Une nuit à Paris (Countryhumans)

visite à Moscou partie 1

Important :

Je n'aurais pas de wifi pendant quelques temps du à mon déménagement dans un appartement pour mes études universitaires , donc pas de nouveau chapitre pour tous mes livres, je vous laisse avec ce chapitre qui aurait du être plus long.

Bonne rentrée à vous toutes et tous.

Cela faisait trois ans que Russia était née et qu'URSS vivait avec France dans leur maison en Auvergne, il s'absentait de temps en temps pour régler des affaires dans son pays natal . Durant un de ces allers-retours , son dirigeant Joseph Staline lui demanda de voir sa compagne et sa fille. Le dictateur était curieux sur la femme qu'avait choisie son pays . La relation entre URSS et France n'était pas connu du grand public ni des humains . Seul quelques-uns étaient au courant dont ceux qui vivaient à proximité de France. Les dirigeants des pays ignoraient souvent les relations que pouvaient avoir ces êtres entre eux, s'il existait des relations sur le long terme ou si l'amour existé réellement. Tout cela n'était que très peu étudié et il était difficile de pouvoir mené ce genre de recherches. Certains hommes réussirent à prouver qu'il existait différentes races de ces êtres ce qui expliquait certaines différences physiques, dont des pays possédant des ailes telles que le pays de Galles.

De minimes différences pouvaient influer sur leur manière d'agir, mais aussi certains se rapprochaient bien plus des êtres humains dans la manière de ressentir et d'exprimé leurs sentiments . Après la Seconde Guerre mondiale, de nouveaux pays et organisations avait était crée ,ils n'étaient pas pareils que ceux qui les précédaient . Leur peau avait un côté scintillant ou métallique, ils étaient dépourvus de chaleur . C'était une sorte de nouvelle espèce humanoïde, personne ne savait s'ils étaient capables de se reproduire et de quelle manière. Un autre point majeur qui les concerne était cette innocence qu'ils avaient, une sorte de pureté. De nouvelles études devaient être menées . Une nouvelle ère avait commencé.

Après une longue dispute entre France et URSS, il dut céder pour prendre la petite chatte blanche, aux yeux violets de France .Qui s'appelait Saphir . URSS n'avait jamais compris pourquoi elle l'avait appelée ainsi car rien sur ce chat ne lui faisait penser à cette pierre précieuse. L'autre chose étrange avec ce chat, en plus de son prénom, c'était le collier qu'elle portait . Un joli camé qui selon lui cachait autre chose, il semblait bien trop lourd pour n'être là que par hasard .URSS avait bien tenté à de nombreuses reprises d'enlever ce collier mais la maline petite chatte lui avait toujours échappé. Quand, elle ne se faufilait pas derrière France. Il avait demandé un nombre incalculable de fois à France pourquoi tenait-elle tant à ce chat . Et elle ne lui avait jamais répondu, elle préférait s'enfermer dans sa chambre . Jusqu'à ce qu'il abandonne dû aux cris de Russie qui réclamait l'attention de sa mère. Et chaque fois qu'elle sortait de sa chambre, elle avait l'air extrêmement bouleversé. Des traces de larmes séchées sur ses jolies joues. URSS avait abandonné la partie pour l'instant .

Le voyage en URSS allait se faire en avion , Russia était excitée en entrant dans l'oiseau de métal, elle gigotait dans tous les sens. Alors que sa mère la regardait d'un air inquiet, vérifiant que l'avion n'avait pas de problème flagrant . URSS s'amusa de la voir si inquiète alors que tout était parfaitement sécurisé , il s'en était assuré personnellement.
L'avion décolla dans les cieux. France serrait l'embout de sa repose main . Pour la rassurer URSS posa sa main sur la sienne. Au contact de sa peau, il la sentit se détendre . Pendant ce temps Russia regardait par le hublot, émerveillé. Elle cria :
« Maman ! Papa ! Plus tard , je veux conduire un avion ! »

URSS sourit et rit, puis donna son accord à Russia . La petite fille lui aurait sauté au cou si elle n'avait pas était maintenu par sa ceinture de sécurité. Elle se tourna vers sa mère qui était pâle. Et lui demanda, pleine d'inquiétude si elle allait bien . France lui répondit que oui, que c'était parce qu'elle n'aimait pas prendre l'avion et que Russia ne devait pas s'inquiéter pour elle. France lui caressa ses longues mèches blanches. La petite fille sourit et reposa sa tête contre l'épaule de sa mère.
Quand, ils arrivèrent à Moscou, la nuit venait de tombée . Les attendant dans la neige, Staline et son escorte composées de ses gardes du corps , de ses plus importants officiers... URSS descendit le premier portant dans ses bras la petite fille et une de leurs valises . Suivit de près de France, ses longs cheveux blancs étaient légèrement bouclés.

Arrivant à la hauteur de Staline, il le salua . Le dirigeant soviétique regardait la petite fille qui dormait profondément contre la poitrine de son père, cela le fit sourire, il repensa à sa propre fille qui s'était plusieurs fois endormis contre lui. Détachant son regard de l'enfant, il le porta sur la femme qui venait de se rapprocher . Staline ne put cacher sa surprise . Il ne s'était pas attendu que ce fut France, la femme en question. Il l'avait rencontré à plusieurs reprises lors de réunions importantes, mais jamais il ne s'était douté que son pays avait été intéressé par elle. C'était une femme et un pays étrange, il se souvenait dans sa jeunesse des missions pour mettre la révolution et le communisme dans les autres pays d'Europe, des disputes qu'avait eues Lénine envers un des dirigeants de la Section française de l'Internationale communiste. Qui disait tout le temps que la France n'était pas prête pour une nouvelle Révolution, que le peuple ne suivrait pas.

Le petit groupe se déplaça jusqu'à la voiture de Staline, après avoir prit place dans le silence le plus complet. La voiture démarra, prenant le chemin pour la résidence de Staline.
Arrivé sur place et après avoir déposé leurs bagages . France libéra sa chatte Saphir, qui se promena dans l'appartement . URSS posa sa fille sur son lit, lui enleva ses chaussures et la recouvra de l'épaisse couette. Tandis que France alla se nettoyer pour se préparer pour le dîner .
Staline les attendait à table, il avait pris place sur le bout-de-table de droite.