Chapitre ~ 2

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PDV Meliodas:

Un fort coup, qui me fait revoler sur le sol, viens se placer sur ma joue. Le regard haineux je lève les yeux vers mes sois-disant parents. Ceux-ci me regarde comme s'ils regardaient un animal, peut-être en regardent-ils vraiment un.

-ESPECE DE MOINS QUE RIEN! REGARDE CE QUE TU AS FAIS! Cris mon "père" en pointant ma petite sœur du doigt.

Elle pleurait, dans les bras de ma "mère". Je me mordis la lèvre. Je n'ai rien fais...

-C'est elle qui a commen-

Un autre coup, celui ci bien plus fort, viens  se placer dans mon ventre. Ses coups de pied me rende fou, je dois partir. Je tente de me lever mais il me prend fortement Le Bras et me ramène à lui.

-OÙ PENSES-TU ALLER COMME ÇA?! Cracha t'il en serrant mon bras.

-Tch.

Je ne répondis pas. Sa frustration est mon bonheur. Après un moment, je sens sa poigne s'affaiblir et c'est le moment. Je me défais de son emprise et m'empare rapidement de mon sac avant de fuir de la maison à la course. Je me retournai une dernière fois.

-QU'EST-CE QUE VOUS EN AVEZ À  FOUTRE DE MOI! Criais-je à plein poumons. SI JE DEVAIS MOURIR TOUT LE MONDE EN AURAIT RIEN À FOUTRE!

Puis je continuai ma course dans la noirceur de la nuit. Même quelque maison plus loin j'entends encore ses cris m'ordonnant de revenir. Je tente malgré tout de les ignoré.

Soudain mes poumons cessèrent d'écouter et ma respiration s'affaiblit. Je tombai sur le trottoir sous la lumière d'un lampadaire. Agrippant fortement mon chandail au niveau du coeur. Mon cœur bat à une vitesse phénoménale, j'ai l'impression qu'il pourrait sortir de ma poitrine. De la sueur perle mon front tandis que je tente de me relevé.

-Merde...pas...maintenant!

La crise se calma et je réussi à reprendre mon souffle et continuer ma marche vers le parc où j'aime aller me réfugier lorsque je fuis de la maison.

Quand cela va t'il cesser.

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PDV Elizabeth:

Je suis rester trop longtemps au toilette, je dois rentrer à la maison. Je dois prendre sur moi! Alors que je traînais des pieds, je vis une silhouette dans un parc de l'autre côté de la rue.

Je m'arrêtai et fixa la silhouette qui m'étais familière. Soudain son regard se tourna vers moi et je sentis l'horreur reprendre le contrôle de mes membres. Les grelottements qui avaient enfin cesser reprirent de plus belle et mes yeux s'agrandirent de terreur. 

C'est lui.

À peine eu t'il le temp de faire un pas vers moi que je m'échappais déjà.

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Quelque minutes plus tard, j'arrive en sueur à la maison. Je monte les escaliers deux par deux et m'enferme dans ma chambre. Je me blottis dans mes couvertures, puis, quelque minutes après, mes tremblement se font moins prononcé.

Soulager, j'ai enfin la force de descendre voir maman qui faisait à manger.

-Bonjour maman...

-Elizabeth, assis toi, je viens de finir le souper, dit-elle heureuse de me voir.

J'essaie d'oublier tout mes problèmes et mes pensées obscure pour ce petit geste qui me prend toute la force du monde. Un sourire. Un sourire qui semble si peu sincère et qui pourtant ne semble pas lui déranger. Non, c'est pas assez! Je force mon courage et démontre une autre moi...une Moi si fausse.

Alors que maman pose la nourriture sur la table, je n'ai qu'une envie, sauter sur mon plat. Mon ventre gargouille depuis si longtemps que j'en ai affreusement mal. Mais je ne peux pas le dire à maman sinon elle me demanderait pourquoi j'ai aussi faim. Je ne dois pas lui dire qu'ils me volent mon repas...Je m'assois à la table et salive.

