Une nuit à Paris (Countryhumans)

Extase

La fusion de leurs deux corps, collés l'un contre l'autre,  procurait un immense plaisir.            France aimait sentir le torse chaud de son amant contre elle, cela lui permettait de pouvoir entendre son coeur qui palpitait à chaque mouvement de bassin. Elle pouvait sentir en elle, l'épaisseur de son membre la pénétré tout d'abord doucement, puis accéléré avant de ralentir de nouveau.

Ce fut à cet instant qu'elle commença à réellement se détendre, à le laisser jouer avec son corps. A chacune de ses plaintes, il s'exécutait pour lui procurer de plus en plus de plaisir, en mordillant ses tétons, en l'embrassant ardemment et avec passion, leur langue se mélangèrent. A chaque baisers, France se sentait de plus en plus partir dans le plaisir, non, dans l'extase.

Ce moment d'intimité, entre ces deux grandes puissances leur permettaient de tout oublier de ce qu'ils étaient, de ce qui les stressaient, de toutes ces tensions d'après guerre qui ne demandait car être relâché d'une manière ou d'une autre. Par cette jouissance qui permet pendant un bref moment une sorte de renaissance de ce qu'ils sont.

France ne sentait et ne pensait plus qu'a URSS, à son si dur pénis, qui la déchirait intérieurement et qui lui provoquer tant de plaisir, tant de satisfaction, qu'elle se sentait complète. Accompagnant, son partenaire en enlaçant ses jambes contre son torse, s'accrochant à lui, à tout ce qui représentait à cet instant. A chacun de ses violent coup de reins elle poussait des petits cris de plaisirs, l'encourageant ainsi de continuer dans cette violence, la puissance du mouvement qui chamboulait tout son être. Elle fit des mouvement répétitif de son bassin, pour accentué les sensations de plaisir intense qu'il lui infligée. Au bout de plusieurs minutes, elle ressentit une sensation familière dans son bas-ventre, au moment où elle s'approchait de son orgasme, elle sentit son corps se contracté autour du pénis d'URSS .

-Ah , oui ... URSS !

France jouit et sentit grogner URSS contre son oreille , il mordit le cou de sa partenaire, retirant son pénis du vagin de son amante.

Elle fut reprise d'envie, sitôt qu'il s'était retiré. Et le désir qu'il soit encore une fois en elle ce faisait encore plus pressant, elle souhaitait profondément qu'il la détruise de nouveau dans ce plaisir intense.

Changeant de position , URSS s'assit sur le lit et regarda dans la direction de France  qui se trouvait à sa droite, elle était allongé sur le ventre, son regard pleins de luxure et d'envie. Ce qui le fit sourire, il caressa alors, le dos de la femme tel un chat elle poussa des petits soupirs.

Il la souleva et la posa devant lui. A présent sur les genoux d'URSS, France souriait, avant de l'embrassa sur la bouche. Il dévora ce baise , enfonçant sa langue dans la bouche de sa partenaire. France se collait à lui, leurs deux sexes plaquer l'un contre l'autre. Ne pouvant plus se contenir plus longtemps URSS s'enfonça de nouveau en elle. Ce qui la fit pousser un petit cri de surprise rapidement remplacé par une vague de plaisir qui l'envahissait, submergeant sa conscience.

URSS avait du mal à se contenir face aux cris de plaisirs de sa compagne, il avait follement envie de la marquer de partout, de la mordre jusqu'au sang , de boire celui-ci. Une envie de céder à la bête au fond de lui, de dominer entièrement France, pour qu'elle ne puisse penser à rien d'autre que lui et devenir le maitre d'une personne si rebelle, si têtue, si fière, si forte cela l'alléchait. Mais il savait qu'il devait procéder par étapes pour arriver à se résultat .

Le baiser fut interrompu par France, qui prenant un peu plus de courage, poussa URSS sur son dos, cela surpris ce derniers. Tandis qu'elle s'empalait de nouveau sur le sexe de ce dernier, en allant à son rythme. Un rythme qu'il ne trouvait pas assez rapide à son goût, il mit alors ses mains sur les cuisses de France et commença a accélérait la cadence. Ce qui ne déplut pas à la jolie dame, dont la poitrine rebondissait à chaque mouvement de bassin. URSS pris et malaxa le sein droit de France, et il en mordis le téton du sein gauche, il sentait que France se rapprochait de son orgasme. Au moment où elle allait gémir de plaisir il l'embrassa, et il jouit peu de temps après elle, sa semence se diffusant en elle.

Les deux amants étaient essoufflé sur le lit, URSS retira son sexe de France, elle reposait toujours contre son torse musclé.

-Alors, est ce que cela fait longtemps que tu avait envie de faire l'amour avec moi ? Demanda France, en caressant le torse d'URSS

-Oui , je pense que c'est depuis le traité franco-soviétique d'assistance mutuelle de 1935. Quand nos deux pays ont signé, j'avais je l'admet une très forte envie de t'arrachait ton petit tailleur et de te faire l'amour violemment sur la table, et le fait que tu sois mariée à l'époque ne me dérangeait pas beaucoup, je voyais comment cet anglais ne te traité pas à ta juste valeur et je pense que je l'aurais fait si on s'était trouvé seul à seul.

- Oui, j'étais marié dans un mariage qui était à bout de souffle, après tant de malheur et de mensonges, mais je ne le suis plus maintenant, j'ai profiter de la guerre pour lui faire accepter notre séparation. Et si tu avais tenté à l'époque de me faire l'amour si violemment, je t'aurais sans doute donné plusieurs baffes et un coup dans les coucougnettes. Tu ne me faisais pas peur à l'époque et tu ne me fais toujours pas peur maintenant.

- Tu es sur que tu n'as pas peur de l'ogre russe. Lui murmura t-il en souriant, avant de baiser son cou.

France sourit et rit. Mettant sa main devant sa bouche pour tentait de cacher son sourire. Elle avait désiré URSS depuis combien de temps, elle l'ignorait, peut être que leur relation ne durerai qu'un soir ou peu de temps. Cela n'avait pas  d'importance pour l'instant. Non. Il fallait qu'elle profite de l'instant présent. Son cauchemar arrivé à sa fin. Sur ses mots là, elle s'endormit contre son amant. Qui le remarquant, les plaça tout deux sous l'épaisse couverture.