Histoire en vrac

Partie 11: Moyen-âge, torture

Les cloches sonnaient inlassablement depuis maintenant dix minutes. Les villageois commencèrent à s'inquiéter, que faisait le frère Martin ?Pourquoi n'arrêtait il pas de sonner les cloches ?

La messe de minuit aurai déjà du commencer depuis un moment et ce n'était pas dans les habitude du frère d'être en retard et de faire patienter ses fidèles, alors que ce passait il ?

Ce ne fut qu'au bout de trente minutes qu'une jeune femme finit par aller voir se qui se passer. Elle resta figée devant l'horreur de la scène qui se déroulait devant ses yeux.

Un cri d'effrois et d'horreur sortie du fin fond de sa gorge. Plusieurs autres fidèles arrivèrent rapidement au coté de la jeune femme qui pleurer devant le corps du frère de la petite abbaye de ce village perdus en pleine campagne.

Le frère Martin était suspendus à la corde qui permettait de sonner les cloches par l'une de ses chevilles.

L'on pouvait voir qu'il avait été longuement torturé. Son visage et ses yeux reflétaient la douleur et la terreur, les os de ses épaules étaient disloqués laissant ses bras pendre vers le sol. Son bras droit était tailladé et couvert de coups de couteau plus ou moins profonde, une inscription y était visible mais impossible à décrypter.

Les ongles de ses mains avaient été arrachés soit totalement sois partiellement. Ses côtes avaient été brisées et certaines perforaient la peau pour ressortir à l'air libre.

Le pauvre homme était en très mauvais état, le pire dans tout cela c'est que son bourreau avait fait en sorte de le laisser en vie. Sa respiration était sifflante et le sang coulait le long de ses membres, gouttait de son menton et de son nez pour venir rejoindre une flaque de sang qui se trouvait sous la tête du pauvre homme.

Les secondes passaient et le souffle du frère devenait de plus en plus lente et inexistante, il ne fallut pas longtemps avant qu'il ne finisse par rendre l'âme avant d'avoir dit dans un dernier souffle qu'il ne dirait rien.

Les fidèles regardèrent cette scène, digne des pires démons de l'enfer, horrifiés. Qui pouvait bien avoir torturé à mort un homme de dieu ? Tout le monde connaissait tout le monde dans ce village et personne ne pouvait imaginer que son voisin pouvait être l'auteur d'un crime aussi perfide, odieux et sanglant...