Chapitre 37

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Alice

- T'es qui au juste même ? Tu es une espionne n'est-ce-pas ? Tu sais ce que je fais aux espions ? Dit-il de sa voix froide.

- Des câlins ? Dis-je avec un petit sourire.

- Des ca quoi ? Non mais tu t'es cru où ? T'es une espionne alors ? Demande t-il avec cette froideur.

- Non ! Je m'appelle Alice et c'est tout ! Dis-je rapidement parce qu'il devenait menaçant.

He je sais ce qu'il fait aux espions ! Il les tue de ses propres mains !

- Tu me dis quelque chose, on se connaît ? Dit-il en m'observant d'un mauvais œil.

- Euh...

- Attend, c'est toi qui a courru vers moi le jour de l'accident, tu as reçu une balle, me coupe t-il.

Oh ouais que c'est moi, je me rappelle toujours de cette fameuse balle.

- Je suis désolé que tu ais vécu celà, ça ne faisait pas mal ? Dit-il curieux.

- Oh si très, je me souviens de la douleur comme si c'était hier, affirmais-je .

C'était il y a deux mois mdr.

- Ah... Mais que voulais-tu au faite ? Tu pouvais t'enfuir, dit-il calmement.

- Je voulais vous cacher les yeux, vous n'aviez que neuf ans et étiez donc trop jeune pour voir de telles atrocités... Lui avouais-je tristement.

J'aurais aimé l'aider, mais à la place je me suis pris une belle balle mdr.

- Ah...

- Mais attend, dit-il au bout de quelques minutes de silence.

- Hum ?

- Vous n'avez pas changé, je n'étais qu'un enfant ce jour là et maintenant j'ai dix-neuf ans et vous êtes toujours pareil, vous devriez être dans la trentaine, dit-il subitement.

- Euh... Merci ? Dis-je avec un sourire crispé.

- Ce n'est pas un compliment mais une question ! Dit-il de sa voix autoritaire.

Euh... Bah je lui dis quoi moi ?

- Euh au faite... Commençais-Je.

- Bienvenue à Karissa ! Entendons-nous, je me précipite vers la fenêtre.

Oh la chance !

- C'est magnifique ! M'exclamai-je émerveillé par la beauté de la ville.

C'est super grand ! Rien à voir avec Aria et il y a vraiment beaucoup d'arbre ! Sans oubliez les fontaines qui ornent la plupart des places publiques.

- Vous n'avez jamais quitté Tarissa ou quoi ? Demande le prince Norior de sa voix froide en fronçant les sourcils.

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