Salieri
Je suis seul, assis sur un siège, dans une salle d'opéra. Il n'y avait absolument personne et mes yeux étaient rivés sur la scène.
J'étais assez perplexe et je n'arrivais pas à bouger alors que je n'étais pas bloqué ou attaché. Face à moi se présentait un orchestre avec face à lui un chef d'orchestre de dos. La musique faisait une terrible cacophonie dans mes oreilles. C'était fort, strident, ... je détestais cela. Le chef d'orchestre se retourne avec un tel sourire. C'était Mozart :« Voyez-en donc mes amis, la musique de monsieur Antonio Salieri est horrible, une honte ... »
Il avait des yeux malicieux et un sourire narquois:
« Et dire que je l'appelle Maestro... »
Il se mettait à rire. Son rire faisait un écho et s'accompagnait d'une magnifique mélodie. Ma tête tournait et je suis tombé avant de simplement voir du noir.
Peu de temps après, la lumière s'est éclaircie...Ma vue devenait de plus en plus nette... Cependant, une terrible vision était en face de moi. Mozart était au dessus de moi. Mon souffle s'accélérait et je commençait à analyser à situation: j'étais allongé sur un lit, mes mains étaient attachées et j'étais complètement nu.
Je ne pouvais pas dire un mot...« Oh Maestro... je vais vous purifier... laissez donc l'aimé de Dieu transmettre sa passion symphonique... »
Ses lèvres caressaient les miennes, sa langue pénétrait dans ma bouche et sa main se baladait sur l'intégralité de mon corps...
J'étais terrorisé, j'ai pris une très grande inspiration et :« AAAAAH !! »
J'étais dans mon lit, seul, dans le noir avec une petite lueur traversant les rideaux. C'était un rêve, une fois de plus. J'inspirais et expirais... puis, je me suis levé pour ouvrir les rideaux. Il était 8h. Depuis un moment, mes domestiques se chargent que du repas et du ménage. A vrai dire, ils ont compris que mes nuits étaient imprécises et donc ne viennent plus ouvrir les rideaux.
Je me suis assis un moment, pensant un jour de plus à Mozart que je n'ai pas vu depuis trois mois. Il s'est apparement marié... et mes sentiments envers lui s'amplifient de plus en plus... J'ai pris la clochette qui était sur ma table de chevet et me suis mis à la sonner.
Un de mes domestiques vint et m'aidait pour ma toilette. Il m'a maquillé puis me dit:« Êtes vous certains de ne pas vouloir mettre de perruques, cela vous rendra splendide ! »
Je soupirais, exaspéré:
« Pour la énième fois, je n'en porterai pas. Je ne veux pas suivre la tendance, cela manque d'originalité et est un poids de plus à porter. »
« Oh oui je suis désolé maître... je n'en parlerais plus ... »
Quel idiot... s'il était né riche, il serait comme tout les nobles de la cours que je côtoie, narcissiques et fermés d'esprits. C'est d'un ennuie total.
Après cela, il me lima les ongles et m'habilla. Comme toujours, de la tête aux pieds, ma tenue était sombre.
Plus tard, après le petit déjeuné, je suis partie rejoindre la cours plus tôt, ce qui n'est pas dans mes habitudes.
A cette heure là, seul Rosenberg serait présent. Je me suis dit que de le regarder sans qu'il le sache serait amusant. Je m'avançais discrètement dans le couloir avant d'apercevoir une porte entre ouverte. J'y entre et vois l'attendant parler seul, il s'imaginait un publique ? Je reste stable en l'écoutant :
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Nous avons perdu pour l'histoire
FanficMozart désir faire plus que des requêtes, c'est pour cela qu'il decide d'aller à Vienne montrer son talent devant l'empereur Joseph II. Cependant, un très grand compositeur, Antonio Salieri est atteint une jalousie maladive envers celui-ci. Que va-t...