001 × An ordinary morning

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La journée avait si bien commencé

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La journée avait si bien commencé

Beaucoup plus tôt

Comme tous les matins, je me réveille dans les bras de mon petit ami. Son bras enroulé autour de ma taille, il me sert contre lui. Comme s'il craignait qu'on ne vienne me faire du mal. Son geste à un côté tellement protecteur, ce qui a le don de réchauffer mon petit cœur. En parlant de chaleur son corps dégage une température de la même intensifier ce qui fait que je ne peux pas mourir de froid quand il me sert contre lui. Je suis aux anges plonger dans un autre monde... Quand d'un coup une alarme retenti balayant automatiquement mon sentiment de calme et de bien-être.

Ce son retenti encore et encore, il tient à ce que je me lève, à ce que je me bouge, il m'appel à l'aide. C'est urgent pourtant mes yeux et tout le reste de mon corps refuse de lui accorder la moindre importance. Mon corps ne bouge pas, comme s'il était figé, il provoque cette alarme qui m'appel à l'aide. Je peux aussi sentir l'étreinte de mon homme se resserrer autour de moi lui aussi était agacée par cette alarme. D'un coup étant déterminé à la faire taire, j'ouvre mes yeux.

Ce que je peux voire c'est de la couleur, de la couleur c'est immiscer dans notre chambre. Une lumière étouffée par les rideaux blancs étendus devant la porte vitrée de notre pièce spéciale sieste et moment intime. Je peux aussi voir notre placard doter de portes coulissantes marron claire qui sont à moitié ouvert. On peut voir quelque sweat de mon chéri dépassé. J'ai beau être en pleine contemplation mes yeux sont encore fatigué. Ramenant ma main droite, je me frotte doucement les yeux. Mais, mon alarme m'a ramené à la raison. Tendant ma main en direction de ma table de nuit, j'attrape mon cellulaire pour savoir qu'elle est l'objet de ses hurlements à répétitions.

Déverrouillant ce dernier, une lumière aveuglante s'en échappe, ce qui pendant un temps mes yeux ont du mal à supporter ce qui m'oblige à fermer et ouvrir mes paupières à plusieurs reprises. Je suis fatigué mais, je chasse cette fatigue pour éteindre mon alarme et bruyamment reposer mon téléphone là où je l'ai pris. Je dois me lever et j'étais partie pour mais, un bras fort me ramène contre le matelas, il ne veut pas que je parte.

Jade je dois me lever, lui dis-je restant allonger prisonnier de son bras.

Non, reste avec moi, me supplie-t-il la tête dans son oreiller.

Je dois bosser tu le sais ça, lui répondis-je.

Je sais mais, je veux que tu restes, me répondit-il avant de se redresser pour poser son regard sur moi. Je ne me souviens même pas de la dernière fois qu'on a fait la grasse matinée tous les deux, ajoute-t-il avant de venir se glisser entre mes jambes.

Mon petit ami est une vraie gravure de mode. Il a tout ce qu'il faut où il faut. Prenant appui sur ses avant-bras je peux me lancer dans une contemplation de ce bellâtre. Il a les cheveux en bataille, ce qui le rend diablement sexy. Il a beau avoir l'air fatigué, ça ne l'empêche pas de dégager du sex-appeal. Ses bras sont forts et musclés après tout il est coach sportif, je suppose que c'est normal. Il a les oreilles percées, d'ailleurs, il dort avec ses anneaux. Je ne sais pas comment il fait moi je n'y arrive pas. Je ne sais pas, ça me gêne. Ses anneaux, ne sont pas du genre voyant sauf peut-être la croix qui pend à son oreille droite. D'ailleurs, il dort torse nu et par la façon dont il est installé sur moi, il m'emprisonne m'empêchant de me relever.

HEY STRANGEROù les histoires vivent. Découvrez maintenant