Assis, là, par terre, seul, devant cette grande étendu d'eau sombre, je pense à toi. Je laisse mes pensées défilés et vagabonder jusqu'à ta personne. A l'endroit où tu es, à ce que tu peux ressentir, à cette solitude que toi aussi tu dois subir.
Être là bas, enfermé entre quatre murs, isolé du reste du monde.
Je ne peux imaginer l'état d'esprit dans lequel tu es tout comme tu ne peux imaginer le mien bien que nous pouvons nous comprendre un temps soit peu.
Cela ne fait pourtant pas longtemps que nous avons été séparés mais j'ai l'impression que cela fait une éternité. Tu me manques horriblement, atrocement, je n'ai jamais ressenti un tel manque et si cela n'avait pas été toi je ne t'aurais pas attendu, je n'aurai même pas eu l'idée de t'attendre.
Dans mon bonheur et mon malheur je me suis attaché à toi, plus que de raison et aujourd'hui cela m'aide à avancer autant que cela me fait souffrir.
J'aurai pu te voir une dernière fois avant que tu ne partes, j'aurai pu te dire un dernier au revoir avant que nous soyons séparés seulement pardonne moi, je n'en ai pas eu la force. Je n'ai pas été capable d'aller la bas, d'aller les voir te prendre à moi.
Tu me disais que j'étais fort mais... la preuve que non... Je n'ai pas été capable de te voir une dernière fois sans avoir peur de craqué et de m'effondrer en larmes en te regardant partir loin de mes bras.
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Histoire en vrac
RandomHistoire, coup de gueule, poste en tout genre #6coupdegueule #27toutgenre #22vérités