Une nuit à Paris (Countryhumans)

Chapitre d'idées

Hi! Bienvenue dans ce chapitre, qui regroupe les idées du précédant et de toute les possibilités qui ont été créer ou imaginer mais qui ne sont pas rester pour la version finale.  Dont les illustrations.  

Commençons donc ce petit parcours par le point de vue narratif.

Dans un premier temps, j'avais envisagée de faire plusieurs points de vue. Un avec Royaume-Uni mais un aussi avec America présent ou passé. Avec un retour sur leurs désaccord, la relation tendue entre eux. 

J'avais aussi envisagée de faire une narration par le biais d'image, toujours du point de vue de Royaume-Uni et qui ferait un crescendo dans la folie, image après image. En m'inspirant, de plusieurs tableaux, tel que le Cri de Munch avec America comme personnage hurlant, en arrière plan un décors rappelant son enfance tel qu'une ferme ou un champs de coton, qui se mêle à son hurlement. Un autre tableau, qui m'inspira était les Joueurs de Skat d'Otto Dix, pour celui-ci j'ai réalisée plusieurs croquis et ébauches, je vous en met une en dessous.

  ( Mise à jour, l'illustration a été supprimé par Wattpad due à un bout de téton, bref voici enfin le lien twitter pour les illustrations non wattpad friendly : https://x.com/AlienorStyx1/status/1825267771325735241 

mon compte twitter @AlienorStyx1 )

Représentant trois enfants de France, de la façon dont Royaume-Uni se les représenteraient dans sa folie. (C'est une des illustrations les moins brouillonnes sur celles de cette catégorie). Les deux femmes sont Nouvelle-France et Guenièvre. 

Voici les notes que j'ai écrit sur un des croquis représentant cette scène (avec quelques modifications et rajouts pour plus de cohérence) :

" Son jugement aurait du avoir lieu, le jour où il a commis ses péchés, dans le seul but d'avoir l'amour d'une femme. Il s'allia avec les pires/ détestables énergumènes de celle pourtant qu'il chérissait plus que tout. Ne se  souciant pas de la douleur qu'il lui causerait. Arrachant, cruellement ce qui lui était de plus chère au monde. Il l'a brisa.

Assis à une table, les trois juges attendent sa réaction. Celle se trouvant à droite, Guenièvre, tenait fermement contre son cou une carte de Joker, représentait dessus son fils unique, qui se transforma en bourreau tel son défunt père. Lorsque son regard se  posa sur l'accusé, elle murmura à son encontre "Pourquoi?".

L'homme ne répondit pas.

L'autre femme, tourna ses yeux aveugles vers le pays et demanda à son tour, "Pourquoi?"

Il ne répondit toujours pas.

Ce fut alors le tour, de l'homme masqué. Il déclara à l'encontre de l'accusé:

- Souviens-toi de tes péchés et repens-toi ! Le jour, où ta bien-aimée apprendra l'immensité de tes crimes, son amour pour toi deviendra de la haine!"

Une autre idée dans l'obsession de Royaume-Uni pour celle qui aime, c'était de réaliser des portraits de France de différents styles, allant du Rococo au cubisme. Un point important, était  que dans chacun des portraits, France ne devait jamais regarder dans la direction où se trouvait Royaume-Uni. 

Exemple:

L'ancien pays parcourait le musée à la recherche d'un simple tableau, qui passerait inaperçu face à l'immensité du radeau de la méduse. A bout de bras, il poussa tout ces bourgeois qui s'agglutinaient en masse devant le l'œuvre de Géricault. Qui le repoussèrent avec entrain, l'emmenant avec force à l'avant, il heurta ainsi par mégarde un banc en velours, une grosse femme en rose, et évita de justesse un soufflet. A quatre pattes, Royaume-Uni parvenu enfin devant le tableau dont il espérant tant voir. Un portrait de sa bien aimée, de sa douce France, qui posait nue sur un lit telle une odalisque. Il ne pouvait pas se détaché de la finesse de ses courbes, et de ses beaux yeux gris qui regardait une action se passer dans le décors derrière elle. Il aurait voulu l'arraché de ce tableau, pour la prendre dans ses bras.