Nous avons perdu pour l'histoire

Le début d'un rêve

Mozart

Aujourd'hui, trois hommes vont venir me voir
pour soit disant , juger mon travail et rapporter des nouvelles à l'empereur. Soit, qu'ils fassent ce qu'ils ont à faire, je connais mes valeurs et je sais de quoi je suis capable, je n'ai pas à avoir peur. Je suis même curieux, je me demande à quoi ils ressemble, surtout ce certain Salieri. Il est maître de chapelle de la cours de l'empereur, ce doit être « un musicien haut placé » ! Hahaha ! Je me demande s'il est comme les autres personnes de la noblesse, prendre les gens de leurs chaussures hautes.
Ce n'est pas tout mais je dois leurs présenter aujourd'hui l'Aria numéro 10. Tout les musiciens sont prêt, de même pour mademoiselle Cavalieri, cette femme dotée d'une magnifique voix.
Je vérifie si les instruments sont bien accordés, si les musiciens sont à la bonne place, si l'on voit tout le monde pour que le volume et l'esthétique soient tout deux présents.
Je n'arrivais pas à le croire, j'ai été choisis par l'empereur d'Autriche, j'espère que ma personnalité et surtout ma musique lui plaira, ainsi qu'aux visiteurs qui ne vont pas tarder. Je me met debout pour commencer à les faire répéter puis .... comme de par hasard, Constance fit son apparition. Cette femme de toute beauté me faisait à chaque fois chavirer mon cœur. Je m'éloigne de l'orchestre pour aller l'enlacer puis je tente de l'embrasser. Mais elle s'échappe, en rigolant avec son sourire narquois. Voulant à tout pris l'embrasser je me mis à courir après elle, oubliant le temps qui passe et l'orchestre.