PDV Extérieur:
Devant cet échec, Elizabeth resta de glace. Elle ne s'attendait absolument pas à ce qu'il les refusent, qui refuse des macarons? Elle crut pouvoir l'interpeller à nouveau et le résonner, mais Elizabeth dû renoncer lorsqu'elle ne trouva pas Meliodas dans les escaliers. Il avait quitté.
Un sentiments de tristesse la secoua et lui fit ouvrir les yeux, cette tentative n'avait pas fonctionner. Il est imbattable, de marbre, il n'avait eu aucun mal à refuser son présent. Se sent-il seulement un peu mal? La réponse était non. Meliodas ne ressentait plus grand chose dans son quotidien, bien sûr, la curiosité qu'il ressentait au près de la blanche était réel.
Face à cet échec, la blanche se remis en questions. Encore dans l'escalier, elle regarda la boîte se questionnant sur la raison du pourquoi il n'avait pas pris la boîte. Avait-elle dit quelque chose de mal? De mémoire, non.
Elizabeth redescendit l'escalier et se dirigea vers la cours d'école pensant pouvoir réfléchir en paix. Elle alla s'assoir sous un arbre et regarda les rayons du soleil qui trouvais leur chemins au travers des nombreuses feuilles du chêne. C'est alors qu'une voix familière la surpris.
-Elizabeth? Qu'est-ce que tu fais seule ici? Demanda t'il.
-Ethan?! Ah...je sais pas trop, répondit-elle en tournant la tête vers lui. Tu veux t'asseoir?
-Avec plaisir, dit Ethan en prenant place à côté d'elle. C'est beau, tu viens souvent t'asseoir ici?
-De temps en temps, lorsque je dois réfléchir ou que je veux être seule, répondit-elle en regardant au loin sans lui lancer un regard.
-Étais-ce un clin d'œil pour me demander de partir? Ricana Ethan en arquant un sourcil.
-Quoi? Non! Désolé...je suis contente que tu sois là, s'écria Elizabeth en battant l'air de ses mains ne sachant pas quoi faire.
Ethan se mis à rire. Elizabeth pensa que son rire était plutôt agréable et amusant à entendre. Elle se mit aussi à penser qu'il avait toute les qualités pour un homme parfait.
-Dans ce cas, si tu es ici, à quoi réfléchissais-tu? Demanda t'il soucieux. Y'a t'il quelque chose que tu voudrais parler?
Elizabeth tourna la tête vers lui, puis détourna le regard rapidement. Il la cerne bien.
-Eh bien...oui.
-Tu veux m'en parler?
-En fait, j'ai un amis...si je peux l'appeler comme ça, à qui j'ai tenter de me rapprocher en lui donnant un cadeau, expliqua t'elle en levant les yeux au ciel. J'était sûr qu'il allait les prendre! Mais il les à refusé...
-Ouch, ça a du faire mal, en plus tu dois avoir mis des efforts à faire ton cadeau, dit-il en perdant son sourire. Par pure curiosité, quel était ton cadeau?
-J'aime cuisiner, donc je lui ai fais des macarons, répondit Elizabeth en baissant les yeux.
-Waw! C'est bien penser! J'arrive pas à croire que la personne ai refuser ça!
-Il savait pas...
-Il? Ah...tu sais, si tu n'as pas réussi une fois, tu peux toujours essayer une deuxième fois? Dit-il doucement. Trouve un moyen de lui donner sans qu'il puisse refuser et puis...
À ce moment, Elizabeth ne l'écouta plus. Ce qu'il venait de dire trottais et trottais dans son esprit. Trouver un moyens de lui donner pour qu'il ne puisse pas refuser! Qu'elle bonne idée! À la suite de ces pensées, elle se mit à s'imaginer plein d'idée.
Lui lancer la boîte et courir, le forcer à prendre son cadeau, du chantage? Aucune de ces idées n'était très bonne, il fallait un plan plus...pacifique. Elle fit fonctionner les mécanismes de son cerveau et se fit rouler les méninges. Puis lui vint une idée, toute simple, mais parfaite.
-...Et aussi...je peux les accepter tes macarons si il ne les veut pas...continua Evan pensant qu'elle l'écoutait.
-ETHAN! J'ai trouver!!!
Il se tourna rapidement vers elle, il ne comprit pas de quoi elle parlait.
-Je sais comment je vais lui donner!
-Ah...c'est une bonne chose! Que vas-tu faire?
-L'obliger à les prendre! C'est évident! S'écria Elizabeth qui venait de reprendre des couleurs.
Ethan haussa un sourcil encore confus, puis sous le choque face au rejet qu'il venait de vivre. Il laissa tomber puis souris.
-Bonne chance, Elizabeth.
-Merci, Ethan! Bye!
Puis elle s'éloigna puisque le midi terminait bientôt. L'après midi se passa rapidement. Puis la dernière cloche sonne. Meliodas, comme prévus, pars rapidement.
Elizabeth attendit que tout le monde parte avant de déposer les macarons sur son bureau. C'était un plan simple, il saurait de qui ils proviennent mais pas les autres. Une fois finis, elle sortit de l'école et retourna chez elle.
Elizabeth avait de l'espoir.
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PDV extérieur:
Meliodas se dirigea vers la bibliothèque, comme à tout les soirs. Il lit jusqu'à ce que la bibliothécaire lui dises de partir, et une fois fait, il rentre chez lui en passant par le parc.
Le soir, en sortant de la bibliothèque, il chercha ses clés mais ne les trouva pas. Il chercha dans son sac encore mais encore introuvable. Il se souvint qu'il les avait oublier dans son bureau. Il monta les escaliers puis se dirigea vers sa classe, une fois arrivé il entra et trouva autre chose que ses clés.
Une petite boîte.
Une petite boîte se trouvait sur mon bureau. C'est la même boite que celle qu'Elisabeth à essayer de lui donner ce midi, elle est insistante...Il se sentit obliger de l'ouvrir. La curiosité pris aussi le dessus. Il ouvrit la petite boîte puis y trouva des macarons.
Il écarquilla des yeux, il n'avait jamais goûter à ces petit gâteau. Il en prit un, celui dont la couleur l'intéressait le plus, puis l'apporta à sa bouche. Quelque seconde passèrent avant qu'il n'avale enfin le dessert. Il se mit à ricaner.
-Il sont même pas si bon que ça...
Mais une larme coulais sur sa joue.
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Coucou 👋🏻
Alors voili-voilà! Vous en pensez quoi de celui de cette semaine? Je le trouve plutôt bon, fait à la dernière minute mais bon.
Ah et! La photo en haut c'est Evan, ou quelque chose de ressemblant 😁 Vous pouvez tout de même l'imaginer comme vous voulez 🤔
À mercredi prochain ❤️
Byebye 🙌🏻
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Heartbeat
FanfictionDes amies, des fou rires, la tranquillité d'esprit, tous des mots qui ne me disent rien. Je suis Elizabeth, j'ai douze ans. L'intimidation...le harcèlement..c'est tout ce que je connais. Qui aurait pus croire que celui qui était la proie de mes malh...