-Ça à l'air trop bon! Dit-je enjoué.

-Merci, chérie, papa devrait bientôt arrivé!

J'hoche la tête puis embarque dans le sujet risqué.

-Maman, j'aurais encore besoin d'un nouveau sac, dit-je la tête cacher dans mon assiette.

-Encore?? Dit donc, que fais-tu avec tes sac Elizabeth? Demanda t'elle en ricanant. J'irai t'en acheter un autre ce soir, tu veux venir avec moi?

Non.

-D'accord!

-Parfait, tu pourras choisir celui qui te plaît ainsi, répond maman visiblement heureuse. On ira après le souper, j'espère que ce sera encore ouvert.

On continua le souper dans la même ambiance. Papa arriva alors qu'on se préparait à partir au magasin. Il me prit dans ses bras et me leva dans les airs, sourire au lèvre.

-Ma chère Elizabeth! Tu as encore briser ton sac? Demanda t'il.

J'hoche la tête honteuse. Désolé papa, maman, ce n'est pas moi mais...je ne peux pas vous le dire, je veux veux pas vous inquiéter. Il me reposa par terre puis fixa mes vêtements.

-Tes vêtements sont tous sale, tu es tombé? Demanda papa en haussant un sourcil.

-O...Oui! J'ai trébucher en revenant de l'école, répondis-je le plus naturellement possible.

-Fais attention la prochaine fois, m'avertit-il en me caressant les cheveux.

Suite à ça, maman m'acheta un nouveau sac à dos, j'en pris un résistant espérant qu'il dure assez longtemps cette fois ci. Rendu à la maison, je montai dans ma chambre et fixai le plafond.

L'esprit vide, je ne pensais à rien. Il n'y a que la douleur et la peur. Oui, la peur de demain. J'en suis venu à ne plus dormir la nuit pour que demain arrive dans plus longtemps, c'est insensé! Mais tout de même...la peur m'est incontrôlable...

Les larmes coulèrent de mes joues jusqu'à ce que je m'endorme dans mes sanglots.

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C'est vendredi. Bientôt la fin de semaine. Allez Elizabeth, tu peux le faire. Munis de mon nouveau sac à dos, vide, je débarque de la voiture de maman. Elle me souhaite bonne journée, d'un sourire étincelant. Si seulement je pouvais faire ce genre de sourire moi aussi.

Puis je m'assure qu'elle soit assez loin avant de m'embarquer sur le chemin vers la porte. L'un des moments que j'aime le moins de ma journée.

J'essaie de ne pas attirer l'attention mais malgré tout, les gens me voit tout de même. J'ai l'impression que tout le monde attend mon arriver et reste là, tout les matins, juste pour m'humilier.

Leur rires, je les entends déjà, leurs moqueries suivirent ensuite. Comme tout les matins je tiens les sangles de mon nouveau sac encore plus fort. Soudain je lève les yeux pour faire face à celui qui me hante mais...je ne le vis pas.

-...?

Il n'a jamais manquer une occasion de me rabaisser et ce matin il n'est pas là? Il n'y avait que des deux amis qui semblait aussi perdu que moi. Nous avions la même question: Où-est-il?

Une pensée me traversa l'esprit, vais-je avoir une journée tranquille? Enfin! Est-ce la fin de mes tourment? Je prie, alors que je passai à côté des deux cabots qui continuait de fixer l'entrée du portail en espérant voir apparaître leur amis. Puis, un faible sourire apparut sur mon visage alors que je pose un pied dans l'école.

Malgré les quelques moqueries et rires de ce matin, je ne me suis pas faites harceler comme d'habitude!

Est-ce un sentiment d'espoir que je ressens?

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Coucou 👋🏻

Un nouveau chapitre juste pour vous mes cher lecteur! J'espère qu'il vous a plu. Il y a beaucoup de chose importante dans ce chapitre, des choses importante pour les futures de la fic et sa fin.

Bye-bye 🙌🏻

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