assis à regarder les domestiques s'occuper des plantes, Nousayba ne cesse de se sentir coupable pour ce qui c'est passer. Pour elle, Aïcha n'était pas visé, non, c'est plutôt elle qu'on voulait. Mais ce qu'elle n'arrive pas à comprendre est, pourquoi on veut sa mort ? Qu'a t-elle fait de mal et à qui ? C'est sur qu'elle n'aurait pas la réponse de si tôt.
Ulysse : tu m'écoute ?
Nousayba : hein ? Oui, tu disais quoi ?
Ulysse : tu pense à quoi ?
Nousayba : rien, oublie.
Ulysse : d'accord, répondit il sans chercher son reste. C'est pas son genre de forcer les gens à se confier. Et Nousayba l'a bien comprit.
Aujourd'hui est le quarantième jour de la mort de Aïcha, et Nousayba a trouver refuge près de Ulysse. Elle n'a pas vraiment eu le choix vu qu'il était le seul disponible. Et, elle et Ulysse sont devenu bon amis, c'est même lui qui l'accompagnait à son séance de rééducation et grâce à lui, Nousayba marche normalement. Dans le palais tout le monde a la tête ailleurs. Zoheir s'est enfermé sur lui même, il ne parle à personne. Terek, lui semble le plus affecter par la mort de Aïcha, il vient rarement au palais. Nana, elle, est toujours collé à Oubty, cherchant à l'aider pour pas qu'elle sombre. Nela, elle on ne la voit jamais, ainsi que la mère de Nousayba, qui ne dort même pas au palais parfois et Dieu seul sait que Nousayba aimerait savoir où est ce que sa mère passe la nuit.
Farida : sayez Nousayba j'ai terminer, je suis prête à partir. J'ai déjà fais mes au-revoir au autres.
Nousayba se leva pour faire face à Farida qui portait dans ses bras sa fille qu'elle a baptisée Aïcha pour rendre hommage à sa soeur. Farida est venue hier pour le quarantième jour de la mort de sa soeur et repart aujourd'hui, Nousayba porta sa main sur la tête de la petite fille qui a déjà commencer à avoir quelque cheveux, pour la caresser.
Nousayba : je peux la prendre dans mes bras ?
Farida : mais bien sur, répondit elle en donnant la petite à Nousayba, faisant attention à ne pas là blesser.
Nousayba : tu es tellement belle petite Aïcha, j'espère que tu aura un coeur encore plus grand que celui de ta tante.
Farida : je ne crois pas qu'on trouvera quelqu'un au grand coeur que Aïcha, dit elle alors qu'une goutte d'eau salé quitte son oeil pour s'écraser au sol. Aïcha était une personne à part entière. j'ai jamais eu l'occasion de lui dire combien je l'aimais et pourtant quand on était gamine, j'étais toujours entrain de la taquiner, de l'insulter, de la rabaisser, de chercher, ne serait qu'une fois, lui faire mal. Mais jamais, je dis bien jamais, elle n'a répliquer ou même porter la main sur moi. Et je suis sur qu'aujourd'hui elle doit me détester plus que tout.
Nousayba : si y'a une chose dont je suis consciente, c'est que Aïcha ne t'en a jamais tenue rigueur. Elle ne m'a jamais parler de toi avant le jour de sa mort, mais ce seul jour a suffit pour que je vois dans ses yeux tout l'amour qu'elle te portait.
Farida : merci Nousayba, merci beaucoup. Dit elle en la prenant dans ses bras, sans pour autant blesser sa fille. Je dois y aller maintenant prends bien soins de toi.
Nousayba : promis et j'espère que tu feras de même et surtout prends soins de Aïcha, elle se retourne vers Ulysse. Ulysse, tu veux bien les accompagner jusqu'à la voiture pour moi ? Dit elle, n'ayant pas oublier la mort de Aïcha.
Ulysse : évidemment, j'arrive.
Il accompagné Farida et revient quelque minutes après.
Ulysse : il faut que tu oublie l'explosion.
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une noire pour le Cheikh
FanfictionAprès être capturé par des trafiquants d'humain, Nousayba sera transporté et vendu a un roi qui est aussi cheikh, dans un pays qu'elle n'a jamais mis les pieds. Battu et violé elle fera face a la misère. Avant que le roi sans savoir tomba follement...