Lait maternelle

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ATTENTION SEXE FIN CHAPITRE


Cela faisait à présent trois mois que Russia était née, elle dormait profondément dans son petit berceau et semblait avoir hérité de toute la force de ses parents. Elle pleurait souvent pour réclamer l'attention de ses parents ou de Grèce, qui avait décidé de rester à la maison pour aider sa soeur avec le nourrisson.

Pendant ces trois mois quasiment tous les pays du monde étaient venus à la maison de France pour venir voir le nourrisson, les réactions furent très différentes. Certains étaient heureux pour France, et regardaient avec curiosité et amusement Russia, c'était le cas pour UK, Canada, Nouvelle-Zélande, Antarctica, Belgique, Écosse, Roumanie... Tandis que d'autres ne savait pas quoi dire face à cette naissance mais était venu par pure curiosité, tel que Mexico.

Le seul qui n'était pas venu voir Russia, c'était America . Ce n'était pas la curiosité qui lui manquer mais plutôt le courage de supporter le regard de France et du reste de sa famille, qui jugerait la moindre de ses remarques ou gestes, et il ne le supporterait pas. De plus son ennemi était présent, prêt à le provoquer à la moindre occasion.

 Le calme qui régnait en maitre dans la vieille maison, alors que Russia dormait profondément dans son petit berceau en osier . Deux personnes qui s'étant abstenu de plaisir mutuel pendant ces trois mois pour s'occuper du bébé, craquaient et sans faire un bruit ils s'embrassèrent .Rompant le baiser, les soupirs remplissaient alors la chambre montrant cette envie tant refoulée . Pour faire plaisir à sa compagne, URSS se mit à caresser doucement le corps de celle-ci, couvrant son corps de baiser.Si rapide mais à chaque contacte avec sa peau France sentait s'irradier de chaleur, et le plaisir monte entre eux. Le contacte de sa bouche contre son sein droit, remplit de son lait maternel . URSS en mordilla le téton et fut surprise de sentir ce goût de lait sucré dans sa bouche . Il releva sa tête surprise, et regarda France qui était pliée de rire et avait sa main dans les cheveux de son amant. Il sourit et murmura au creux de son oreille, ce qui la fit rire encore plus. À ce rire, s'ajoutèrent assez vite les pleurs de Russia qui venait de se réveiller. Sa mère se levant pour la prendre dans les bras et la berçait tranquillement en chantonnant une berceuse:

À la claire fontaine
M'en allant promener
J'ai trouvé l'eau si belle
Que je m'y suis baignée

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai

Sous les feuilles d'un chêne
Je me suis fait sécher
Sur la plus haute branche
Un rossignol chantait

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai

Chante, rossignol, chante
Toi qui as le cœur gai
Tu as le cœur à rire
Moi, je l'ai à pleurer

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai

J'ai perdu mon ami
Sans l'avoir mérité
Pour un bouton de rose
Que j'ai trop tôt donné...

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai

Je voudrais que la rose
Fût encore au rosier
Et que mon ami Pierre
Fût encore à m'aimer

Il y a longtemps que je t'aime jamais je ne t'oublierai

Sur le lit, URSS attendait, son désir n'étant pas redescendu . Il observait le moindre geste que faisait France, le moindre mouvement de sa poitrine dénudé, alors qu'elle berçait leur fille. À la fin de la chanson, Russia s'était calmée et rendormi dans les bras de sa mère .La reposant délicatement dans son petit berceau, France déposa un doux baiser sur le front de sa petite fille . Et rejoignit URSS sur leur lit. Murmura à l'oreille de celui-ci tout en touchant son dur sexe en érection .Qu'elle caressa à travers le vêtement, et d'une main sur elle enleva cette barrière de tissus. Attrapa le pénis d'URSS, et se mit à l'empoigner avec plus de force, accompagné par des mouvements rapides de sa main. Collant son corps contre son compagnon, elle se mit à baiser son cou, appréciant chaque gémissement de plaisirs qui sortait de la bouche de son amant. Proche de la jouissance, URSS ne fit guère attention aux baisers de plus en plus nombreux sur son cou et son épaule. Mais il gémissait de plaisir au moment où il sentit les crocs de France se plantait dans son épaule . Il jouit . Enlevant sa main, France détacha son regard de la morsure qu'elle venait de lui faire, et le regarda avec amusement.

Avec effroi, URSS regardait France, qui se trouvait au-dessus de lui . Ses yeux brillant comme deux diamants, alors qu'elle se léchait les lèvres entrouvrant légèrement sa bouche, mais ce qui le surpris le plus c'était les crocs d'un blanc immaculé et dont seul le rouge vermeil faisait tache .Il aurait tant voulu lui poser des questions mais aucun son ne sortit de sa bouche, il ne parvenait pas à articulait un seul mot. Complètement hypnotisé par ses yeux, il ne prêtait attention à rien d'autre, ses paupières se fermèrent, la fatigue et le sommeil l'enveloppant dans leur voile. Quittant cette scène de cauchemar, qui ne pouvait pas être réel.

Est ce réellement un cauchemar?


Une nuit à Paris (Countryhumans)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant