Le plaisir

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Les deux amants continuèrent de s'embrasser dans la chambre de France. Le châle qu'elle portait tomba par terre, pour la plus grande joie d'URSS, qui profitait de la vue de sa grosse poitrine. L'envie lui pris d'arracher la jupe verte que portait son amante, les boutons qui la maintenaient se détachèrent face à la force brutale qu'il utilisa. L'épais tissu vola à travers la pièce, laissant la jolie femme vêtue seulement par une fine culotte décorée de dentelle.

Elle ne souhaita pas être la seule à être quasiment nu, alors elle se décida à déboutonner sa chemise bordeaux. Cela amusa son compagnon, qui lui prit le poignet et l'embrassa. Il souriait devant tant d'enthousiasme. Pour la récompenser, il enleva sa chemise. Révélant un torse musclé, face à ce spectacle la jolie dame n'hésita pas à venir caresser son torse et à y déposer quelques baisers.

Il devenait de plus en plus difficile de résister pour URSS, aux désirs qui l'animé. Il n'avait plus qu'une seule envie, et c'était de la baiser violemment. Cependant, il devait combattre ses pulsions, pour éviter de la blesser.  Elle lui semblait si fragile entre ses grandes mains qu'il avait peur de la briser comme une poupée en porcelaine.   

Alors tout doucement, il se mit à caresser la poitrine de la jolie française. Ses doigts s'aventurèrent plus bas. D'un simple geste, il fit glisser la culotte en dentelle sur les fortes cuisses de son amante, jusqu'à faire descendre le fin tissus à ses pieds.

Jouant avec elle, ses doigts effleurèrent l'intérieur de ses cuisses, ce qui fit frissonné son amante. Qui souhaitait qu'il l'a touche plus, qu'il la caresse. Pour lui  faire comprendre ce qu'elle désirai, elle enlaça ses jambes juste au dessus de son bassin, et le fit pivoter sur elle. Leur visages se trouvaient à seulement quelques centimètres. URSS pouvait sentir le souffle chaud qui émanait de France.  

 Le désir les envahissait tous les deux, les faisant cédait à leur plus bas instinct . Il caressa ses seins, en mordit les tétons, ce qui la fit gémir de plaisir. France s'arquait, son corps demandant plus de friction , plus de sensation . Elle le voulait tout entier. France souhaitait profondément qu'il la prenne violemment tel un loup féroce, qu'il la dévore. Qu'il ne reste plus rien d'elle , qu'il la consomme physiquement et mentalement , qu'elle ne puissent pas penser à autre chose que cet homme et ainsi finit toutes ses peurs qui étaient en elle. Un moment de plaisir qui permettrait de ne plus se préoccuper de rien, de faire abstraction de son passé, de ses doutes, de son soi profond, pour finalement céder dans un hédonisme total, sans limite.

Elle n'eut pas le temps de formuler ses demandes qu'il lui frappa violemment les fesses les fesses. Puis il la couva de baisers l'intérieur des cuisses de France dont le visage devenait plus rouge que le drapeau de l'homme qui se trouvait entre ses cuisses et qui lui esquissait un sourire amusé. Il se releva et l'embrassa une nouvelle fois, la refaisant tomber sur le lit , ses grandes mains caressait le corps tout entier de France , qui ressentait comme une trainée de chaleur à chaque fois. Il rapprocha sa main de son visage. Et France se mit à lécher les doigts. URSS retira ses doigts de la bouche de sa partenaire et se rapprocha dangereusement des parties intimes de France . Deux de ses doigts pénétrants brusquement dans celle-ci, il y fit une légère pression et les faisant s'écarter dans un mouvement unis, touchant profondément , il en rajouta deux autres.

A cette nouvelle intrusion, elle s'accompagnait de sensations qui firent arquait de plaisir France . Ajouter à cela, qu'URSS mordait les tétons de sa compagne qui poussait alors de petites plaintes de plaisirs.

Elle gémit quand il les retira, son corps en demandait plus et sentant que cela ne serait pas suffisant. Elle voulait autre chose qui vienne comblée ce vide qu'il venait de laisser.

Il s'écartait de France, la contemplant, elle qui se trouvait nu, pleine de chaleur et de vie . Il sourit, en se déshabillant lentement. Enlevant d'abord sa veste brune, puis sa chemise, bouton par bouton , tandis que France le regardait, une cruelle torture qu'il lui faisait subir en prenant tout son temps.

Quand il eut enlevé la dernière pièce de vêtement qu'il portait, elle baissa les yeux sur son sexe en érection. URSS surprit ce mouvement , ce qui le fit sourire encore plus.

-Tu sais au lieu de juste le dévorer du regard , tu pourrais y gouter d'une autre façon.

A cette phrase , France devenait encore plus écarlate qu'elle ne l'était précédemment , mais ne détourna pas le regard pour autant.

URSS plaça son pénis devant ça si mignonne bouche qu'elle ouvrit un peu , baisant avec une certaine douceur le dur membre en érection , elle se mit à le lécher comme si ce fut une sucette.

Quand il jugea que son sexe était suffisamment humidifié , il le retira de la bouche de sa compagne. Qui le regardait avec les yeux pleins d'envie.

Le corps de France retomba sur le lit , URSS lui écarta les jambes et ne sentit aucune résistance de ce côté-là . Il la pénétra de tout son membre . Il la sentit se crisper durant une minute puis se détendre tout aussi rapidement .





Une nuit à Paris (Countryhumans)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant