PDV extérieur:
Le bruit de la télé, la lumière de l'écran illuminant la pièce dans la noirceur, une personne endormi. C'est ce qu'il retrouve lorsque les parents d'Elizabeth rentre à la maison au milieu de la nuit.
-Nous a-t'elle attendu d'après toi? Demanda Freyja en s'approchant de sa fille.
-C'est possible, répondit Adam en enlevant son manteau.
La mère se retourne vers lui, elle semble déçu.
-Qu'est-ce qu'il y a cette fois? Demanda t'il en arquant un sourcil.
-On aurait pus faire un effort! C'était son première jour d'école, tu sais à quel point elle avait hâte, dit-elle en baisant la tête. Et nous...au lieu de l'écouter et l'encourager pour la suite...on travail.
-Ce n'est pas ta faute ma chérie, dit Adam en s'approchant d'elle pour la prendre dans ses bras.
-Mais...et si...et si elle voulait nous dire que ça s'était mal passé! Comme...comme à son primaire...
-C'est finis tous ça, elle ne reverra plus jamais ce gamin.
Freyja le repousse et lève la tête vers lui.
-Qu'est-ce que tu en sais?! Pourquoi sembles-tu si sûr?!
Adam passe à côté d'elle et prend Elizabeth dans ses bras puis s'apprête à monter les escaliers pour l'emmener dans sa chambre. Il s'arrête devant ceux-ci.
-Je m'en suis occupé, il y a longtemps.
Puis sans plus d'explications, il monte les escaliers laissant Freyja en pleine confusion.
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Le matin se lève sur la ville, c'est un nouveau jour, on est mardi. Le cadran se met à sonné, une main se rapproche et le ferme rapidement. Elizabeth se lève énergiquement et réalise qu'elle ne se trouve plus dans le salon.
-Eh?
Elle comprend ensuite la situation, des parents devaient l'avoir emmener dans sa chambre. Bref, laissons faire. Elle s'habille pour aller à l'école, prend son sac et descend les escaliers. Elle tombe sur ses parents qui prennent un café matinal.
-Bon matin, dit Elizabeth.
- Ah! Bon matin ma chérie, dit la mère sourire au lèvre. Veux-tu que je te prépare ton déjeuner?
-Non, non, je n'ai pas très faim.
- Tu devrais manger, c'est le repas le plus important de la journée après tout, renchéris Adam sans quitter le journal qu'il a entre les mains. Bon matin, d'ailleurs.
-Hmmm, quand même, je me prendrai une collation durant la pause.
La mère baisse les yeux, ayant compris qu'elle ne gagnerait pas cette conversation. Elle relève alors les yeux et reprend son plus beau sourire.
-Alors ma chérie, il te reste un peu de temp avant de partir! Commence t'elle en ramenant ses deux mains ensemble. Comment a été ta journée hier?
Elizabeth prend place à la table, elle n'a même plus envie d'en parler. Elle regarde le regard de sa mère, elle regrette. La blanche se sentirait mal de la rendre triste, c'est la dernière chose qu'elle voudrait.
Mais.
Elizabeth sait ce qu'elle veut vraiment demander et où la discussion s'en ira.
« Y-a-t'il des intimidateurs? » C'est si tôt pour le savoir...malgré tout...-Bien, bien, je crois m'être faite une amie, répondit-elle en forçant un petit sourire. Elle s'appelle Anna.
-Ahh...! C'est une bonne nouvelle! N'est-ce pas mon chérie? Demande t'elle en tournant la tête vers lui.
-Hm mm, répondit-il en tournant une page de son journal.
Elizabeth tourne le regard vers la porte, elle a tant envie de juste s'en aller et que tout retourne à la normale le soir. Comme toujours. La mère qui tente de se racheté et le père qui réalise que ça ne sers pas à grand chose. Pourtant, ils adorent leur fille.
-Maman, je crois que je vais aller à l'école plus tôt aujourd'hui, hier j'ai eu de la difficulté à trouver ma classe...donc.
-Oui...oui! Tu peux y aller, va s'y, va s'y! Dit-elle en me tendant ma boîte à lunch. Bonne journée.
D'un coup de tête elle dit au revoir, puis se rapproche de la porte. Elle sort de la maison mais avant de fermer la porte, Freyja l'appelle.
-Elizabeth! Tu nous raconteras ta journée ce soir, promis?
La blanche regarde sa mère puis la souris, avant de fermer la porte. Freyja reste là, sans bouger. Elle se tourne ensuite vers Adam.
-Tu n'avais pas mieux à dire que « Hmm mm »? Soupira t'elle.
Il plie la moitié de son journal pour regarder sa douce moitié puis le remonte pour continuer de lire.
-Que voulais-tu que je dise qui aurais tout changer? Demanda t'il.
-Je ne sais pas moi! Tu aurais pus lui dire bonne journée?
Il soupire et pose le journal sur la table. Il se lève et met son manteau, puis prend son sac noir. Il embrasse Freyja puis s'approche de la porte.
-Je suis au moins rester jusqu'à ce qu'elle parte, je dois partir maintenant, dit il en souriant.
-Tu es incorrigible, dit elle en soupirant.
Il ouvre la porte mais avant de partir il se retourne et d'un sourire lui dit.
-Ah! J'allais oublier, bonne journée, mon amour.
Freyja commence à rire puis le pousse à l'extérieur.
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Adam rentre dans sa voiture et part le moteur. Il regarde si il n'y a aucune voiture qui arrive et sort du stationnement. Il roule tranquillement vers son travaille, il passe à côté du parc, il tourne la tête vers celui-ci.
Il se rappelle les moments où ils allaient jouer la bas avec Elizabeth, lorsqu'elle était si jeune. Ils n'y sont retourner que rarement après l'accident. Il tourne de nouveau le regard sur la route et réalise à la dernière seconde une garçon traverser la rue.
D'un bruit strident, il arrête la voiture au dernier moment. Il a faillit frapper ce pauvre jeune homme qui ne faisait que passer!
Adam se dit qu'il doit vite aller s'excuser et sortir de la voiture voir si il va bien. Il doit croire qu'il allait mourir! Il lève la tête vers le garçon qui s'était arrêté devant la voiture. Pensant voir un regard effrayé, il n'en vit aucun. Dans les yeux émeraude du jeune homme.
Il ne vit qu'une lueur de mort qui le poursuivait déjà de proche.
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Coucou 👋🏻
Heyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy, dit donc Meliodas regarde avant de traverser la rue! Ah oups, j'espère que vous aviez remarquer que c'était Meliodas. Qui d'autre à des yeux émeraude? Personne haha.
À mercredi prochain!
Bye-bye🙌🏻
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Heartbeat
FanfictionDes amies, des fou rires, la tranquillité d'esprit, tous des mots qui ne me disent rien. Je suis Elizabeth, j'ai douze ans. L'intimidation...le harcèlement..c'est tout ce que je connais. Qui aurait pus croire que celui qui était la proie de mes malh...